La caméra étant visiblement très demandée, il n’a pas été simple d’accorder nos agendas.
Le temps passé ensemble a donc été relativement court, une demi-journée d’analyse des images issues de la TestBox du Repaire (qui devrait sortir dans les jours qui viennent !), une journée et une soirée de prise en main (quelques rushes lors d’une soirée BBQ, un environnement de test intéressant, pour l’AF et le capteur : la nuit, des déplacements aléatoires de sujets plus ou moins alcoolisés - jamais plus que l’opérateur… il est probablement mieux de ne pas en dire plus), et pour finir, une petite matinée de tournage : une captation de deux conférences, avec ses cousines, les Canon C70 et C200, et elle est repartie.
48 heures (on ne pouvait pas prolonger la garde à vue), c’est un peu court pour se forger une solide expérience, mais ça permet quand même de se faire une petite idée...
Le design
Les familiers de la C500 Mk II (ou de la C300 Mk III) ne tomberont pas de leur chaise. On est globalement sur quelque chose de très proche.
La Canon EOS C400 est plus « cubique », 142 × 135 × 135 mm contre 153 x 148 x 168 mm pour la C500 Mk II. Un petit plus pour la monter sur une nacelle stabilisée (gimbal).
Le corps caméra est aussi un peu plus léger, 1540 g contre 1750 g, toujours pour la C500 Mk II. Ces 200 grammes sont à relativiser, tout équipée (grip, poignée, LCD, cartes et batterie), une C400, c’est environ 3,1 kg, contre environ 3,2 kg pour une C500 Mk II...
À titre de comparaison une Canon C70, pareil, tout équipée, c’est environ 1,5 kg, une Sony FX6, environ 2,6 kg, une Sony FX9, qui sera peut-être plus pertinente pour comparer ce qui est comparable (plusieurs sorties vidéo, le sur-échantillonnage depuis 6K), un peu moins de 5kg.
Autrement dit, ce n’est pas lourd, compte tenu de la technologie embarquée, mais il faudra quand même le porter !
L’assemblage est d’excellente facture, ça respire la qualité et la solidité (magnésium).
La nouvelle poignée avec son système de fixation en trois points, sans outil, est très bien pensée. Rapide, simple, confortable et surtout, fiable.
Le système d’accroche du LCD a été grandement amélioré, on peut facilement l’éloigner ou le rapprocher selon ses goûts et ses besoins. J’aurais préféré un système de serrage sans outil pour la tige perpendiculaire à la poignée, mais enfin, on ne devrait pas avoir à y revenir souvent, la clef Allen est acceptable.
Les 18 boutons (dont deux sur le grip, et trois sur le LCD, on s’en reparle après…) configurables à volonté, qui disposent d’un rétro-éclairage, sont très agréables à utiliser. Tout comme les trois joysticks. On évite le côté « cheap » de la C70 (le joystick aléatoire...). C’est clairement beaucoup plus haut de gamme.
L’écran est tout de même celui de la Canon C70, 3.5 pouces, 2,76 millions de points (1280 × 720). Il présente le même petit défaut de centrage, un léger décalage sur la droite, et un peu de surface d’affichage de « perdue ».
Je regrette un peu les 4,3 pouces du LCD LM-V2 de la C500 Mk II/C300 Mk III. Heureusement, contrairement au LCD de la C70, il dispose de 4 boutons (les 3 déjà évoqués et un « Menu ») et d’un joystick...
J’apprécie grandement de retrouver des boutons sur le côté du LCD, cela permet de pouvoir gérer l’autofocus facilement, avec la même main, celle qui sélectionne l’endroit de la mise au point, via l’interface tactile, on peut aussi basculer sur un « tracking des yeux », ou verrouiller/déverrouiller l’AF, selon ses besoins.
Remarquons aussi les filtres ND motorisés, qui m’ont semblé (encore) plus réactifs que sur les autres modèles (C70 , C200, C300 Mk III, et C500 Mk II), deux mini XLR (en contrepartie on récupère les molettes de réglages de l’audio du bon côté, celui de l’opérateur , ce qui n’était pas le cas avec la C500 Mk II), des points de montage sur le corps caméra (sur le dessus et sur la partie arrière), une griffe multifonction alimentée, deux slots CFexpress type B et SD.
Sur ce point, je préfère lorsque la caméra utilise des médias identiques, mais dans le qui nous intéresse, ça limitera juste l’usage lorsqu’on tournera en Cinema RAW Light. Dans tous les autres cas, on pourra, au choix, passer d’une carte à l’autre, ou sécuriser les rushes en enregistrant simultanément sur les deux cartes.
A noter enfin une ventilation peut-être un peu plus présente que sur les autres modèles, sans que ça ne me semble pouvoir être un problème, la caméra proposant le mode permettant d'arrêter totalement la ventilation lors de l'enregistrement si le silence s'avérait nécessaire.
Connectique
C’est véritablement un des points forts de la machine. Elle dispose d’une sortie USB-C (pour le LCD, la connectique est sécurisée, ça me semble assez robuste), une sortie HDMI, et de deux BNC, un 4k SDI-12G et un « Moniteur » 2K SDI-3G.
Sur chacune de ces sorties, il est possible, simultanément, d’afficher un signal vidéo d'un espace couleur différent et/ou une LUT différente (y compris CUSTOM, on peut en charger plusieurs dans la caméra).
Ainsi il sera possible d’envoyer une image à la réalisation, via le SDI-12G, avec le look envisagé pour le film, de regarder du LOG via la sortie moniteur, du REC709 via le LCD et de profiter du HDMI d’une autre manière encore, si nécessaire...
Ce n’est pas si courant, il y a souvent des limitations importantes à ce niveau (soit le signal est dupliqué, soit la sortie n’est pas disponible dans tel ou tel usage, selon configuration...), y compris sur des caméras très haut de gamme.
Outre les différentes sorties vidéos, on retrouve une connectique complète : Ethernet, Lens, TC, Genlock/Sync, Remote et le Wi-Fi est intégré.
Autonomie
Avec la nouvelle BP-A60N, il m’a été possible de tourner trois heures, en 4K sur-échantillonnée depuis 6K (XF-AVC intra-trame 10 bit 422). Et il restait du « juice »...
Avec la génération précédente de batteries, non « N », en l’occurrence une petite BP-A30, la C400 fonctionne très bien. Juste, l’alimentation de la griffe multifonction est désactivée, un message nous en informe lors de la mise en route.
Autofocus 2.0
C’est très difficile d’avoir des certitudes à ce sujet, tant mettre en place un protocole de test un peu sérieux semble difficile, mais, il me semble qu’il y a eu effectivement une évolution.
L’AF 2.0 arrive à détecter des sujets à des distances bien plus importantes, dans de petits coins du cadre, dans des reflets, derrière des lunettes, y compris de dos (et il fait les chats, aussi, ça fera plaisir à Philip Bloom).
À ce niveau, ça me semble donc être meilleur que ce que l’on trouve actuellement dans les EOS C (qui disposent déjà d'un très bon AF).
En revanche, au niveau du « pilotage » de l’AF, je trouve qu’il y a du moins bien, un recul. Je m’explique : ce qui est important, c’est d’avoir la main sur cet automatisme, à tout moment, afin de lui faire faire ce que l’on souhaite, et pas autre chose…
Il y a des options qui ont disparues, « Face Only » par exemple, d’autres qui débarquent, tel « AF Speed » (plus exactement c’est une nouvelle échelle, sauf erreur de ma part).
Cette dernière option implique une mise au point lente (action des moteurs) avec les optiques suivantes : le Sigma EF 50 mm F1.4 DG HSM (l’objectif de la TestBox), le Canon EF 35 mm F1.4 L II USM et le Canon EF 70-200 mm F2,8 L IS II USM.
En modifiant le réglage de cette option, on arrive à retrouver plus ou moins le fonctionnement « habituel ».
Cependant, cela n’a pas été le cas avec le Canon EF-S 17-55 F2.8 IS USM. L’option « AF Speed » n’est pas disponible avec cette optique. L’AF est complètement anémique, on a l’impression de tourner avec une Blackmagic Pocket Cinema Camera 4K.
Il faut relativiser ce retour d’expérience, on est sur une version Beta du firmware, ça peut grandement évoluer d’ici la mise sur le marché.
Les nouvelles options de gestion de l’AF (il semblerait qu’on puisse tracker des visages, dans une zone, et seulement dans cette dernière, à vérifier...) peuvent gagner en maturité. Peut-être aussi qu’il faudra se forger de nouvelles habitudes pour mieux en profiter (pas facile, en 48h...).
Un dernier point (mou). Pour le moment l'AF n'est pas fonctionnel en 120P. Comme pour la C300 Mk III à sa sortie. C'était arrivé plus tard, via une MAJ du firmware. En toute logique, ça devrait donc arriver (même si rien n'est sûr...).
Capteur
Mon sentiment, en regardant mes rushes perso et ceux de la TestBox, c’est qu’on est sur une dynamique légèrement meilleure que celle de la C500 Mk II, sans atteindre le niveau de celle proposée par la Canon C70 (ou la C300 Mk III).
C’est probablement dommage de ne pas avoir creusé l’idée du DGO sur cette machine… Reste que la dynamique utile se situe dans le haut du panier, et que le capteur rétro-éclairé permet une bonne rapidité de lecture (rolling shutter minime) : le DGO aurait eu un impact sur cet aspect (et sur le tarif aussi, probablement, traiter deux fois 6K en temps réel, c’est forcément plus compliqué...).
Avec mon tournage « multicam », il m’a été possible d’évaluer le rendu « dans la vraie vie », et de comparer, avec la C200 et la C70 (même optique). C’était probablement l’image la plus juste des trois (un peu moins magenta que la C70), avec le petit effet bénéfique du sur-échantillonnage depuis 6K (un traitement du signal vidéo qui plaira certainement à ceux qui viennent de l’hybride avec plein de pixels dedans, sans filtre OLPF… Avec un petit supplément d’âme pour la C400, qui elle, en dispose…).
Remarquons qu’on peut tourner en 4K 10 bit 422 sans crop, de 24P à 120P. La vitesse n’implique pas de crop. Cela aussi, ce n’est pas si courant.
Si la dynamique (et donc la latitude de pose) est en (léger) retrait, le rapport signal/bruit est bien meilleur qu’avec la C70, et plus on grimpera dans les ISO, plus ce sera évident… Le gain (haha!) sur la montée du bruit ayant son mot à dire quant à la notion de dynamique dite "utile", au final, la perte de dynamique par rapport à la C70 se concrétisera particulièrement lorsqu’on sera un brin sur-ex. Dans le cas contraire (pas assez de lumière), la C400 l’emportera.
Triple ISO Natifs
Bien sûr, tout le monde attendait le constructeur sur cet aspect là. Force est de constater que oui, ça marche… et même plutôt très bien.
En Clog 2, 12800 ISO natif, c’est très propre, le bruit est contenu, l’image n’est pas trop lissée (moins qu’avec une FX6), ça reste naturel, c’est très réussi. Y compris en Cinema RAW Light (avec ce que ça implique lorsqu’on tourne en RAW : il faudra denoiser en postprod).
Pouvoir tourner à 800, 3200 et 12800 ISO, c’est vraiment très confortable. Cela fait de la C400 un outil polyvalent, je pense plus particulièrement à l’usage en docu. On peut bien sûr jouer avec l’EI sous l'ISO natif ( si on veut encore minimiser le bruit. On pourrait même devenir feignant et laisser des ND enclenchés lorsqu’on fait des aller/retours intérieur/extérieur.
Si les concepts d'EI, d'ISO analogiques sont obscurs pour vous, nous vous conseillons de lire notre Guide des ISO ou encore la testbox de l'EOS R5C qui explique le fonctionnement "EI" sous l'iso natif de la caméra Canon.
Plus sérieusement, c’est diablement efficace, et on sera rarement obligé de passer de tout à rien (suivez mon regard...), grâce au palier intermédiaire. C’est un bel équilibre.
En ce qui concerne la fiction, peut-être qu’on pourra aussi le voir comme un choix artistique, déterminer son niveau de grain selon le projet… Voire, éclairer à moindre frais.
C’est cool, voire, c’est très cool.
Mais il faut quand même relativiser l’apport de cette fonctionnalité... Fort heureusement, on peut faire de beaux films sans dual, ni triple native ISO.
Je vous recommande à ce sujet l’interview du directeur de la photographie Vincent Mathias, qui a tourné « Au revoir là-haut » à "seulement" 2000 ISO, en Alexa mini (avec des Canon K35). Avec très peu de lumière. Ce film d’Albert Dupontel est juste magnifique (César de la meilleure photographie 2018).
Tout cela pour dire que c’est probablement plus important d’avoir deux SDI pour un live « multicam », ou du RAW 12 bit Log pour un projet d’étalo un peu ambitieux, voire un AF qui marche en reportage… Que de pouvoir tourner à 12800 ISO. Même si c’est cool de pouvoir tourner à 12800 ISO…
Remarquons un truc un peu agaçant. Lorsqu’on change de base ISO, la caméra rappelle le dernier réglage utilisé dans ladite base.
Donc, si vous passez de la base 800 ISO, à 800 ISO (par exemple), à la base 12800 ISO, il est parfaitement possible de retrouver brutalement à 25600 ISO… Si c’est le réglage utilisé la fois d’avant, il y a 3 semaines, éventuellement…
Il serait bien plus cohérent que le changement de base n’affecte pas l’ISO enclenché (allez, un petit firmware et on ne s’en parle plus).
Stab
Juste pour préciser que le capteur est fixe, il n’y a pas d’IBIS sur cette caméra.
Il y a une stabilisation électroniques 5 axes que l’on peut utiliser au besoin (avec deux niveaux de crop), y compris avec des objectifs manuels et anamorphiques (il faudra préciser la focale si l’optique ne communique pas cette information).
Personnellement je considère que c’est une très bonne chose, on peut monter cette caméra sur un gimbal ou un Steadicam, un Trinity ou une solution hybride (type Steadimate-RS ou Tilta Float).
Ceux qui sont venus à l’événement stabilisation du Repaire ont pu constater que ça donnait de bien meilleurs résultats que l’IBIS, qui parfois, se plante lamentablement…
Dommage...
Le petit truc qui agace : l’alimentation qui n’est pas fournie… Ce sera à l’acheteur d’en trouver une compatible. Je trouve ça un peu mesquin… Lorsqu’on achète une caméra professionnelle chez Sony, Panasonic ou Canon, on compte bien trouver dans le carton de quoi l’alimenter en continu… Notons qu’à priori il n’est pas possible d’alimenter la caméra via l’USB-C.
Plus grave, et c’est à mon avis clairement le point discutable de la Canon C400, il manque cruellement d’un EVF ! C’est assez déroutant sur une caméra de cinéma numérique se voulant un peu haut de gamme...
C’est d’autant plus dommage qu’il existe un EVF V-50 pour C300Mk III et C500 MK II, ça ne semblait pas bien compliqué de conserver le port dédié à cet usage, à l’arrière du boîtier. On n’avait plus qu’à l’acheter...
La sortie USB-C utilisée par le LCD de la Canon C400 ne semble pas être compatible avec d’autres moniteurs vidéo à ce format :
source : CVP
Peut-être avec l’EFV USB-C de chez Blackmagic ? (quelque part, ça serait amusant que ça fonctionne !)
On espère surtout que Canon travaille sur un accessoire adapté (éventuellement avec un partenaire, comme Smallhd pour le LCD de la RED Komodo).
En attendant, il est possible d’utiliser les sorties SDI ou HDMI, pour y connecter, classiquement, l’EVF d’un constructeur tiers (on ne pourra pas contrôler la caméra).
Sylvain et un (deux petits trucs en plus)
Remarquons la bague d’adaptation PL-RF de chez Canon, à seulement 1 478,99 euros HT (ouch!). La technologie Cooke /i intégrée permet de récupérer les métadonnées de l’objectif PL, pour faciliter la postprod sur des tournages avec des décors temps réel (Unreal Engine).
Notons aussi le recarossage en RF du zoom Canon 17-120mm T2.95-3.9, à 26 250,00 euros HT (Arghl). Rappelons que c’est une optique Super35, disponible à la location (ouf), qui pourrait faire sens en crop 4KS35 (voire S16), pour du plateau TV, voire du sport (on peut faire du 4.3K 100P RAW avec la C400, en mode Super35).
Le prix (du danger)
6K, 4k oversamplée, 10 bit 422, RAW compressé 12 bit Log en interne, triple ISO natifs, AF version 2.0, deux SDI et un HDMI, 4K120P, le Wi-Fi, RF/PL, 7000 euros HT, vous m’en mettrez une palette.
Clairement, la meilleure « feature » de cette caméra, c’est son tarif ! En 2020, le prix de lancement de la C500 Mk II était de 15 000 euros HT. Et encore, il était nécessaire de rajouter des modules complémentaires pour la connectique, intégrée, dans le cas qui nous intéresse... La Canon EOS C400 fait l’essentiel du job, en mieux (il reste, pour la C500 Mk II, l’enregistrement en RAW sur deux slots, un plus grand LCD, et la possibilité d’un viseur, EVF-50 ou EVF-70).
Il me semble que Canon positionne très bien cette caméra, c’est un excellent rapport qualité/prix (ça fera deux fois, avec la C70…). C’est une agréable surprise.
Outre l’aspect financier, la C400 vient aussi « au secours » de la monture RF, j’ai envie de dire, il était temps !
On pourra enfin profiter pleinement de l’objectif RF 24-105mm F2.8L IS USM Z… Un couple vraiment très efficace pour du docu/reportage. On pourra aussi monter du PL (il y a de très bons adaptateurs PL-RF, beaucoup plus abordable que la version Canon), de l’EF, du S35 ou du FF pour de la fiction, du clip, aller vers le vintage, l’anamorphique...
Tout en envoyant une image au D.I.T., une autre au 1er assistant, encore une autre au réal. Si on souhaite monter un zoom motorisé, et piloter la caméra à distance pour une session « multicam », c’est aussi possible. Bref, docu, reportage, fiction, clip, captation, plateau TV, du BT. 709 au 12 bit RAW en passant par le 4k120P, c’est une caméra qui peut vraiment tout faire.
Greg
Merci à Cédrick et Lionel de Canon France pour le prêt de la caméra, et bien sûr à notre team Testbox au Repaire
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Publié parLucas.janiszewski 26 Novembre 2024
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