transfert Super 8

Vos réponses me redonnent le moral et de l'espoir.....

Sur le côté j'ai ouvert une ouverture latérale clipsée qui me donne accès à la lampe. Mais pas de vis comme ci-dessus...

Je démonte le capot principal dès demain et vous tiens au courant...

A+
AL1

 

pour greedo80:

oui, le réglage de ces résistances variables (ou potentiomètres) doit se faire en projetant un film car c'est le seul moyen de constater que les scintillements ont "visuellement" disparu.

attention évidemment de ne toucher aucune partie électrique sous tension pendant la manipulation, aussi bien 230 V que basse tension: utiliser un petit tourne-vis à manche isolé et éventuellement répeter sa gestuelle hors tension avant de le faire en réel.

Pour être rigoureux, on repère aussi avec un feutre indélebile ou un trait de gravure la position d'origine de chaque composant dont on va modifier le réglage afin de toujours pouvoir se remettre dans les conditions initiales.

 

Oui, il est indispensable de faire ce réglage avec un film car à vide le projecteur tourne un peu plus vite.

Désolé, je suis en vacances chez ma fille et j'ai bien l'intention de profiter de mes petites filles jusqu'au bout... Cependant, je compte me connecter au Repaire de temps en temps.

Je ne crois pas que la lampe du Bauer soit alimentée en courant continu, mais en ajustant la vitesse de projection on peut quand même obtenir un éclairement continu de l'écran.

 

Mon pauvre mcr tu réponds avec gentillesse même en vacances et il faudrait en plus que tu écourtes tes vacances.

Là je dis

Ce n'est plus de la modération que tu fais mais l'assistance publique:lol: :lol: :lol:

Ceci dit profite un maximun de tes petites filles Stumpy veille au grain:amour: :amour: :amour:

a+

Stumpy

 

Merci Stumpy.

 

Si ta caméra a une très forte rémanence, ce n'est pas impossible. Pourtant tous les essais que j'ai pu mener dans le cadre d'un projet Beaulieu avec des durées d'exposition inférieures ou égales au 1/50 de seconde mettent en évidence la nécessité de concordance entre la cadence de projection du film et un sous-multiple pair ou impair de celle de la vidéo.
Tu sembles un cas isolé dans la masse des amateurs ayant essayé de faire des transferts sans ajustements de la cadence de projection, mais ton projecteur a peut-être d'origine une cadence de projection compatible.

Avec des lampes basse tension à filament court, c'est-à-dire avec une inertie lumineuse faible, il pourrait sembler nécessaire d'utiliser une source continue assez correctement filtrée, mais en pratique c'est bien inutile car l'intégration des variations de lumière par les CCD gomme ces petites variations. Heureusement d'ailleurs car on ne pourrait pas utiliser d'éclairage électrique sur secteur non redressé ni filtré pour éclairer les scènes. Par contre, avec des tubes fluos, il peut y avoir des précautions à prendre, en particulier d'utiliser plusieurs tubes à alimentations déphasées. Ceci était surtout vrai avec les caméras à tubes de prises de vues et en particulier lors de tournages en 50 Hz avec des fluos en 60 Hz ou vice-versa.

Les variations de lumière dues aux pales du projecteur ont une amplitude beaucoup plus importante que l'ondulation résiduelle sur les filaments des lampes. Mais pour ton avis sur l'usage du courant continu, pourquoi pas, ce ne sera que meilleur.

Sur mon Bauer T10R, la lampe est alimentée en courant alternatif (12V 150 W).

 

Désolé, je ne suis pas arrivé à ce niveau très technique.

Je suis encore à la recherche des vis de réglage de la vitesse :

je n'ai pas réussi à enlever le capot principal, fixé par vis par dessous. Même si l'avant à l'air de venir librement, 4 vis (autour du transfo) semblent être maintenues par un écrou et je tourne dans le vide. Je n'ose pas aller plus loin pour ne pas détèriorer le matériel; et puis le remontage me parait scabreux (écrous non accessibles).

Ce qui pourrait vous mettre sur une autre piste ? : l'axe du moteur ressort à l'arrière du projecteur !!... La petite vis au centre pourrait-elle jouer un rôle dans la vitesse ?

AL1

 

Pour Video98:

. mea culpa, la lampe de l'eumig est en 12V mais je n'ai pas vérifié malgré ma précédente affirmation que son alimentation était en continu.

. le camescope était une Sony DCR PD 150: je ne connais pas assez la vidéo pour le problème de remanence du capteur, mais par contre des essais préalables m'avaient montré les problèmes de netteté d'image avec un caméscope mono-ccd 1/4' et c'est pourquoi j'ai fait mes transferts avec un tri ccd.

A ce propos, j'ai été très intéressé par ton post récent du 30 mars nous donnant les dimensions des capteurs ccd et je l'avais rapproché du post de mcr du 26 mars donnant les dimensions réelles des images sur les films argentiques.

Considérant que les performances des optiques caméra anciennes ou caméscope récents doivent être a peu près identiques, je comprends mieux pourquoi il faut un capteur supérieur à 1/3' pour obtenir une résolution équivalente au super 8;
Peut-on penser que la taille de l'élément photosensible "grain argentique" sur la pellicule soit équivalente à la taille actuelle d'un site "pixel" (avec les définitions que tu nous donnes régulièrement mais qui ne sont pas faciles à comprendre du 1er coup, je sais , c'est un métier)?

 

faleguellec, regarde dans le compartiment de la lampe s'il n'y a pas une vis qui retient le capot. Dans le Bauer T10R, il y a une vis du capot à cet endroit.

bernard5293, ton idée sur l'alimentation en continu n'est pas fausse, mais les variations de lumière sont peu perceptibles ou pratiquement imperceptibles.
Ton choix d'une caméra tri-CCD pour la qualité des images est un bon choix.

La résolution maximale dépend bien sûr du nombre total de photosites actifs et du nombre de pixels qui en sont extraits, avec un juge de paix qui est le format d'enregistrement.
Certaines limitations liées aux longueurs d'ondes de la lumière, en particulier la diffraction, ne permettent pas de dépasser certaines barrières et je pense que les capteurs 1/6 " sont proches de la limite pratique. Il est toutefois difficile d'établir une comparaison géométrique entre le grain de la pellicule et la structure géométrique des CCD en limite d'échelle.
La grande différence réside entre la position aléatoire des grains et la position fixe et ordonnée des photosites. Le changement permanent de taille et de position des grains de l'émulsion permet de mettre en évidence dans l'image des détails fixes ou peu mobiles dont la taille peut être un peu inférieure à celle des grains. On peut faire un test édifiant en plan fixe en comparant un arrêt sur image avec une boucle animée représentant la même image.

Avec un CCD, la nécessité de rendre peu visible la structure fixe des capteurs oblige à des traitements optiques peu favorables au rendu des détails. C'est pour cela que je parle de différence entre le rendu vraisemblable des détails par les CDD par rapport au rendu plus vrai des détails sur pellicule. Le traitement de la vision par le cerveau est très complexe et il se satisfait bien souvent d'informations vraisemblables. C'est ce concept qui a permis la prolifération des méthodes de compression des images.

 

Je pense avoir trouvé les miens sur mon BAUER T82.
Tu peux confirmer Stumpy ?

 

Peux-tu m'envoyer une image plan large car là j'avoue que j'ai des difficultés à confirmer et je ne voudrais te dire des bétises.

 

Pas besoin de toucher aux résistances puisque tu as un variateur de vitesse donc pour régler la vitesse tu fais varier le potentiomètre.

Comme indiquer plus haut tu fais cette manip avec un film charger dans le projo en vérifiant l'image sur un TV de contrôle.

Stumpy

 

Oui mais le variateur de vitesse va de 18 i/s à 24 i/s.

Alors comment obtenir les vitesses de 16,66 i/s et 25 i/s souvent préconisées ?

Ce sont les bonnes résistances ?

 

Oui