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Meilleure leçon de scénario (et réalisation)

Discussion dans 'Le café du Repaire' créé par REDoré, 8 Novembre 2021.

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  1. homero

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    Vachard, le De Palma ... mais pas pire que ce que "Le Grincheux" nous avait dit sur l'auteur de "Blow Out" lors d'une interview à Rolle où presque tout le monde s'était fait torcher (y compris moi ! Toutes proportions gardées :D)
     
  2. REDoré

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    (De Palma conserve néanmoins tout mon respect :rolleyes: ;))

    @apatura et à toi aussi @homero, Paul Schrader répond sur l'état altéré ou pas d'un scénariste à la question du public à 1:24'09".

    Une autre question a soulevé la distinction entre la métaphore et l'allégorie. Je me permets de répondre (car relevant encore du réalisateur et plus du scénariste) :

    Quand la métaphore devient visuelle, elle peut devenir allégorie et notamment lorsque la mise en scène s'appuie sur une mythologie correspondante (souvent le mythe de la caverne, Icare, Janus, ...).

    Sans revenir sur Stanley Kubrick et son "exception" intellectuelle, perso, déjà surpris perso Juan Antonio Bayona, réalisateur espagnol (du giron de Guillermo Del Torro), ainsi devenu de référence (jusqu'à avoir été happé par Hollywood sur un Jurassic Park).

    A titre d'exercice sans en effet pouvoir affirmer que la séquence était déjà écrite telle quelle ou aussi richement sur le scénario (et à condition cette fois-ci de maîtriser vos réactions de jeunes mâles en rut à la vue du double pylône électrique servant d'échappatoire), je vous propose de bien analyser cet extrait assimilable à une allégorie de l'accouchement (avec renforts mythiques) jusqu'à sectionner le cordon ombilical car en tant que d'abord métaphore de la vie :


    Ce que Brian De Palma qualifie de "façon de donner vie" (à une histoire) et ce qu'est l'enjeu de "si le film émeut les émotions (...)"
     
  3. homero

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    Je ne vois pas à quel message d' apatura tu fais allusion REDoré, il n'a pas participé à cette discussion. Un effet de l'état altéré ? ;)

    Le mien devait l'être car pour répondre à ta proposition : je vous propose de bien analyser cet extrait assimilable à une allégorie de l'accouchement (avec renforts mythiques) jusqu'à sectionner le cordon ombilical car en tant que d'abord métaphore de la vie , j' ai pensé immédiatement à "O' Brother" de mes cinéastes préférés lorsque l' inondation sauve nos héros de la pendaison (le cordon) ... et ils s'agrippent ... à un cercueil flottant !
     
  4. REDoré

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    Mille excuses et confuses, en effet, il s'agissait de @nestaphe. Merci @homero !
    Pardon @apatura, intervenu sur la discussion de Marcello (code postal 34090), finie aussi en désastre puisque contraint d'avouer que je luttais contre une lombalgie en plus de m'être abruti sur mon projet en cours.
    Même principe en effet sauf que perso, je situerais l'allégorie antérieurement : qu'à la conception :-)

    (A ce rythme, je vais finir sexologue en traduction métapho-allégorique :o ...)

    Robert Zemeckis de ma tribu de référence, avait aussi osé plutôt l'accouchement lorsque Tom Hanks tente de récupérer sa barque quand il est tombé à l'eau en pleine mer en fuyant l'île de Seul au monde.
     
  5. homero

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    La conception ... on sait pas où ça mène : "si j'aurais su que ce soye cette galère; j'aurais pas né !" ... (mon adaptation libre de "La Guerre des boutons") :D
     
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  6. REDoré

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    J'aimerais compléter voire conclure ces propos de Paul Schrader en partageant auprès de nos jeunes téméraires attirés par la fiction, mon parcours perso encouragé autodidacte (par Marcel Carné himself).

    Sans doute pas exemplaire et qu'un exemple.

    Le cinéma (le grand écran) m'est venu très tôt notamment par les projections dominicales du cinéma de quartier, d'abord en famille puis réclamées seul (On m'a cherché, on m'a trouvé).

    L'enfance avec Jean Dreville et sa cage aux rossignols (massacré par le remake, les choristes) mais aussi Marcel Carné, Hôtel du Nord, Les visiteurs du soir puis les Enfants du Paradis.

    Du visuel, des acteurs et des actrices (en passant évidemment par le cinéma populaire, Oury, Verneuil, Deray, etc ...).

    L'adolescence avec Sergio Leone (visuel, chorégraphie et son) et la post-adolescence avec Luchino Visconti (Toujours pour le visuel mais soudain, pour dorénavant la profondeur du contenu, le sens).

    En lecture pour aborder, rien de français (que le livre rouge de Michel Audiard, jamais trouvé en boutique). Chance, un manuel de l'American film institut (AFI) traduit en français mais depuis plus édité. Compilation de cours d'un trio de profs de scénario, avec exercices pour la prochaine fois.

    2 exercices m'ont marqué et que je considère devoir proposer pour aider les jeunes téméraires à se situer :

    1) Ecrire une scène sans personnages et donc sans dialogues, sans indication écrite (en surimpression ou dans le décor) mais que des éléments dudit décor racontant un événement venant de se dérouler. Exemple indiqué pour s'y mettre en sueur, une valise pleine d'argent abandonnée au milieu d'une place (oui évidemment, déserte) ...

    2) Idem que l'exercice évoqué par Paul Schrader dans la vidéo avec sa scène dialoguée dans le bus entre la mère et sa fille mais là, entre un enfant et un adulte membre de sa famille dont il vient de découvrir l'existence et qu'il rencontre pour la 1ère fois.

    Fait le 1er et je dois dire assez satisfait de mon exploit mais seulement imaginé (en visuel et son des voix) le 2ème et stop ! Donc, ok pour le visuel (et l'écrire) mais pas scribouiller des dialogues, pas scénariste.

    En rencontrant les 1ers producteurs de court-métrages (qui ont tous fini dans le long) et en tant qu'assistant par dépit, il fallait résoudre ce problème. Ils m'ont éjecté en me disant de revenir avec un scénario original. Même l'adaptation n'était pas encore à envisager (Certes, une façon de dire aussi : "C'est çà, casses toi, j'veux plus t'revoir !" ... Oui mais pas tous).

    Paul Schrader n'a pas tort, Story (encore dispo et actualisé) de Robert McKee n'a servi que de 1ères bases (mais snif Paul Schrader, de très bonnes !). Mais est vite venu Scénario, traduction française de Screenplay de Syd Field carrément "exigée" au directeur des éditions DIXIT (plus dispo, envoyé un mail de rappel car le seul que je recommande mais pas de réponse, ni suite) :
    Editions DIXIT & Formations DIXIT > La transmission du savoir dans l’audiovisuel

    Ouf, en attendant (vainement ?), "Inside Story" de Dara Marks (Dixit aussi) arrive à la rescousse avec la même structure de Syd Field mais reconsidérée qu'en interne (l'arc transformationnel). Souci, recourir ou revenir à Syd Field pour consolider.

    Tout çà pour confirmer que le cours en vidéo de Paul Schrader mène aux mêmes perspectives dont de concilier les fonctions de réa et scénariste.

    Mais voir des films pour se reconnaître enfin dans certains (et savoir pourquoi et pas seulement en se disant : "Tiens, je vais faire les mêmes scènes que Tarentino, comme çà, je vais être à la page et m'fondre dans le moule sans décoller le nez du smartphone).

    Un cinéaste de référence est celui qui réussira à vous rescotcher dans votre fauteuil de spectateur alors que vous étiez persuadé que vous vous en étiez levé pour faire le taf vous-même ! Faut comprendre en quoi et comment il a commis cet ignoble affront ...

    Exemple perso avec le fameux J.A Bayona. Dans The impossible, il m'a surpris avec son épilogue qu'il a filmé en reprenant la structure générale de l'histoire mais en montrant (visuellement et en musique) la lumière primordiale à la sortie de la caverne :

    (les critiques prétendent que c'est trop larmoyant mais on parle ici d'émotions qui nettoient).
     
    #51 REDoré, 18 Novembre 2021
    Dernière édition: 18 Novembre 2021
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  7. homero

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    T'as passé les 1000 vues en seulement 4 pages et sans parler matos qui, on le sait, est la principale motivation ici ... et en abordant celle de base qui devrait vous pousser à appuyer sur le bouton de la RED ! :good: ... Ca y est, c'est fait, on est rentré dans le rang ... :D
     
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  8. nestaphe

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    Question livres d'accompagnement à l'écriture filmique, j'ai pour coutume de dire aux jeunes adultes avec lesquels je travaille de lire pour le côté dramaturgie des livres qui traitent en profondeur de... dramaturgie ! :-) (par exemple en français, celui de Lavandier). Et pour la forme, un livre qui approfondit la forme et seulement elle, comme celui de Perret et Barataud. Pour le reste, je pense que c'est surtout de l'observation, de la culture au sens large du terme, un fort intéressement à la nature humaine (qu'on l'apprécie ou non, d'ailleurs...), de l'esprit et beaucoup, beaucoup de questionnement. Tout ça comme pour pas mal de choses... :rolleyes: Il y a de quoi lire (et voir et entendre et vivre) dans bien des domaines...

    Quant à ces innombrables bouquins qui se veulent de traiter de l'écriture de scénario en l'abordant un peu sous tous ses angles, sans jamais vraiment en épuiser aucun (forcément !), ce qui représente la grande majorité des publications sur le sujet, ben t'en a lu un, tu les as pratiquement tous lu !
     
    #53 nestaphe, 18 Novembre 2021
    Dernière édition: 18 Novembre 2021
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  9. REDoré

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    Bonjour et vraiment merci @homero ! Belle réaction escomptée aussi chez les djeunes ;) !

    Merci également @nestaphe et tout à fait d'accord ! La culture cinématographique restant néanmoins centrale avec celle de la vie.

    Je précise donc que me concernant, je fais partie de la catégorie où jeune, j'étais plus attiré par la réalisation et souffrais de vraies lacunes en scénario. J'en étais resté sur l'exemple des duos cinéaste/scénariste (tel forcément Carné/Prévert) mais on a fini par m'en culpabiliser et c'est la seule raison de mes recherches de lectures pour y remédier. Ce qui ne veut pas dire que c'est valable et donc impératif pour chaque catégorie de petit(e)s farfelu(e)s de notre espèce.

    Mais les bases présentées par Paul Schrader restent des plus utiles et même pertinentes pour tous et toutes et déjà pour nos chers et chères débutant(es). Autodidactes autant qu'en projet d'école.

    Rien contre Yves Lavandier, je l'ai connu bien avant qu'il ne publie son pavé et j'appréciais son projet de proposer des formations (stages d'abord). Il a tenté le long-métrage avec "Oui, mais ..." soutenu par Gérard Jugnot mais bien compris qu'on avait (et surtout moi) encore bien des choses à creuser o_O

    Si on en revient toutefois à ce que Paul Schrader débite, on ne l'entend à aucun moment parler de dramaturgie mais je le soupçonne fortement de plutôt se référer à Syd Field avec son "plan" ("outlining") où il s'impose de connaître sa fin.

    Je le maintiens, le secret est et reste la structure. Quitte à vous stupéfier, l'intrigue n'est que la dernière phase et elle résulte d'un processus technique et non dramaturgique et encore moins littéraire. Nous ne nous exprimons même en "écrivant" un scénario, qu'en images et en sons (en audiovisuel).

    Parce qu'il n'y a finalement que la structure pour servir de socle à sa si jolie métaphore de la vie ! Rien de restrictif à s'appuyer sur une structure, elle n'oblige à rien, elle supporte les fondations de sa créativité !

    Entendu Josiane Balasko répondre à un journaliste que pour Les bronzés, la troupe du Splendid n'avait lu que La poésie d'Aristote et pour Starwars, Georges Lucas s'était coltiné Le Héros aux mille visages, le pavé (au ton trop universitaire à mon goût) de Joseph Campbell ...

    Perso, c'est Dara Marks qui m'a claqué la tronche (bien après Robert McKee et sa métaphore de la vie et Syd Field pour la force et la solidité de sa structure parce qu'organique, son paradigme !

    Seul bémol comme pour Paul Schrader et sa petite confusion entre la métaphore et le personnage, quand on en lit un, on attend qu'il réponde à un besoin personnel spécifique, à une carence ressentie dont éventuellement en dramaturgie mais aussi en musicalité, en chorégraphie mais surtout en sens et point de vue.

    Comme devoir voir plusieurs films, tenter plusieurs cinéastes (même directions photo ou univers sonores et musicaux) pour identifier ce que cherche à exprimer notre rage ou mieux, toute une générosité d'émotions que l'on sentirait nous habiter :jap:

    N'est-ce pas encore, cher Juan Antonio ;) ?


    Oui, des fois, çà peut être de la peur ou de la violence ... ou autre
     
  10. homero

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    Pas possible, REDoré a fait une thèse sur le sujet, ex-prof honoraire à l' IDHEC ou abonné aux "Cahiers" depuis la période Bazin ... plutôt vu son âge "Positif" période Ciment ... (toujours actuelle) ... les 3 ? :laugh:

    Quand je pense que la première phrase que je sortais à mes stagiaires issus des écoles était "Garer la bagnole, c'est la moitié du sujet de fait !" :unsure:
     
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  11. JLH 37

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    Comme REDoré s'appuie beaucoup sur le film "the impossible" du coup j'ai acheté le Blu-ray (qui a effectivement reçu une très bonne critique tant technique que pour le film lui-même).

    Il aura donc les "honneurs" de mon petit coin cinéma en projection et son multicanal.

    Grace à REDoré...;-)
     
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  12. mhr

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    ...et décharger installer...remballer et recharger la bagnole, on est au 3 quart
     
    #57 mhr, 19 Novembre 2021
    Dernière édition: 19 Novembre 2021
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  13. REDoré

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    Bonjour et merci sincèrement à tous :good:

    @homero, pas de passé dans la presse critique et c'est justement Marcel Carné qui m'a incité à ne plus viser l'IDHEC, bornés que j'étais et lui avec :o (mais un bouquin ou une asso, un jour peut-être ...).

    Jean-Luc (@JLH 37), persuadé que tu y trouveras ton plaisir de spectateur et je précise que j'ai hésité à poster ce dernier extrait, craignant barber la compagnie et qu'on pense que ma culture ciné du moment se résume et se focalise sur ce seul film.

    D'autres cinéastes (en fait 2) se sont manifestés ces derniers temps (Jeff Nichols mais à part Take Shelter, souci avec ses fins et un autre hispanique, le mexicain Alejandro Gomez Monteverde pour son très joli Little Boy) ...

    Sans parler de Guillermo Del Toro (qui a donc su miser sur J.A. Bayona) et dont d'ailleurs son Echine du diable serait des plus formateurs pour les djeunes qui veulent absolument faire peur.

    C'est parce que j'avais déjà évoqué les 2 points d'intrigue de The impossible, qu'il me fallait confirmer la force d'émotion rendue possible (mais chacun, chacune a ses propres émotions à partager mais le principe reste le même).

    (Grand oui pour le son multicanal, le bluray n'est plus audible en 2:1 :col:).

    Dernier quart, ouvrir et déplier les bagages et en replier les moins importants pour l'instant ;)

    Je vous épargne les subtilités agissant sur le subconscient (et qui m'ont même contraint à ne plus trop enquiquiner @Marcello34090 sur son synopsis. Le temps est son allié).

    (The impossible en regorge, déjà pour nettoyer ...).

    Oui pour ceux et celles qui n'ont pas eu l'intérêt, le temps ou le courage de regarder la vidéo du cours, on l'entend parler de tradition orale et mine de rien, il a tellement raison :rolleyes:
     
  14. REDoré

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    Pardon, je reviens, je devais vous préciser qu'on peut partir d'une idée d'intrigue et même d'une histoire vraie (comme Ze ...) mais on la range dans la valise le temps du processus technique. On la redéplie en dernier (dialogues compris).
     
  15. nestaphe

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    Il me semble que les conseillés d'orientation ignorent tout de cela, je pense que c'est un problème. Ce sont des métiers où il faut savoir être cérébral, pour ne pas dire "intellectuel", et...

    ... et aussi une "brute" ! :approb:

    :)
     
    #60 nestaphe, 19 Novembre 2021
    Dernière édition: 19 Novembre 2021
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