Meilleure leçon de scénario (et réalisation)

La vidéo YouTube de 8'20 revenue d'elle-même toute seule et qui perso, m'avait donc convaincu sur la concentration et non l'inspiration.

Convaincu puis testé et confirmant les 2h par jour ou par projet en cours (me concernant, que par jour de 5 à 7h du mat sur mon projet de fin 2018).

Voilà pourquoi je le recommande depuis :


Au fait, je sais et comprends que tout le monde n'est pas disposé à l'approche REDoresque et préfère faire plus simple ou disons moins tarabusqué.

(Même pas pu prévenir en langage traduisible que la roue du milieu a le défaut de vouloir rouler à l'envers et que c'est l'outil dans le carton "midpoint" qui la force à revenir dans le bon sens de rotation)

Perso, bien sûr qu'idem pour le plus simple et limpide mais c'est pour le principe du nivellement par le haut dont de ses propres potentiels en scénar et réa

 

Même Matthieu Taponier vient rappeler en une capsule de même pas 1 mn, l'utilité mais surtout l'enjeu de penser nivellement par le haut :

(2h par jour de concentration mais le reste en occupations quotidiennes et poursuites d'observations, d'écoutes, réflexions, introspections et imagination).

 

Enième précision nécessaire ! Décidément, un métier où même en loisir, faut penser à tout et en même temps.

Matthieu Taponier ci-dessus #257 sur l'exemple de la "tragédie" mais qu'en opposée de la "comédie".

On peut y ranger son propre genre de prédilection respectivement dans chacune.

Comédie moins techniquement compétent, préférer le secours de Yves Lavandier (pavé ou internet).

Dans une vidéo de la chaîne YouTube Les artisans de la fiction, il raconte d'ailleurs que Francis Veber mise sur l'ironie dramatique pour ses comédies mais que çà lui est venu comme çà ... connement, que par instinct et naturellement ... Sans jamais l'avoir calculé avec ce terme (barbare) d'outil technique !

Comme quoi, sur un malentendu çà peut marcher

(Tiens, du coup, encore envie de marmonner en mode grrr : "Quand je pense à Denys de La Patellière dans la vidéo #256 (...) qu'avant de tourner ce je ne sais quoi, on lui devait notamment Un taxi pour Tobrouk dialogué par Michel Audiard parce qu'avec de vraies carrures ! Ah non vraiment quel courage et pourtant minimum 1000 fois plus de raisons de faire du boudu ...).

Edit : Supprimé ci-dessus l'entre parenthèses car grosse, grossière et monumentale erreur impardonnable : Pas le papa de Denys de la Patellière que eu au téléphone et qu'a pas pu venir à ma journée pro du collège, toujours aussi con, pensais en même temps à Pierre Granier-Deferre et franchement on peut le dire, allez savoir pourquoi

 

Oups là je suis perdu ...pour suivre les méandres de tes réflexions très personnelles il me faut le décodeur

Est ce que parfois ici on n'analyse pas l'écriture elle même avant même qu'elle soit aboutit ..un peu comme étudier un texte de Victor Hugo avant qu'il soit fini ....On avance, on recule vous connaissez la chanson

Un bon podcast qui nous rappelle que le docu est un genre beaucoup moins limité qu'on ne le pense et que la aussi il y a une écriture, mais que le tournage dépasse cette écriture, le montage à son tour également .... donc rien n'est figé dans le marbre.

Télévision, nouveaux médias, plateformes : le documentaire en tête d’affiche - MEDIAKWEST | Acast

 

Analyser pas qu'en lisant (manuels ou scénars) mais aussi en regardant selon le choix concerné, films, docus ou reportages.

Fini de chez fini le statut de spectateur ou spectatrice et si on est parfois rééjecté dans le fauteuil de la salle ou de son salon (ou même sur le tabouret de la cuisine, burin etc), c'est signe qu'il faut toujours se ressaisir, se relever et se mettre à jour.

(1 comme "2 intellectuels assis vont moins loin qu'une brute qui marche" en aurait déduit mais écrit Michel Audiard ).

 

Encore au fait, pour info à prendre ou à laisser, l'outil clé à molette dans le carton "midpoint" (ou point central) s'appelle en moins barbare la "conjugaison" (Oui, comme à l'école : présent, passé, futur).

Suffit souvent d'écouter mais avec attention et en détail, un dialogue ou monologue d'un "midpoint" même si de 4'17 autour d'un café entre 2 jeunes acteurs (restés) débutants :

En termes plus barbares REDoresques, on pivote "la tête de Janus" et incidemment la roue de la loco dans le bon sens pour bien relancer l'histoire sur ses rails.

Idem en plus court pour le "midpoint" de The impossible p.14 #207 ...

(Sympa ce soir, vous épargne l'analyse d'une lacune de Heat soulevée par la consultante Dara Marks, ma copine par manuel interposé. REDoré certain que quelque part, le "midpoint" est concerné pour espérer l'éviter).

 

Oui, REDoré n'est pas facile à suivre parfois. Cela provient surtout, à mon avis, des nombreuses images qu'il utilise :

...

Pour ma part, j'essaye de comprendre ce qui est dit au-delà de la signification littérale des mots et des phrases. Un peu comme si j'étais au cinéma où les images et les sons sont avant tout des stimuli visant des émotions plutôt que des informations narratives.
Taponier évoque des logiques musicales et lyriques qui prévaudraient sur la logique narrative. Je pense que c'est un peu comme cela qu'il faut lire REDoré, comme si on écoutait de la musique ou lisait un poème.
En tout cas cela montre que la dramaturgie n'est pas seulement un art et une science, c'est aussi une recherche, voire une école.

 

Même fait exprès de garder l'ordre de la "conjugaison" car en effet chronologiquement, j'aurais dû dire "passé, présent, futur" en bon français.

Je maintiens cet ordre et sincères bonsoir et merci @ipsonelo car que du stimuli sous-entendant qu'on part d'abord du présent.

Accepter toujours sans broncher une réaction, elle peut signaler une énième omission et donc, bonsoir et merci aussi @saint kro !

Pour la lacune de Heat, d'accord pour résumer en plus précis, le souci est en fait de vouloir confronter 2 histoires parallèles, par exemple celle de la police et celle des truands. Mais à un moment donné, il faut un point de jonction. Déduction perso, c'est ce qui a dû être attendu pour Heat à ce "midpoint" (point central).

Sauf et toujours par déduction de ce que Dara Marks a soulevé, le flic et le truand sont encore partis chacun de leur côté en restant chacun dans leurs histoires parallèles.

Je sais pas vous mais malgré les avoir retrouvés ensemble à l'affrontement final, reste comme un malaise sur l'image finale où même si chacuns inversés l'un l'autre en se tenant la main, que trop peu "d'effet miroir" avec l'image d'ouverture (un train ou un métro surgissant dans son tunnel).

Preuve tout de même que çà compte en scénar comme en réa ...

Pour dire aussi ou plutôt sous-entendre que si souci sur Heat, pas de quoi déprimer quand çà nous arrive aussi parce que surtout sans être du niveau de Michael Mann, il nous faut aussi toujours apprendre si on veut progresser.

Bonus sur le "midpoint" de The impossible p.14 #207, Ewan McGregor nous restitue et remémore le "plan" (la structure) d'un acte II depuis l'incident déclencheur (un tsunami) et encore bien conjugué dans l'ordre présent, passé, futur parce que mine de rien, çà donne tout de suite plus de punch à la loco

(Ce que ne s'impose pas la clé à molette sur le "midpoint" de Heat ).

EDIT : Heat #262 se préoccupe bien de redonner du punch à la loco mais plus que depuis l'incident déclencheur car carrément depuis tout le passé des personnages.

 

Bloqué sur le Repaire et YouTube ce soir mais pas grave parce que SCOOP !!!

Une chaîne YouTube (Les créateurs de mondes ) reprenant les propos REDoresques en (presque) plus traduisibles et surtout merci, révèle la démarche stimuli espérée de tous et toutes se sentant même que de loin, concerné(e)s

@Bazar étrange (jeux vidéo) et documentaristes compris

Attention mais tant pis, on s'en contrefiche, une promo formation à la fin car d'abord et surtout une excellente intro de 17'40 pour chacun, chacune même qu'un peu titillé(e) par le même virus actif jour et nuit :

Oui, c'est vrai, le monde est petit

Discours et démarche attendue APPROUVES

Erreur à néanmoins signaler en tapant très fort sur la table comme "une brute qui marche" (Ouille) :

La structure filmée à 7'55 n'est pas de Christopher Vögler, ni de Joseph Campbell mais bien de Blake Snyder sur la structure "mère" de Syd Field

A tous et toutes nos @ipsonelo réceptifs et réceptives même de loin *

Oui, y a du boulot mais virus actif jour et nuit et même pendant le sommeil. Alors, patience et persévérance

(Marmonner quand-même en rangeant la clé à molette dans le carton : "Le monde est petit, certes, ok d'accord ... Mais si toujours le penser et l'écrire comme Jacques Prévert dans les Enfants du Paradis : "Paris est tout petit quand on s'aime comme nous d'un aussi grand amour" ... ").

 

SOS avant dodo pour éviter les risques interdits de découragement et de renoncement devant toute cette masse de boulot à accomplir avec et c'est plus grave, un virus actif jour et nuit et pendant le sommeil mais qu'à cause de l'hémisphère droite.

Pendant toute cette aventure semblant terrible, on peut continuer sur nos petits trucs en cours.

C'est même le plus utile et efficace

Sans "Fantasy", sans science fiction, sans effets spéciaux !

Je me dévoue pour proposer un exemple :

Toujours surveillé Robert Zemeckis (pas aimé ou pas compris Les alliés mais tant pis) parce que je lui vois et sens un savoir faire très "curatif" que je me suis missionné d'apprendre puis que j'ai su aussi retrouver chez d'autres (comme par hasard cités dans la présente discussion et ailleurs ) ...

Une toute petite scène dans un appart sans décor ni rien d'autre d'extraordinaire mais bien construite conformément à Robert McKee, Syd Field, Blake Snyder, Dara Marks, Christopher Vögler, burin etc !

Le public n'en sait rien du tout et même s'en fout mais quand on a décidé de quitter le fauteuil pour enfin l'aborder, on finit par les reconnaître par petits indices.

De petits indices çà et là qu'à force, on s'aperçoit avoir retenus parce qu'intégrés et dormis dessus même depuis le début et à l'insu de son plein gré.

Il suffit de le savoir même en écrivant son petit projet du moment toujours en débutant(e) :

(Pas revu Forrest Gump récemment mais soupçonne encore un "midpoint" tant Robert Zemeckis sait aussi apprendre à bousculer une structure mais pas trop ... Juste pour le bon soin avec le bon élixir et la clé en molette dans le carton pour qu'après, on dorme bien dessus sur une scène de rencontre avec son propre enfant intérieur, en rajoute encore la métaphore de la vie).

 

Pardon, c'est reparti pour un tour (comme une roue de loco) mais juste pour préciser que "bousculer" une structure (en observant notamment Robert Zemeckis), c'est en fait diluer un peu partout sur toute la structure générale, les propriétés d'un "midpoint" (point central), d'un "set up" (exposition), d'une "nuit profonde de l'âme" puisque la structure générale reste bien fractale.

Donc, vraiment plus sûr que l'extrait ci-dessus post #268 soit bien un "midpoint" ou qu'une propriété d'un "midpoint" sur un autre emplacement de la structure.

Vu aussi entre temps, la vidéo d'un auto-proclamé "narratologue" de la franchouille, accusant les enseignants ou amateurs défenseurs des manuels américains sur la structure, de "vendeurs de rêves" et qu'il fallait donc les exclure de ses recherches (sous-entendu y compris, de ses lectures de chevet).

Pas longtemps supporté son argumentation d'ignare et donc stoppé d'urgence la vidéo pour ne pas en entendre davantage et pardon de l'expression, en marmonnant un "Ben oui, ducon, bien des vendeurs de rêves !" ...

Exemple pour la peine de la métaphore de la vie, observée sur le susdit extrait :

A un moment (bien visé), on voit le personnage "Jenny" s'adresser à "Forrest" juste devant une affiche au mur de l'entrée représentant des fleurs et des plantes.

Parce que tout "simplement", elle interprète l'archétype de "mère nature" tel que projeté sur l'affiche au mur pour mieux le dimensionner !

Le public n'y voit que du feu car qu'une vraie maman informant son futur "mari" qu'elle a déjà eu un bébé de lui (un fruit qu'elle lui a offert).

Cà a pourtant bien agi sur la mémoire du public pour y déloger une émotion et la soigner.

Le fruit offert à sa propre nature est l'enfant intérieur en cadeau inconditionnel et qui porte le même prénom du "papa", le "soi fémino-masculin" en ne reprenant de Christopher Vögler que le "Je suis ton père" de Dark Vador.

Oui que l'enfant intérieur est d'office bien plus intelligent tel qu'offert.

Cité plus haut que amour, espoir et enfant intérieur pour accéder à la mémoire mais qu'en exemples possibles.

Chacun, chacune aura sa propre approche personnelle et même le droit de rejeter ou vomir cette hypothèse proposée en stimuli et saura librement se dire "Non moua, je ferais plutôt çà et comme çà !".

(Perso, il n'y a que parce que mission ressentie de m'adresser à la jeunesse).

 

Promis, c'est fini mais pour conclure, un seul conseil de lecture bien suffisante et sans se ruiner pour qu'après, plus tard, on verra si vraiment ...

Et notamment à l'intention de @ipsonelo et autres exemples :

Déjà de petites lectures de chevet du petit manuel de Marc-Olivier Louveau p.15 #2012 puis éventuellement et quand possible, du mémo version américaine rappelé dans la vidéo #267.

Pas la peine de courir partout pour dénicher le Guide du scénariste et Théophraste ou Propp, tout est expliqué et synthétisé dedans.

Ne plus compter que sur ses propres déductions au fil des prochains projets et progrès.

Puis reste encore à dispo sur le forum du Repaire, des posts de la présente discussion tarabusquée et celle sur comment trouver les idées car c'est le préalable des préalables, une envie insistante de construire sur une idée venue tout à coup s'imposer qu'on se demande bien pourquoi et pour qui ...

Tant mieux qu'il y ait enfin une ou des réponse(s).

Et puis reste aussi encore la vidéo d'intro p.1 de Paul Schrader et à revoir de temps à autres pour vérifier si on a soi-m'aime évolué(e) ... EDIT : en scénar et en réa.

(Dans Le Virtuose, préférable que ce soit le plus jeune de l'équipe des profs qui rassure le petit chanteur à l'aube de l'adolescence que la voix ne meurt pas mais qu'elle mue et qu'il faut toujours reconnaître et respecter tout ce qu'on a déjà réussi à accomplir même dans des lavabos. Que rien n'est vain et les efforts encore moins).

Fin de la série ou que de la saison !