Discussion sur le reportage-Docu: exemple concret.

Perso, problème de durée consacrée sur le sujet, vu premières minutes pour la curiosité mais jusqu'à 14mn sur un hérisson dans le jardin, influenceur ou pas, nullement influencé pour relever le défi

 

AQW33 l'avait remarqué : le Tanguy en question n'est qu'un amateur...
Comme rappelé par certains ici, "y a pas que le matos" ! Alors le 200-600 camo, la Kimberley et la tenue camouflage, c'est le matos. Et cette tenue de camouflage intégrale elle était indispensable, car surement "bug repellent" , imprégnée de répulsif. Absolument nécessaire pour s'applaventrir devant le hérisson qui est un sac à puces inégalable en général et surtout porteur de tiques elles-mêmes porteuses de l'affreuse Borrelia burgdorferi....(qui a entendu parler de la maladie de Lyme ?)
La pelouse est infectée c'est sûr.... le cinéma animalier est une activité dangereuse, qu'on se le dise !

 

Effets secondaires dramatiques ..des années après l’infection....quasiment irréversibles..
Vie foutue
A la moindre plaque rouge un peu étendue... toubib et antibiotique immédiatement

 

Prochain reportage animalier : la tique ! (va falloir un objectif macro )

 

Ah ben en voilà une idée qu'elle est bonne !
"Borrelias of Hell".
Mêlons l'animalier au fantastique : des tiques de la taille d'un ballon de rugby,
rôderaient sur les hauteurs des Monts d'Arrée, non loin de Carhaix...

 

Sans franchement sourire ..HS

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Sportif accompli , champion de planche à voile, Ski avec les moniteurs de la station, vacances aux antipodes : Ouest US, Australie, Polynésie, Island ..etc...
Piqué par une tique à 37 ans, France cote atlantique, grosse plaque rouge passée par dessus la jambe
Premier graves symptômes à 40 ans ...immense fatigue, atroces douleurs, train avion impossible,
voiture limitée à 200Km maxi, ne peut s’assoir que sur un petit tabouret pliant spécial, obligé de s'allonger très souvent pour récupérer, plus d'autres symptômes passagers graves...
Hospitalisations nombreuses, des centaines de "spécialistes ", des traitements ubuesques parfois.
Une vie foutue ...mon plus jeune fils !

 

Bertrand.... : MP
Désolé !

 

(par mon boulot, su que la reconnaissance en ald (affection de longue durée) n'est toujours pas obtenue et qu'un jeune atteint n'a même pas été cru sur l'origine de ses symptômes).

 

Ok et merci @homero En fait, l'article concerne bien les 2 (fiction et docu/reportage) et je te propose donc de ne pas supprimer ton intervention sur l'autre discussion. Pas de doublon, ni erreur selon moi.

 

« story » au sens « début, milieu et fin » avec la volonté d’une narration un peu cinématograhique où les plans d’illustration s’enchaînent "

" les JRI les plus pro s’appliquent à créer des séquences où les plans s’enchainent comme dans un film : le lieu, le personnage qui y arrive, ce qu’il y fait, ses mains qui manipulent, l’expression de son visage absorbé par son action passe, avant de sortir du lieu, puis de pénétrer dans un autre…"

On y voit là effectivement une vrai leçon et je dirais même plein d'idées qui nécessiteront des images..etc. donc coller à ce sujet aussi et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ? | Le café du Repaire

 

On pourrait parler de l'objet d'un reportage (type news). Mais cela ne désignerait alors que ce dont on parle.

Si on parle de sujet en journalisme c'est, me semble-t-il car je ne suis pas journaliste, pour désigner à la fois ce dont on parle, l'angle sous lequel on traite voire le parti pris, comme tu le soulignes Emmanuel, il y a de la subjectivité dans tout reportage.

En fiction, le sujet du film désignerait à la fois le personnage et son environnement. L'histoire ce serait le développement du sujet ?

Sinon il y a la définition cartésienne, radicale : le sujet pense, l'objet ne pense pas
Le version XXIe siècle pourrait être : je me filme donc je suis

 

Excellente conclusion...

Bon mais parfois yadès gens qui sont persuadés qu'un objet mathématique (comme l'IA ), ça pense ...