module inscription newsletter haut de page forum mobile

Rejeter la notice

formations etalonnage sur davinci resolve

Nos Formations Etalonnage avec Forest reviennent en octobre !
Adoptez une réelle méthodologie d'étalonnage professionnelle et atteignez vos objectifs créatifs avec nos formations intensives sur 3 jours
Toutes les infos
Rejeter la notice

Formation Lumière - Pratique Intensive du 14 au 16 octobre à Paris
Formez-vous avec cet atelier de pratique intensive dans des conditions exceptionnelles ! Formation finançable.
Toutes les infos

Ateliers et Formations

Camescopes à disques durs

Discussion dans 'Informatique et vidéo' créé par elgi, 10 Juillet 2006.

Tags:
  1. Bob Art

    Bob Art Supermodérateur
    Modérateur

    Points Repaire:
    3 720
    Recos reçues:
    5
    Messages:
    14 529
    Appréciations:
    +0 / 3 / -0
    Là encore, on est d'accord sur la qualité de certains enregistrements, dans la meilleure définition, bien entendu, et lorsque la diffusion se limite au téléviseur.

    Mais les problèmes des caméscopes enregistrant sur disque dur ou carte mémoire commencent lorsqu'on cherche à aller au delà.

    Au delà, c'est quoi et quels problèmes ?

    - le montage lorsque les caméscopes à disque dur ou carte n'enregistrent pas dans un format standard ;

    - la qualité de la vidéo après montage lorsqu'on doit travailler la vidéo et ensuite la compresser pour la diffuser, non pas à partir du caméscope (puisqu'on n'a pas de cassette), mais sur DVD. Cela dit, pour faire fuir des "amis" encombrants, il suffit de leur proposer une petite injection/projection pourrie de 5 minutes. C'est efficace !

    - la conservation de ses rushs et de ses montages dans un format qui permet de les retravailler plus tard, à l'occasion d'un nouveau montage intégrant des éléments anciens (cas des films de mariage ou d'anniversaire ...). Sur quoi conserver ? Sur cassette (bis repetita) ? Sur disques durs externes (auquel cas, le minimum de précaution est de faire la copie sur 2 disques durs ? Au bout de 100 heures d'enregistrement, on a besoin d'un tera octet d'espace et d'une bonne base de données).

    Certes, comme on me l'a déjà dit, mes exigences excèdent celles du grand public qui se tape de la qualité vidéo et qui se satisfait d'images enregistrées sur téléphone portable.

    Mais je crois que la vocation d'un site, tel le Repaire, n'est ni de flatter, ni de viser la médiocrité, mais de rechercher la qualité et de trouver celle qui permet de partager et d'apprécier ce qu'il y a de plus beau.

    Difficile à atteindre ! On ne se refait pas.

    Bob
     
  2. bcauchy

    So

    Points Repaire:
    16 000
    Recos reçues:
    374
    Messages:
    25 986
    Appréciations:
    +768 / 2 641 / -55
    Euh ..!!!! Et si on reprenait les bases !!

    ;) salut Monique
    En informatique avec des cartouches type 9940 on atteint des débits de 35 Mo/s et environ 126 Go/h ... capacité native ( non compressée ) de 200Go la cartouche ..!!!
    Bon la technologie utilisée n'est pas" tout à fait !! " la même ..

    " ..simple qualité de codec, mais d'un algorithme différent..."

    Ben là ... :

    "...Un codec est un algorithme de compression utilisé pour réduire la taille d'un flux. Il y a des codecs audio et des codecs video. MPEG-1, MPEG-2, MPEG-4, Vorbis, DivX, etc.

    Il est utilisé par des passionnés à la recherche du meilleur rapport compression/qualité pour lier une vidéo

    Le mot-valise Codec est construit d'après les mots codeur et décodeur, et fait souvent appel à la COmpression et DÉCompression des données (la compression de données est un codage).
    Il s'agit d'un procédé permettant de compresser et de décompresser un signal, de l'audio ou de la vidéo, le plus souvent en temps réel. Le procédé peut être sous forme de logiciel ou encore de matériel (hardware). Par extension, c'est le logiciel ou le circuit qui contient cet algorithme.
    Ces algorithmes de compression de données permettent, en général, de réduire la taille du fichier original par des facteurs allant de 2 à 100 (voire plus pour certaines applications).
    La compression se fait soit avec des algorithmes purement mathématiques de compression de données sans perte d'information (comme un fichier zip ) ou par des algorithmes prenant en compte les caractéristiques des données à compresser et qui peuvent perdre des informations dites « non pertinentes ».
    La compression Ogg Vorbis par exemple, compresse le son suivant des critères « psycho-acoustiques » prenant en compte les fréquences non ou peu audibles du spectre sonore telles que les harmoniques et les fréquences très aiguës. C'est une compression « destructive », car elle perd des informations sonores.

    Les « codecs » vidéo MPEG, DivX ou XviD par exemple, utilisent des algorithmes prenant en compte la persistance rétinienne, la différenciation des couleurs par l'œil et d'autres « imperfections » de la vue pour enlever de la compression à effectuer des détails que l'être humain ne perçoit presque pas en temps normal. Il s'agit aussi de compressions dites destructives.

    Certains formats de fichiers désignent à la fois le conteneur et le codec, d'autres uniquement le conteneur, et d'autres uniquement le codec.
    À cela s'ajoute la notion de support : disque dur, disque optique CD ou DVD, mémoire flash...

    Extraits du site Wikipédia

    Plus l' algorithmes est "puissant " ( en terme de qualité ) plus les machines qui doivent l'uitilser doivent l'être aussi .

    Une décompression d'un algorithme destructeur est toujours une "improvisation" la plus probable (plus ou moins réussi selon la qualité des algorithmes ) entre deux images de références .
    C'est le terme "le plus probable" qui est le troublion.

    Un trou de mémoire lors de l'interprétation d'une oeuvre au Piano sans partition peut "facilement" être "comblé " par la pianiste qui vas jouer les enchainements de notes les plus probables ( et même dans le style du compositeur pour les Pro.) ...mais en général sont a des années lumiéres du génie du compositeur ( Essais à faire avec une partition de Chopin !!! ) l'oreille moyenne du "grand public" ne percevra rien ..sauf les initiés ..!!! ..


    Bertrand :cool: :cool:
     
  3. Bob Art

    Bob Art Supermodérateur
    Modérateur

    Points Repaire:
    3 720
    Recos reçues:
    5
    Messages:
    14 529
    Appréciations:
    +0 / 3 / -0
    On rencontre actuellement un problème d'orgaisation du débat au sujet des enregistrements sur disque dur puisque plusieurs threads abordent simultanément ce sujet, notamment le suivant :

    http://www.repaire.net/forums/news-commentees/100938-camescope-a-disque-dur-enfin.html

    Un autre s'en approche :

    http://www.repaire.net/forums/dv/129617-dv-minidv-format-video-grand.html

    En ce qui concerne le point central, les caméscopes à disque dur, skip le cariboo, dans le 1er thread signalé ci-dessus, reconnait que le stockage restant le point faible de cette technologie, on peut très bien faire son montage à partir d'un caméscope à DD et ensuite faire son master sur bande.

    C'est bien le problème. La nouvelle technologie ne se passe pas encore aussi aisément que ça de la précédente. Il faut repasser pour le game over, insensé au sens 1er du terme, que l'on utilise en guise de pirouette de sortie !

    Dans le thread en question j'ajoutais :

    Moi aussi le 1er, je cherche aussi à enregistrer en qualité HDV sur DD et que j'aimerais tout faire sur DD.

    Cependant, la question actuelle ne porte pas sur cet aspect, mais sur le fait que les caméscopes à DD grand public n'offrent pas un enregistrement de base standard dans une bonne définition (on fait miroiter des dizaines d'heures dans une qualité pire que le VHS) et qu'on gomme la question de l'archivage des vidéos ainsi enregistrées (notamment AJAX qui indique que le client lamba n'a que faire de conserver ses vidéos).

    Chez Darty, Boulanger et autres, lorsqu'un client pose la question suivante : "ensuite, qu'est-ce que je fais de ma vidéo ?" Il obtient généralement la réponse suivante : "vous n'en êtes pas là ! D'ici que vous ayez épuisé les 40 heures d'enregistrement, de l'eau aura coulé sous les ponts". Et, si le client s'obstine et indique qu'en enregistrant dans la plus haute qualité, il aura épuisé ses capacités d'enregistrement au bout de 3 à 5 heures, on lui répond : "il suffit de transférer vos vidéos sur le disque dur de votre ordinateur".

    Très bien, on atteint ainsi l'idéal pour monter (lorsque l'enregistrement est dans un standard de qualité), mais ensuite après avoir accumulé les enregistrements, comment assurer la pérennités et la conservation des rushs ? Il faut jeter les vidéos lorsque les DD sont pleins ? Il faut doubler les DD pour se garantir contre les crashs de DD ?

    Bref, le caméscope à disque dur est un produit qui nécessite des investissements supplémentaires conséquents dont on ne parle pas au moment de l'achat, de la même manière qu'on n'indique pas au client non averti, attiré par le HDV, qu'en achetant un caméscope (enregistrant sur cassette miniDV), il pourra certes voir ses vidéos dans une très belle qualité sur un TV, même standard, mais qu'il ne pourra les monter que s'il s'équipe d'une config relativement puissante.

    Mais il est vrai, en ce qui concerne les caméscopes enregistrant sur DD, que le disque dur classique qu'on utilise pour transférer les vidéos coûte de moins en moins cher et que l'on peut désormais archiver sur DD sans se ruiner. Encore faut-il avoir les compétences techniques pour le faire correctement et ne pas oublier de doubler systématisuement l'archivage sur 2 DD distincts (ce qui requiert un peu d'espace, de chaleur et de dépenses).

    Et, en ce qui concerne le HDV, il est vrai que les config sont de plus en plus performantes et que les "core 2 duo" très puissants, plus que les AMD les plus puissants, au prix des proc courants, mettra le montage HDV à la portée de tout un chacun. Dans cette perspective, la question de l'archivage ne se pose pas de la même manière en HDV puisque l'on conserve ses vidéos sur les cassettes d'enregistrement et que l'on crée des master sur cassettes mini DV avant de graver les montages correspondant sur DVD pour la diffusion.

    C'est cette approche complémentaire qu'il faut ne pas perdre de vue lorsqu'on s'intéresse à l'enregistrement sur caméscope à disque dur, ou sur carte mémoire ou sur cassette miniDV.

    Bob
     
  4. Bob Art

    Bob Art Supermodérateur
    Modérateur

    Points Repaire:
    3 720
    Recos reçues:
    5
    Messages:
    14 529
    Appréciations:
    +0 / 3 / -0
Chargement...

Dernières occasions

 

Partager cette page