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Vos plus beaux films

Discussion dans 'Repairenautes cinéphiles' créé par blezouille, 28 Septembre 2003.

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  1. Réversible

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    Nanars : Les Max Pécas du style Deux enfoirés à Saint Tropez et Mieux vaut être riche et bien portant que fauché et mal foutu,
    ou Les Charlots, ça oui. Films sans aucune prétention, à la réalisation et aux jeux approxymatifs, mais qui peuvent ravir tout de même par leur aspect naïf, enfantin, et leur second degré.

    Un navet quant à lui, est un film sans profondeur, sans humour ni second degré qui se construit avec ambition ou au contraire, de manière totalement désinvolte à des fins purement commerciales, et qui provoque au final un ennui insondable chez le spectateur, souvent doublé d'un agacement + ou - important. Il donne généralement l'envie de lancer des légumes(congelés pour les pires navets) sur le réalisateur, à la fois médiocre et prétentieux voire tout simplement bête et opportuniste. La liste est longue.
    C'est pourtant difficile de trouver un navet total qui fait l'unanimité. En me balladant sur Allociné j'ai trouvé Foon, dont le titre et les commentaires des internautes m'ont bien fait rigoler. On peut objecter que c'est un nanar puisqu'on y trouve une tentative d'humour...et bien non. Il s'agit bien d'un navet. Les critiques sont formelles.
     
    #151 Réversible, 1 Août 2008
    Dernière édition: 1 Août 2008
  2. Lucarne de Calabre

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    Tralala boom boom

    D'accord avec toi Réversible, c'est juste que, évidemment, chacun a sa propre définition du nanard (je met un "d" au bout car ça me rappelle "Bernard", et que ce prénom m'a toujours évoqué - A TORT J'EN CONVIENS, MEA CULPA LES BERNARD - une certaine beaufitude) et sa propre définition du navet... Enfin, disons que quand je dis que Les bronzés 1 et 2 sont des nanards, c'est plutôt flatteur. Les nanards peuvent témoigner aussi à mon sens d'un certain génie (contrairement aux navets). Pour les Bronzés 1 & 2, la satire sociale est évidemment pregnante et même géniale faut le dire, malgré l'apparente platitude du synopsis.

    Et puis il y a aussi la dimension commerciale (chiffrer, cibler voire créer une demande, puis formater une offre en conséquence...) qui vient perturber énormément encore cette classification nanard/navet... Y a des nanards et/ou des navets commerciaux, d'autres non... Par exemple, les Bronzés 3, là, n'est plus du tout une satire sociale géniale... C'est complètement bouffé par l'aspect commercial et blocbuster... et là, à mon humble avis, on frise le navet ultra-commercial.

    Tout ça amène jusqu'à la réflexion extrêmement subtile d'un Truffaut qui revendique même, et avec la fougue et la véhémence qu'on aimait tellement chez lui, le fait de vouloir faire des films divertissants (Cf. sa passion pour le cinéma-entertainement de Hitchcock, mais aussi sa défense de Sacha Guitry, sa remise en cause des classifications boulevard/non boulevard etc.) mais où l'aspect commercial est totalement mis au second plan... Quelle gageure!

    Enfin, et via le génial Truffaut, restons peut-être sur les BONS films sur ce fil...
    :rolleyes:

    ---------------
    AU SUJET TRUFFAUT, AVIS A TOUT CINEPHILE :
    REECOUTEZ TOUS SUR INTERNET LES MATINEES DE FRANCE CULTURE (9h-12h30) DE CETTE SEMAINE, 17H30 DE PROGRAMME GENIALEMENT ET INTEGRALEMENT CONSACREES A MONSIEUR FRANCOIS...
     
  3. Réversible

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    alors au sujet des bons films...

    Cette notion de divertissement revient souvent. Par exemple, faut-il absolument écrire des romans ou tourner des films graves pour toucher à l'essentiel ?
    Molière pour citer un des plus célèbres tragédien de notre patrimoine culturel, écrivait avant tout des comédies pour capter l'attention en divertissant le public, et dans lesquelles il arrivait à faire passer des analyses très fine de l'âme humaine tout en dissimulant de rageuses critiques sociales (qui ont finit par lui attirer de gros ennuis).


    Les plus belles réussites à mon avis, sont celles qui allient humour et gravité (ça n'empêche pas qu'il y ait des chefs d'oeuvres complètement sombres)- Coup de torchon de B Tavernier est le premier film qui me vient. Ou bien Dog Ville, avec de petites pointes d'humour noir cinglant.. Et ces films là sont souvent les plus divertissants.:approb:
     
    #153 Réversible, 1 Août 2008
    Dernière édition: 1 Août 2008
  4. Réversible

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    Je termine et ensuite je laisse la place au divertissement. : )

    Apocalypse now de F Coppola est extrêmement divertissant parce qu'il est spectaculaire et fascinant. Comme peut l'être en peinture le massacre des innocents de Rubens ou Le radeau de la méduse de Géricault par exemple.

    Quoi qu'il en soit, grave ou drôle, L'art est forcément divertissant parce qu'il provoque chez le spectateur une excitation intellectuelle et/ou qu'il suscite une vive émotion (désagréable ou non). Si rien ne se passe, c'est l'ennui, et c'est donc qu'il s'agit d'une oeuvre ratée puisqu'elle ne communique aucune information pertinente. Au cinéma : un navet!
    Une des raisons d'être de l'art, est qu'il nous diverti d'une façon ou d'une autre. Si une oeuvre ne provoquait aucune réaction chez le spectateur, elle n'aurait aucune chance de faire évoluer la pensée (un des objectifs visé par l'artiste qui propose une nouvelle vision de la réalité) car elle ne retiendrait même pas notre intérêt. Et pour cause, puisqu'elle en serait dépourvue.:-)

    Un cinéaste qui ne tente pas de se divertir, et par extension divertir les autres, je crois que ça n'existe pas. Un peu comme un sportif de haut niveau qui pratiquerait sans passion ni plaisir physique. Enfin ça doit bien exister quand même ...
     
    #154 Réversible, 1 Août 2008
    Dernière édition: 2 Août 2008
  5. Lucarne de Calabre

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    Très intéressant cet échange avec Réversible sur le "divertissement"... Car c'est devenu en effet un maître mot pour de nombreux cinéastes... Mais je ne semble pas mettre les mêmes choses derrière ce mot que toi.

    Pour moi non, l'art n'est pas forcément divertissant pour autrui: la prise en compte consciente du public n'est pas à mon sens un pré-requis indispensable. Car on basculerait là directement dans une économie de l'offre et de la demande...
    Des gens comme James Joyce, Antonin Artaud, ou même Truffaut (bien que chez lui c'est un truc hyper dur à saisir, mais dont il a une totale conscience...) n'ont souvent créé que parce qu'ils ne POUVAIENT pas faire autrement (c'est ça ou la mort par exemple pour Artaud, Joyce, Nerval, Van Gogh...), et surtout pas pour combler une demande et satisfaire donc à "divertir" un public. Ils ne cherchent pas en premier lieu à provoquer une émotion chez leur public, mais déjà surtout et avant tout, à se dépatouiller avec la leur, d'émotion, qui les submerge et les déborde (c'est ça qu'est très dur à saisir chez Truffaut car sa vie était entièrement voire pathologiquement vouée au cinéma - "je ne veux pas faire de thérapie, car j'aurais trop peur de ne plus être cinéaste" a-t-il dit un jour - mais en même temps il ne cesse aussi de clamer qu'il faut d'abord penser au public du film). Perso, c'est là que je place le curseur entre artiste et artisan (et pour moi Truffaut joue incroyablement des deux catégories). Un gars comme Van Gogh pouvait accepter - ou pas - une commande (ex. faites le portrait de ma fille), mais c'est tout, point-barre. Faites-la comme ci, faites-la comme ça... Non. Van Gogh ne fera pas une toile pour provoquer l'émotion de ses futurs spectateurs (furent-ils des bourgeois mécènes qui le paient), mais pour le premier - et unique - spectateur: le créateur Van Gogh lui-même. Un artiste haït les concessions, et parfois il n'est capable d'en faire aucune (c'est pas un hasard que de nombreux artistes parmi les plus créateurs côtoient de si près la folie et se marginalisent socialement). Mais bien sûr nul n'est monolithique (Cf. Truffaut), et après tout peut-être que Van Gogh a réalisé des commandes ultra précises pour bouffer ou pour faire plaisir, mais alors il l'a fait dans un rôle d'artisan, ce qui n'enlève rien à son génie d'artiste qui peut aussi y transparaître. Mais d'autres tableaux parmi les plus connus, on le sait, ne sont eux que le pur résultat d'une pulsion quasi incontrôlable qui le poussait à incarner quelque chose sur la toile en la malmenant, en empoignant avec fièvre pinceaux et couteaux, en se battant avec son matériel comme Thésée avec le Minotaure, sauf que le Minotaure était en lui (épisode de l'oreille coupée...), endossant donc par là non plus le rôle de l'artisan ("l'offreur travaille pour un demandeur"), mais celui d'artiste (il ne peut pas faire autrement, c'est plus fort que lui). Bref...

    En revanche, dans ce que je comprends de ton acception du "divertissement", je pourrrais à la rigueur être d'accord avec toi en disant que le réa "SE divertit" toujours en tournant. Mais seulement dans le sens où il CREE en tournant, donc oui il SE divertit toujours, mais comme on dirait que tout être humain respire... Car à ce moment, on "se divertit" tous, c'est la vie: chacun d'entre nous, artiste professionnel ou pas, quelle que soit notre culture, on se bricole tous un tas de choses, on s'arrange de la réalité, on la voit d'un certain angle, on la fuit, on la cherche, on la reconstruit (...j'avoue que la psychiatrie - où je bosse - est fantastique là-dessus, et les ateliers video valent bien la cinémathèque...). Bref dans ce cas là, je vois pas bien l'utilité d'employer le mot de divertissement s'il est humainement universel. On dit qu'on se divertit, comme on dirait qu'on se construit ou qu'on respire.

    Bref, comme je dois partir, je reste sur ma fin de pas finir cet espèce de brouillon-là (c'est en balbutiant qu'on finit par parler!) et de pas pouvoir poursuivre ce qui n'intéresse apparemment que nous (et je comprends, car là vindius (!), on part sacrément loin dans l'analyse et les abstractions). :perplexe:
    Enfin, c'est un peu normal et humain tout ça, tant qu'y a pas de logiciel automatique et standard d'analyse artistique et cinématographique (sacré tant mieux!).

    La suite prochainement sur cet écran
    :-)
     
  6. Réversible

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    Je confirme que c’est bien un problème de vocabulaire, car à quelques différences prêt on a bien la même vision des choses. Le terme de divertissement n’est pas très heureux mais il ne me semble pas erroné.


    Si l’œuvre traite avec acquitté et justesse d’une problématique existentielle, alors il y a forcément une demande latente de la part d'un public. Dans ce sens, le public n'est pas forcément recherché par l'artiste mais il s'impose de lui même à partir du moment où l'artiste tire vers la lumière (sous les projecteurs) l’essence des troubles humains, bien souvent hors de porté de la conscience commune. Mais c'est avant tout le public ou la critique qui s'empare d'une oeuvre et confirment son importance. D'un autre côté il peut arriver qu'un chef d'oeuvre ne reçoive pas l'accueil qu'il mérite, ou au contraire, qu'une création mineure suscite l'engouement.

    Je suis entièrement d’accord et pour paraphraser approximativement P Soulages, on crée avant tout pour soi. Ensuite si les gens s’y retrouve c’est tant mieux.

    Personnellement je ne conçois pas l’art comme autre chose qu’une tentative de réorganisation de son propre chaos intérieur. Bien sûr, avant toute chose, un authentique artiste lutte tout d’abord contre ses démons pour utiliser un lieu commun tiré à ma connaissance d’une analyse de S Zweig. Van Gogh en est l’archétype, bien que cette figure de l'artiste en souffrance puisse s’appliquer à l’immense majorité des créateurs qui ont marqué l’histoire. Même un peintre comme Picasso, dont la vie fut semble t –il heureuse dans la mesure du possible, pouvait être fortement tourmenté et en proie à des doutes profonds, qui auraient peut être pu le dévaster s’il n’avait pas eu cette force de vivre qu’on lui connaîssait.

    Et même si la préoccupation apparaît d’abord sur le plan personnel, au final, il n’empêche qu’après Van Gogh comme après d’autres créateurs peut être plus conscient du bouleversement qu’ils allaient apporter à la pensée (bien qu’il semble que dans beaucoup de lettres Van Gogh était fortement guidé par une foi en cette clairvoyance qu'il abritait en lui et qu’il se devait d’apporter au monde) , l’Occident tout entier n’a plus appréhendé la peinture, et par extension le champ perceptif, de la même manière. Comme ce fut le cas après la renaissance (qui donna une place central à l’être humain au détriment de la divinité) , ou après le cubisme, ou l’abstraction par exemple.

    C’est tout à fait dans ce sens que j’employais le terme de divertissement.
    Mais je ne pense pas qu’il soit inutile de l’utiliser. Ne serais-ce que pour rappeler que nous évoluons et apprenons à travers la contrainte mais également à travers le plaisir.
    Il s’agit également d’une fonction essentielle du psychisme. Le divertissement sous la forme artistique nous permet de nous évader d’une identité quotidienne, vers un imaginaire dans lequel nous vivons par procuration de nouvelles expériences. N'est-ce pas là en particulier, l'essence même du cinéma?
    Sans cette projection (projection de soi, et d'une image en dehors de soi - ceci depuis les premières peintures pariétales préhistorique, à l'origine même de l'humanité), peut être que la pensée humaine serait incapable d’une quelconque évolution. Et comme nous le savons depuis Darwin, toute entité biologique (et par effet d’étroite relation, toute entité psychique) est destinée à se mouvoir vers un état provisoire et continuellement évolutif...
    ...à suivre!
    :-)
    Florian
     
    #156 Réversible, 1 Août 2008
    Dernière édition: 4 Août 2008
  7. Réversible

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    Ce qui ne veut pas dire évidemment que tout ce qui est divertissant est une oeuvre d'art. Si un film n'est porteur d'aucun message important, et n'est le fruit d'aucune composition virtuose particulière, mais qu'il fait tout de même voyager le spectateur, alors c'est déjà pas mal. Et c'est là où je te rejoins pour distinguer l'artisanat du spectacle, de l'Art.
    ;-)
     
  8. Réversible

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    Alors tu as perdu l'appétit? J'espère que ce n'est pas moi qui t'aie couper la faim avec des phrases indigestes...

    Je conclus sur cette notion de divertissement.
    Divertissement ne veux pas forcément dire amusement. Je l'emploie plutôt pour parler d'une excitation intellectuelle ou émotionnelle qu'elle soit positive ou négative (comme je l'ai déjà dit). Quand je me rends dans une galerie de peinture ce n'est pas dans le but de m'ennuyer mais bien pour me divertir. Pourtant une fois à l'intérieur je ne tape pas non plus sur les cuisses en rigolant à goulot fendu (enfin ça dépend avec qui je suis).

    Pour finir, ce qui est divertissant pour une personne ne l'est pas forcément pour une autre. Les bronzés ça me fait mourir de rire et ça me donne des idées, alors que Camping ça me déprime tellement je m'ennuie pendant la projection et trouve ça navrant. Ca dépend des clefs de chacun et de nos aspirations. Dernier exemple : cette discussion m'intéresse alors que je suis sûr moi aussi qu'elle fait chier la majorité des personnes qui tombent dessus...tous les goûts sont dans la nature.
     
  9. Réversible

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    Quand je parlais d'excitation...
    err_14149_1.jpg

    Et comme j'ai pris goût à parler dans le vent :laugh: voici moi aussi ma petite liste provisoire:

    Le désert rouge ou Blow up d'Antonioni
    O sangue de Pedro Costa
    L'anguille d'Imamura
    Coup de torchon de B Tavernier
    l'ami américain de W Wenders
    Série noire d' A Corneau avec P Dewaere
    Le vent nous emportera ou le goût de la cerise d'Abbas Kiarostami
    Les vacances de monsieur Hulot de J Tati
    Les bonzés de P Leconte
    I'm Josh Polonski's brother de R Nadjari
    My name is Joe de K Loach
    L'amateur de K Kieslowski
    Meurtre d'un bookmaker chinois de J Cassavetse
    Conte de la folie ordinaire de M Ferreri
    La vie de Brian ou Sacré Graal des Monty Python

    En bonus : Un film de Lars von trier au choix à part Le direktor ou Les idiots
    la série La cité des hommes de Katia Lund et fernando Meirelles
     
    #159 Réversible, 4 Août 2008
    Dernière édition: 5 Août 2008
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    bjr a tous si vous avez pas vus pi b c'est a voir absolument c'est le films le mieux realisé et qui nous acroche sens con puisse faire quelque chose.

    y a aussi:
    -horphelina
    -signée furax
    -gothika
     
  11. campouse white

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    j'ai fahi oublié stallag 17
     
  12. Réversible

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    A ui, pie dAro novski é vré ment su paire. Par con tre gothika jeu trou veux ke c de la mer2.
     
  13. Réversible

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    Signé Furax je ne connais pas du tout.
    Sacré casting, d'après ce que j'ai trouvé.
    Stalag 17, jamais vu. Une bonne idée pour une prochaine location....
     
    #163 Réversible, 6 Août 2008
    Dernière édition: 7 Août 2008
  14. campouse white

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    et javais oublier tt les film de dupontel ts a voir.
    un quon ma fait decouvrir et qui pe interesser tous les prof ou se qui aime la spycologie c 2h37 qui est asser marquant
     
  15. Réversible

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    Ah oui moi j'ai vu 7h58, je devais être en retard...
     
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