Une excellente analyse du film Rambo, 3 heures de vidéo en 12 épisodes

Oui, pour çà qu'au café, on peut se satisfaire d'une table en terrasse et en comité restreint mais où vient s'y asseoir qui veut

Précision, demandeur que de bien connaître les principes (pas les règles) avant de prévoir les transgresser. De d'abord savoir de quoi il s'agit.

 

Ah enfin on le tient .....

La démocratie c'est bien... mais faut pas me faire chier....

Mais Rambo est-il un film de droite ou de gauche ...ça on ne nous l'a pas encore dit ...

 

Bin non l'petit est en train de braquer une banque avec ... ou d'attaquer le Capitole .

 

Perso, toujours démocrate ou tolérant avec ou pour un public réclamant du populaire mais du vrai, du sincère, de gauche ou de droite.

Sylvester Stallone a écrit le scénario de Rocky et seulement participé à celui de Rambo.

Pour Rocky 6, il raconte avoir imaginé une scène sur une discussion qu'il avait eu en privé :

Exemple que dans ce domaine, l'orientation est davantage sur l'émotion ou plus exactement sur le métier.

(EDIT : Vidéo changée. Pas fait attention que la précédente venait en fait d'une chaîne engagée mais même extrait auquel pensé).

 

Certain que perso, je ne recourrais pas à une telle scène mais question encore de personnalité mais que je respecte tant que la démarche reste professionnelle ...

Afficher/Masquer: HS en passant

(Vraie colère ce matin d'apprendre que le nouveau film (Sound of Freedom) de mon "pote" Alejandro Monteverde beaucoup plus proche, fasse l'objet d'une campagne inique de presse française car film notamment défendu par Donald Trump)

@nestaphe, retapé le voyage de Bertrand Tavernier avant hier soir en vidéo projo. A un moment, il note que les cinéastes français ont tendance à préférer les solos d'instruments aux "violonades", citant en exemple la guitare de Jeux Interdits et la trompette de Miles Davis pour L'ascenseur pour l'échafaud ...

(Par contre sur Joseph Kosma, un grand merci Monsieur).

 

("Complotisme" est déjà trop usé et çà n'excuse en rien les attaques contre mon "pote" (depuis Little Boy). Dès qu'il sort en France, je lèverai mon propre boycott pour aller le voir en salles. Surtout que les enfants, c'est important et que les critiques indépendantes ne portent aucune accusation gratuite contre le film).

Sylvester Stallone reste au moins l'exemple qu'on a toujours raison d'exprimer le plus librement sa personnalité sur un scénar (et le film qui va avec).

Du moment que le public accepte et sait le recevoir comme ce fût le cas de Rocky ou Rambo ...

 

Si base scénaristique, ok (Je crois jusqu'à l'avoir vu que ce n'est même pas le cas pour le film puisque le camp adverse lui reproche de "n'avoir pas été assez loin").

Mais laissons naître ou pas le débat surtout sur une question aussi cruciale. Le succès immédiat au box office américain est beaucoup plus parlant.

Comme concernant Sylvester Stallone, la presse n'a pas à intervenir sur les choix du public et ne sélectionner que selon des listes de ceux qui ont salué et ceux qui ont rejeté.

Perso, je le soutiens sur son début de parcours de scénariste et d'acteur. Sur les suites, on peut à la rigueur discuter mais s'il hésite à trop s'engager politiquement, c'est son droit (pas obligé de faire comme Arnold ).