Théâtre des émotions

Merci beaucoup @ipsonelo et oui c'est bien tout cela

Merci beaucoup @REDoré je prend bien note de tout ça et vais voir de ce pas le film dont il est question !

 

Autant en profiter pour aussi préciser et tant mieux si ici avec toi @PetitNuage-Thomas, qu'en plus des réactions sur le vif du spectateur, @ipsonelo a apporté comme souvent, sa jolie contribution technique post #1341.

(Perso, pas percuté tant qu'encore sous le choc de l'accident parce que concernant des enfants. Pas réagi tout de suite en version métaphore de la vie ).

 

@PetitNuage-Thomas, je dois revenir à nouveau à ta rescousse.

Oui, l'exemple proposé en lien #15 dispose bien de tous les outils dramatiques de rigueur mais surtout de la bonne technique pour les agencer et construire le récit le plus efficacement et en profondeur.

Ce qui ne t'est pas demandé ni à l'épreuve de fin d'études, ni encore moins par moi-même qui n'en a aucun droit :

Ce ne sera qu'un des objets de tes futures recherches et que si d'abord tu le souhaites et que surtout, tu le décides.

La construction elle-même de ton récit se tient déjà et provient bien de ton travail personnel (recherches incluses).

Tu es donc déjà fourni en outils nécessaires mais ta boîte n'est seulement pas encore complète.

Et même si c'était le cas, tu n'aurais pas forcément chaque fois besoin de leur intégralité mais que d'un minimum requis pour un projet en cours.

C'est en cela que le temps reste et restera ton allié car il n'y a que la vie pour te faire évoluer.

Je ne sais pas quel âge a Jeremy Comte auteur et réalisateur de l'exemple proposé mais constates les personnes qui ont dû l'aider autant sur son sujet que pour sa construction dramatique.

C'est à ce titre que je me suis permis de t'identifier le premier mais le seul élément technique qui te manque encore sur Le théâtre des émotions ou que tu n'as pas su clarifier en "profondeur".

Sous le drap, tu t'es contenté de faire lire Le petit prince à la petite fille.

Tu as ainsi déjà compris la nécessité de créer un monde intérieur à ton personnage mais qu'il ne te faut plus qu'apprendre à mieux en restituer la métaphore au public.

Ce qui confirme que tu es bien sur la bonne voie et que personne ne peut te reprocher de ne pas encore avoir le réflexe "professionnel" de puiser dans tout ce que tu as déjà intégré ou même dans ce que tu possèdes déjà en toi à cet effet.

(A ton âge, je me suis moi-même insurgé contre Luchino Visconti affirmant que "personne n'est capable de faire un film avant ses 40 ans". Même si on peut toujours discuter cet âge précis, admis depuis qu'il avait raison sur le principe parce que la vie apporte bien son tribut).

Seule piste en conséquence à ce stade de ton apprentissage :

Le conflit entre les parents ne nuit pas suffisamment à la croissance interne du personnage, celle dont se délecte la dame dans son fauteuil à la fin.

Au contraire d'un père absent dans l'exemple puisque jusqu'à bouleverser l'axe du monde intérieur de Tyler (savamment inversé) :

(EDIT : corrections)