star wars episodeIII==> alors?

hihi

Au fait, Houartna, ça fait un moment que je devais te laisser de
mes nouvelles... je t'écris un message privé.
J'aurais bien raconter ma vie ici, c'est plus sympa, je n'ai pas peur
de passer pour un exhibitionniste mais on me prendrait pour un vantard :lol:

 

Ouais. Sauf que aujourd'hui je gagne pas ma vie dans le ciné, mais dans le théâtre.
Du coup, c'est plus dure de faire des sabres lasers et des batailles spatiales en live sur un plateau...même si il fait 18m d'ouverture... et a des cintres à 22m.

Sob :(

Pour en revenir à Lucas. Création encéphalique plate et investissement majeur dans les technologies de demain. C'est quand même lui qui à permit l'éxistence du montage virtuel.
Au détriment du cut cèrtes, mais quand même, des fois ça fait plaisir.

L'épisode 3, lui, assure à peine le chainon manquant entre les deux trilogies, avec son lot d'incohérences.
Mais était-ce bien nécessaire?

Ce bon vieux George a surement loa trouille de s'attaquer à quelque chose de nouveau.
Le pauvre!

Il ferait bien de suivre la voix d'Usul. (hé hé)

A+ et bonne nuité!

 

bah pourquoi il ferait autre chose ? toi même tu dis vouloir faire
aussi des sabres lasers et des soucoupes volantes...

 

C'est vrai qu'entre le son THX, l'invention des produits dérivés de manière intensive, du marketing de masse, et du studio de post-prod ILM qui a permis aux trucages numériques de naître et de prendre leur envol, il nous a gatté le tonton Lucas!

Reste à savoir quoi faire de tout ses joujoux, parce que jusqu'à maitenant les trucages numériques c'est plus une vitrine technologique qu'autre chose...

Le jour où on arrivera à s'en servir pour prolonger le langage cinématographique... pfiou, le cinéma aura avancé d'un pas.

Alors à quand la relève? Usul, on s'y met?

 

D'ailleurs je pense que cette technologie donne un nouveau langage cinéma dans SIN CITY ... non ?
Notemment le sang qui n'est pas rouge, malgrés les grosses scènes de violence, et qui du coup choque moins le spectateur ... Je parle là d'effet spéciaux simples... mais qui donne un réèl plus à la conception d'un film non ?

 

Moi ? je tournerais toute ma vie avec une super 8


Valkan, il y a une différence entre "langage cinématographique"
et astuce pour éviter l'interdiction au moins de 16 ans ...

Je vais être plus sec, mais je dirais qu'il faut arrêter d'utiliser des
mots où des expressions que l'on ne comprend pas. Cela les rend
obscène et il faut sans cesse en trouver de nouveau.

Par ce que tu as dit valkan, on saisi bien que tu ne sais pas ce
que implique "langage cinématographique". Alors tu ferais encore
mieux de poser la question et de passer pour un idiot vis à vis
de ceux qui en savent encore moins que toi, plutôt que de couper
l'envie de t'expliquer à ceux qui en savent un peu plus ...

est-ce que j'ai parlé de brecht moi ?

 

Le language cinématographique n'existe pas.

 

d'autant plus


je noterais tout de même ta tendance à la provocation un peu
niaise, stérile et légèrement inexacte

 

En même temps je sais de quoi je parle, contrairement au pauvre ValKan "qui ferait mieux de poser la question" Mais si ma "tendance à la provocation" est niaise et stérile, est-elle aussi "légèrement inexacte" ? Ou est-ce plutôt mon affirmation ? Ce qui reste encore à démontrer...

 

qu'est-ce que tu veux que je te dise...


il me semble que contrairement à ce qu'il se raconte un peu
partout, ça n'est pas ceux qui savent qui refuse de partager leur
connaissances, c'est ceux qui ne savent pas qui profitent de la
moindre occasion pour traiter d'imbécile ceux qui posent des questions

 

Salut!

Non, tu m'a mal compris (car je me suis mal exprimé.)
Quand je dit que "Du coup, c'est plus dure de faire des sabres lasers et des batailles spatiales en live sur un plateau...même si il fait 18m d'ouverture... et a des cintres à 22m"
ce n'est pas une histoire de frustration de ma part, c'est que le théâtre implique de passer par une autre forme pour exprimer les idées et les effets. Une forme qui souvent et en relation avec la perception du spéctateur. Un échange. Voir une experience catarsystique.

Ce qui donne parfois sur le plateau: hmmm, comment faire une bataille épique de 20 000 fantassins avec 5 figurants?... Laissons tomber l'épique et interressons nous à la veritable raison de cette bataille, nettoyons l'image.

Travail qui finalement transpire sur mon "loisir" d'avec une cam.
Mais c'est pas facile de ce vider des structures classiques.

Et je n'ai jamais cherché à faire quelque lasers que ce soit en plus.

Et je ne parlerais pas de narration cinématographique. Je ne suis pas bien sûr de savoir ce que c'est. A part coller des images bout à bout.

D'ailleur Usul, tu ne connaitrais pas le nom des doc de Chris Marker à ce sujet?

 

Et pour le sang blanc de SIN CITY, non point de censure, mais bien une adaptation "fidèlle" de la BD où Franck Miller (un grand) l'a bien dessiné blanc.

L'unique réussite de SIN CITY réside d'ailleurs dans ce matériaux BDistique hors cinématographique...
Alors achetez la BD ou allez la lire gratos à la Fnac. Même dans un brouaha, l'assourdissement de SIN CITY se fait entendre.

 

De quels docs tu parles ? Parce niveau "narration cinématographique" ou "collage d"images", c'est un peu en transversal dans toute son oeuvre.

D'ailleurs ça le ferai bien rigoler le "langage cinématographique". Je suis tout ouï pour entendre ta définition Usul (ValKan aussi je pense).

Autoflagellation ? (cf "Alors tu ferais encore
mieux de poser la question et de passer pour un idiot vis à vis
de ceux qui en savent encore moins que toi, plutôt que de couper
l'envie de t'expliquer à ceux qui en savent un peu plus ...")

 

Oui bien sûr.
Mais je me souvient d'avoir vu un de ses "essais" où il jouait avec les outils de montage pour en transformer radicalement l'idée. Il mettait en peril le pouvoir narratif d'un image en jouant avec les images la précédant et la suivant.
Une sorte de détournement par le montage.

Ce type est un homme fascinant.

 

C'est sans doute dans Le Fond de l'Air est Rouge où il joue avec les plans du Cuirassée Potemkine. Mais il y a d'autres séquences dans pas mal de ses films où il joue directement ou indirectement avec le montage. Marker est d'ailleurs lui-même un monteur exceptionnel.
Mais l'idée que tu met en avant a été démontré par les russes (Eisenstein, Vertov, Kouletchov) des années auparavant (cf le fameux "effet Kouletchov).

Et oui, grave, ce type (et son oeuvre) est complètement fascinant. Plus on se plonge dans son oeuvre d'ailleurs, plus on est...bon je m'arrête, je pourrais écrire pendant des heures sur lui