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Quid de l'habituation?

Discussion in 'Vidéo (et photo) animalière' started by proof, Aug 9, 2007.

  1. Gilles 87

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    Un Ecolabel ! "Film vert" pourquoi pas ?
    maintenant le contrôle rique d'être difficile comme le dit bien Yann, puisqu'elle ne peut être que déclarative. Et les budgets risquent d'exploser pour des images peut être moins spectaculaires?
    Quant à l'idée que le process puisse être long c'est exact, mais surement moins long qu'il y à 10 ans, il y a en ce moment un petit quelque chose qui me donne l'espoir de voir un jour un monde qui arréte de marcher sur la tête.
    Bien qu'amateur en vidéo il exsiste je pense matière à sérieuse réflexion sur l'idée de Yann.

    A+
     
  2. Vertaco

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    Pas vraiment pour ce genre de label!
    Tout d'abord parce que notre société et couverte par les labels et la plus part du temps ils existent que pour de simples raisons économiques. La mise en place d'un label coute chère et le réalisateur ou producteur va se trouver à côtiser pour couvrir les frais d'un label (communication, controle...) . La mise en place de ce type de label favorisera à mon avis que les grosses productions!
    Je suis plus pour un petit mot du réalisateur dans le générique par exemple. Il pourrait commenter rapidement ses techniques et son approche avec le monde sauvage ou plus simplement la petite phrase proposé par Yann mais là ce n'est qu'un contrat de confiance entre le réalisateur et son public. C'est à mon avis à nous passioné de cinéma animalier pro ou amateur d'analyser et de dénoncer certains abus dans les pratiques du cinema animalier.


    Je filmais souvent avec l'idée que le cinéma animalier se résumait à être un chasseur d'images, je m'éloigne aujourd'hui de plus en plus de cette idée. La chasse pour moi sous entend la traque de l'animal...
     
  3. yann22

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    C'est vrai que le "LABEL" en tant que tel est délicat à mettre en place et pas toujours avantageux. Je te rejoins aussi dans le fait que ce label servirait uniquement pour des raisons économiques. Celles là même qui font qu'un film respectueux du sujet coute plus cher à faire que celui qui se borne au zoo, parc, et autre imprégnation.

    Mais ce genre de label ne pourrait être pour des raison de limite d'éthique.

    Que dire à quelq'un qui soulève: "moi je vais filmer les espèces fragile en zoo pour ne pas les déranger dans leur milieu"
    Ethique ou pas éthique? vous voyez qu'on arrive vite à des non sens et autre impasses.

    Pour moi il n'y a pas de bonne méthode ou mauvaise. La bonne méthode de l'un est forcément la mauvaise de l'autre et vice versa.

    Une petite phrase en fin de film avant générique me parait:
    -le plus simple
    -le plus transparent
    -le plus en lien avec le public (puisque c'est à lui qu'on s'adresse)
     
  4. apatura

    So

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    Bonsoir,
    Vaste débat !
    Du comportement animal en présence d'humains au label de la production du film animalier éthique...le sujet évolue, mais reste passionnant.
    Je suis très d'accord avec vos propos, et je comprends qu'en tant que jeune professionnel de l'image animalière Yann y soit très sensible.
    Vu à la télé donc vrai ! C'est aujourd'hui encore le réflexe du public. Et celui-ci est tellement habitué à des images prétendues exceptionnelles que celles de l'auteur "authentique" lui paraissent souvent bien fades (exemple cité plus haut du puma...). Mais qui (à part nous) remarquera que les gros plans du tigre ou du jaguar sont réalisés à quelques centimètres au grand angulaire ?
    Mais au fond qu'est ce qui est important ? Que les images soient belles, et qu'elles aient une vocation pédagogique en matière de respect de la nature. Non ? Alors si les auteurs ont l'honnêteté de nous dire systématiquement où et comment elles ont été réalisées, je crois que ce sera déjà pas mal. C'est au final ce que tu suggères, Yann ? Alors pourquoi pas plutôt au début du film, à la manière de certains "avertissements" ?
    Amicalement.
     
  5. yann22

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    C'est vrai qu'en début de film, ça permettrait au public de faire attention aux plans et imaginer eux même la façon de tourner ce film.
    Mais je ne suis pas sur que les real qui utilisent la prise de vue en zoo ou parc soit très fier de l'afficher, car même si en effet le message péda passe, il y a une petite part de mensonge face au public... c'est la magie du cinéma me direz vous!!! on fait dire ce qu'on veut à qui on veut!
     
  6. Zoomarrière

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    Evolution du débat

    En fait, pour répondre à Apatura, le débat ne s'est pas forcément tellement éloigné de ce qu'il était au début quand Proof parlait des suricates. Parce que finalement la vraie question déontologique est de savoir si l'on filme un comportement normal d'animal sauvage (avec toutes les variables évoquées plus haut) ou si l'on présente comme naturel un comportement totalement artificiel dû à l'imprégnation ou à l'apprivoisement. Certes, il restera dans certaines circonstances difficile de fixer la frontière entre ce qui est acceptable ou ne l'est pas, mais dans l'ensemble je crois que l'on peut généralement séparer le bon grain de l'ivraie dans le cas d'un film destiné au grand public. Personnellement, je ne vois pas de problème si l'on filme des suricates habitués à "oublier" la présence de l'homme à condition que cette présence ne signifie pas un apport de nourriture ou une opportunité de jouer par exemple. Et précisément, rien n'empêche le cinéaste de mettre unr fois en situation l'homme et les suricates, en expliquant la situation particulière propre à cette population.
    Quant à la question du "label" entre guillemets, c'est finalement simple. Celui qui estime avoir mérité d'ajouter à la fin de son film "Tourné entièrement dans le milieu naturel etc..." ne devrait pas se priver de le faire. Comme l'a écrit Yann, le public appréciera et finira par se rendre compte que tous les docs ne font pas apparaître cette mention.
    Reste que j'aimerais toujours bien imaginer une solution pour mettre un peu les chaines TV dans l'embarras lorsqu'elles passent des docs franchement mensongers quant au comportement des animaux présentés.
    Bien à vous tous.
     

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