Quel reflex acheter pour réaliser un film documentaire /faire des photos grand angle en intérieur ?

Je suis d'accord avec Jean-Luc pour le défi que ça représente !!!
Type de prise de vue les plus difficile à réaliser proprement ..Quand à l'appareil qui va lui permettre de faire ça le plus facilement possible...L'AX53 si j'en crois Bertrand me parait assez correspondre.
Je vois pas trop un ou une novice en vidéo se lancer la dedans avec un XT4 par exemple

 

Il faudra que Pepette sache intelligemment alterner travelling en discutant COURT et plan fixe !
Je n'ai jamais essayé ce type de prise de vue.
Mon cousin, grand aventurier, m'a raconté une partie de sa vie ..Mais assis sur une chaise.
En déambulant dans un village ou dans son musée ..Bien plus délicat à faire !!
Cependant si je suis de l'avis de Jean-Luc sur le fait que ce soit très "accrobatique" à faire et que ça demande une bonne expérience de la prise de vue, je suis moins d'accord sur le choix d'un appareil plus pro plus sophistiqué qu'une AX53.
j'en parle en fonction de l'expérience de Bertrand car je n'ai pas cet appareil.
Si une de mes petites filles ( qui n'a pas 80 ans ) veut bien me consacrer 1/2 h je suis prêt à tenter la chose.
Avec AX100 puis Osmopocket

 

D'accord le Môssieur à ajouté une poignée Feiyu a2000 ... ça aide .. mais c'est au pas de course ou en accéléré

N.B. je souhaiterais ajouter, qu'en mode suivi de cible, s'il reste encore quelques d'imperfections elles sont quasiment totalement atténuées

Il m'a semblé que c'était la façon qui est envisagée,.

La personne âgée se promène dans son village et raconte ses souvenirs au grès de ses pérégrinations..
ce n'est pas un véritable interview....

D'ailleurs un enregistreur dans la poche pourrait être utile tout en compliquant le ;montage

 

Sauf que si on veut voir la personne raconter sa vie, il serait bien de la voir de face, ce qui veut dire camera portée en marche arrière, toute seule en controlant image et son et mouvement pendant plusieurs minutes, ça va être casse gueule, j espère pour elle que le monsieur n est pas en plus un ancien courreur olympique.

 

ça me rappelle un interview de Vincent Cassel où il promenait dans un quartier de Paris en racontant quelques morceaux de sa vie.
De temps en temps l'interview continuait à la terrasse d'un bistro.
Je me souviens plus si l'interviewer se voyait (donc 2 à filmer) ou si on ne voyait que Vincent Cassel.
Mais j'avais bien aimé cet interview agrémenté par quelques vues d'un quartier de Paris.

La formule de Pepette est plus intéressante qu'un interview entièrement statique sur une chaise c'est sûr ...
Quelque soit le matériel choisi il va falloir que Pepette s'entraine ..Mais la pellicule est pas trop chère

 

"ou en subjectif"
Oui pas obligé de voir sans arrêt le conteur, surtout si il raconte une histoire en rapport avec un lieu monument etc...

 

Illustration :
La farandole..suivi en mode cible
(mariage de mon cousin il y a plus de 11 ans, ce doit être l'EX1 sais plus )

Machine à main levée, non stabilisée, au viseur "comme j’aime" dirait André



"Pour moi c'est exploitable"

Bertrand

 

le grand écart entre amateur et professionnel, matériels et compétences associés

Deux "DSLR" pas "forcément" stabilisés, il leurs faut bien des "béquilles"






notre "Pépette" ne vise peut être pas si haut ....

 

Ok. Cela dit vous êtes deux. Sans dicter, vous pouvez sans doute faire comprendre que vous avez besoin de vous caler/recaler pour mieux l'écouter et accompagner ses récits. Il y aura surement des moments de "confidence" ou malheureusement le cadrage n'est pas idéal et d'autres oui. Si vous ne comprenez pas ce qu'il raconte il faudra peut-être relancer, poser une question dans l'instant. Ecouter ce n'est pas s'effacer.

Pour les interviews en marchant, une astuce consiste à caler ses pas sur celui de son interlocuteur. Par exemple, pour une ITW en reculant, si il a sa jambe droite en avant, votre jambe gauche est en arrière et ainsi de suite. J'ai du mal à imaginer un DVD tourné uniquement comme cela. Même si la technique le permet, sauf à "maîtriser l'image" ET être sûr de soi je n'y crois pas.

Si vous pouviez imaginer un peu la réalisation. Par séquences, des plans de coupe fixes, des panos. Ils sont utiles pour les coupes et illustrer les propos. Pour éviter de marcher en permanence : vous en fixe et lui marchant dans le cadre. Il y aura donc toujours du mouvement. Des plans moyens ou larges "stables" lorsqu'il montre et explique et plus rapprochés lorsqu'il évoque de l'intime. C'est classique mais ça marche. Cela dit, il y a toujours une part d'imprévisible durant laquelle il peut livrer une phrase clé et le cadrage n'est pas bon.
J'insiste, vous êtes deux.

Smartphone, caméscope, reflex, hybride, rien à ajouter peut-être un Hf avec piles remplaçables car les personnes âgées sont parfois bavardes lorsqu'elles sont lancées ! Bon courage et bravo pour ce projet mémoriel.

ajouts:
compatibilité des formats dans fcpx:
Formats de fichiers multimédias pris en charge dans Final Cut Pro - Assistance Apple
compatibilité des "caméras/reflex" (indicatif selon les formats):
Caméras et appareils photo compatibles avec Final Cut Pro - Assistance Apple

 

Pas faux....mais "nous " on est là que pour donner des tuyaux ..
tu mets en exergue la difficulté de l'exercice et c’est parfaitement exact ..

Moi j’essaye de lui dire que c'est "faisable" en utilisant un matériel tolérant et facile..
avec de l'entrainement évidemment ...

si "je" devait le faire "je" m’entrainerais, répéterais plusieurs fois avant ..

il est possible dans ce type de reportage de "refaire" les prises...

(Pour une captation d'une pièce de théâtre je me suis tapé toutes les répétitions la première et deux représentations ..." La mastication des morts de Patrick Kermann." ) ..
« Ce n’est pas parce qu’on est mort qu’on n’a plus rien à dire ». De dessous les dalles du cimetière de Moret-sur-Raguse, les défunts se refusent au silence. Jeunes et moins jeunes ressassent leurs joies, leurs amours, leurs rancœurs, leurs regrets et leurs obsessions parfois peu avouables, souvent cocasses ! Surprenante histoire d’une communauté où la singularité de chacun fait résonner en nous ces vivants d’un autre monde.

 

Moi aussi j'ai relu Pépette...
Un sacré projet, mais aussi une sacré gageure.
Côté expérience et compétence tournage, sans offenser Pépette, on part quasiment de zéro.
Et côté expérience et compétence journalistique ? peut-être bien de pas loin non plus...
L'exemple donné par Jean Luc est édifiant. (je n'ai pas tout visionné, car je déteste Delon,)

Plutôt que de se perdre dans les choix d'appareils (en plus svp ne rajoutons pas de confusion avec les DSR et les DSLM) de prise de vue, de son.... sans parler ensuite du montage...

Pourquoi Pépette ne chercherait elle pas plutôt à bien s'entourer ?