[CommentFaire?] Pour créer et filmer des personnages

Notamment pensé à toi @ipsonelo, un super réceptif sur le forum et en précisant bien que cette découverte que d'avant hier, me concerne également et m'obligeait de le partager sur le forum ...

Pas d'inquiétude sur les craintes, comme déjà prévenu plus haut, revoir sur le temps et autant que nécessaire pour enfin réussir à savourer (sans que çà reste dans la gorge ou que çà se vomisse).

Que 3 fonctions du rêve à retenir (Figuration, condensation, déplacement). Tout est expliqué un peu brutal mais ouf, tout va mieux une fois positionné !

Maintiens le discours borné sur la structure auquel tu as déjà envisagé de t'initier

(Dire que grâce à cette chaîne, je me suis découvert à mon âge canonique, porté depuis toujours par la narration "condensation" "écopsychologue" et que vrai de toutes mes références, çà mérite une vraie grosse fessée au petit crétin de petit professeur ).

Nota : c'est cet appareil photo planté sur la plage au final de Mort à Venise avec au fond, Tadzio prenant dans la mer, une pause de David de la Renaissance italienne pour lever son bras vers où montrer que la beauté est infinie !

Ma conflagration post-ado et sans même encore savoir que l'objectif de l'appareil était réglé sur l'infini ...

Tu m'étonnes après, les séquelles sur les dimensions et les exigences esthético-chorégraphiques, personnages compris

 

Donc @homero, encore une prédisposition personnelle à se prospecter pour le prochain retour

(Pas la peine non plus d'attendre de revenir toi aussi avec une calculatrice ).

Il suffit de chercher et reconnaître la bonne combinaison d'EDM et son meilleur exemple ressenti de mise en relation avec une autre combinaison d'EDM et d'en déduire et dégager un EDM précis

(Exemple encore perso : Rééjecté dans le fauteuil par Toto de Cinéma Paradiso parce que reconnu ma nature étant enfant et par The Impossible parce que le dit "petit professeur" a subitement été confronté à un conflit de taille avec la "nature" que pas encore su imaginer jusque là ...).

Si on conclut sur un EDM précis comme le "petit professeur", on en fait son archétype pour en rechercher sa pas trop nulle métaphore de la vie.

Et comme çà, le "soi" jungien est réglé d'office !

Si on préfère la méthode inverse comme Paul Schrader, de d'abord rechercher la métaphore de la vie, on recherche ensuite une bonne combinaison d'EDM digne d'en devenir son archétype adoré.

Certes moins compliqué : Taxi en métaphore de la vie pour signifier la solitude et autant alors garder le chauffeur dedans au volant pour en faire un archétype par exemple d'homme se sentant perdu et solitaire.

(Combinaison perso répétée à cet effet pour exemple stimuli : "Petit professeur" + "Parent nourricier" (avec bonus positif "adulte écopsychologue") + enfin "Enfant libre" comme un oiseau (ainsi éloigné des dangers antagonistes d'un archétype Greta ! ... Pas le sujet prévu car qu'auto analyse mais c'est aussi pour un exemple d'approche personnelle positionnée, un premier "point de vue").

(EDIT : La "beauté" se déclare infinie pour et en "l'artiste").

 

(Oui, parce que la beauté est dans la nature même de l'artiste )

Mais on va finalement réunir (ou "condenser") ici les 3 discussions REDoresques sur "Faire son film" pour un dernier petit mot sur le "paradoxal".

Mon souci venait de la traductrice française de Blake Snyder qui a confondu "paradoxal" avec "ironie" pour rédiger une "logline" énonçant donc clairement une idée pour la renforcer et l'enrichir de "2 pôles opposés" (David McKenna).

Mais Pacotille nous propose un exemple encore plus concret !!!

Attention, c'est une position que je défends par conviction mais venant de Robert McKee !

Attendre avant de se prononcer et de trancher en partant claquer la porte :

Le coup tordu de la machine de fête foraine fonctionne car il n'y a pas d'approche binaire d'opposition "bons/méchants" mais et que mais du "meilleur et du pire" grâce ici à la fonction "figuration" des rêves pour bien le filmer !

EN VISUEL ET SONORE

Le pire : On veut faire joujou avec l'amour comme un petit "orphelin" jungien mais le meilleur, manque de bol, c'est qu'on l'a donc bien déjà et intensément en "soi" EDIT : et qu'on est prêt à se battre pour lui comme un "héros" (en petit orphelin transformé).

En 2000, personne n'avait encore eu sous la main la chaîne PSYCHORAMA et donc, bien encore une preuve que sur un malentendu, çà peut autant marcher selon ses prédispositions déjà acquises ou à encore développer à coups de burin !

Pour ainsi finir en musique pleinement concernée de moins de 2' pour calmer le stress et les angoisses et mieux saisir pas que le PSYCHORAMA mais le PANORAMA des enjeux à notre dispo en conséquence :

(Après on peut passer au "très éventuellement" quand bon exemple se présentera comme Pacotille mais sur divers genres. On est là pour trancher, pas que pour s'en payer une bonne tranche ).

 

Bah oui mais pour quand même tirer la corde aux copains et copines encore en difficulté sur la même pente (et avant d'être certain(e) de choisir les câbles à la place de ladite corde), autant bien aussi préciser que dans Pacotille, Sophie Quinton interprète bien l'amour, la métaphore de la vie puisque l'amour ne se contentera pas de petites babioles pas chères pour frimer avec de petites phrases toutes faites et une minable petite calculatrice

Sans doute pas réfléchi comme çà au moment d'écrire le scénar et de le réaliser mais pas si con et si dingue d'élucider le comment et le pourquoi que çà a si bien fonctionné !

Edit : On ne sait jamais si des, fois, on aurait besoin un jour ...

(Petit orphelin à transformer en héros quand il ou elle sortira de la salle, c'est Dara Marks, ma meilleure copine de lectures de chevet avec les autres dont Syd Field ).

Oui, la frime espérée avec un coupé R17 mais transformé en R15 à cause du marché de l'occase une fois le permis en poche. Eu que le même klaxon musical pour me consoler.

Merci de s'exercer à tenter sans se prendre la tête sinon stop, de traduire tout ce truc en langage archétypal façon métaphore de la vie ! Une intrigue et une structure, c'est pour bien après et plus tard quand le burin

(Edit : Non à l'archétype Greta pour pas risquer de nous réveiller "l'enfant soumis" mis au dodo puni).

 

Cette scène est réussie aussi parce que les deux personnages sont maladroits, chacun à leur manière. Eh oui, comment ne pas être maladroit quand on parle d'amour ? Parler de l'amour en montrant de la maladresse est pertinent, au fond.
Et puis aussi, elle, qui ne comprend pas bien ce qu'il lui dit quand il lui parle d'amour, n'est-ce pas aussi une belle métaphore de l'amour : l'amour est-il intelligible ?

 

Elle ferait exprès de ne pas comprendre en fait... pour le faire attendre et donc tester sa sincérité

 

Déjà si vite de l'étude de personnages ?

(Et remplir plus rapidement la bouteille de lait des 400 coups ?)

@ipsonelo et @homero, question et bien

(Pour encore un peu la corde, Sophie Quinton interprète l'archétype de la métaphore de la vie).

 

Que parce que le tour du spectateur @homero bien installé dans son fauteuil

Mais qui fait quand-même sa propre étude des personnages qu'on a pris soin de lui créer parce que çà peut lui parler pour quand il va pouvoir sortir de la salle plus frais et dispo car mieux réconcilié avec sa mémoire (où sont toujours logées ses émotions)

 

(Chouette, on a le droit de causer minutage même si "on n'est pas chez Disney" ).

En borné et tordu, "timing" impossible sans structure (Set up/Confrontation/Resolution) !

Donc, aussi un outil au service de ou de la réa pour défendre les personnages puis bien tyranniser ses acteurs et actrices si fausse note (Avant de se rasseoir en bourru revenu au silence).

(Pause détente ce soir pour quelques relectures tranquillos sur le forum (dont citée ci-dessus) et sans devoir tout retransférer ici, autre exemple de vidéo postée ailleurs mais qui aurait toute sa vraie place ici (mais en animation 3d) dans "(...) ou comment trouver des idées", La noria p.63 #939 ... Parce qu'un summum )

En tous cas, pas prêt de changer d'avis et même si on garde le droit de préférer l'option Paul Schrader de commencer d'abord par la métaphore de la vie, quelles délectations en perspectives, l'observation béate et gaga de personnages en ayant maintenant sous la main, l'analyse transactionnelle

(Même si en attendant, on se re-souvient encore de celles "qu'on n'a pas su retenir" ...).

 

Be quiet, pas pour tarabusquer car qu'à cause d'un "très éventuellement" notamment pour la réa et avec exemple également re-souvenu et retrouvé !

Mais façon vraiment démarche à la française. Un peu long dans le raisonnement mais en plus aéré. Et on est pas obligé de lire dès posté.

Pas assistant sur Pacotille qui a pourtant contribué à mon claquage de porte au métier en 2004.

Bilan de la soirée à la Maison du film (anciennement "court") où Sophie Quinton est toujours restée souriante et agréable en contraste avec Pacotille et Bruno Giordano "le jules" étonnamment plus en retrait et secret façon "Je m'approche pas trop et je garde un petit sourire en coin" que dans le film.

Mais surtout alors compris que jusque là, pas eu ce bol d'avoir pu intégrer une aussi super équipe (même avec mon tout frais moulu de la Femis malgré une excellente ambiance de tournage ... dont je ne suis pas étranger).

(+ mon couple commençant à souffrir de mes occupations obstinées et le producteur me réclamant de revenir avec un scénario original et non une nouvelle classique du domaine public car alors ignare en scénar mais pas en adaptation images et sons).

D'abord pas que merci @bcauchy d'être intervenu mais aussi de la démo d'un effet possible sur le public car sur sa mémoire collective et donc, inconscient collectif (insiste le borné tordu).

Mais maintenant, on va s'occuper de la réa !

Syd Field, merci pour la structure et ses boîtes à outils alignées (dits "cartons") mais pas sur la conception des personnages.

Comme le manuel de l'AFI, il reproduit sur un chapitre, une réflexion sur la question avec ses stagiaires.

Triste et minable résultat, une "héroïne" de série américaine pour "ménagère de - de 50 ans" ! Une jeune fille devenant avocate à son Chicago natal et finissant par intégrer à un cabinet prestigieux à New-York.

Parce que méthode "actor's studio" expliquée par le préalable d'écrire une biographie complète du personnage depuis sa naissance et ses incidences sur ses rapports parentaux puis familiaux puis extérieurs (essayé, pris la tête et stop).

D'où le secours enfin venu des lectures de chevet de Dara Marks et son arc transformationnel avec des exemples précis de vrais personnages de cinéma (tels Clint Eastwood dans Impitoyable ou Sky Walker dans son vaisseau face à l'Etoile de la mort ...).

(En passant : Dans la vidéo d'intro, c'est le petit lapin rouge avec sa petite dent et son vaisseau spatial, le tilt du processus de réconciliation).

Donc, pas merci Syd Field sur les personnages, reconnaissance infinie à Dara Marks pour les scénaristes mais aussi et enfin merci au français Edouard Blanchot, sauveur des réas !

Pas misé sur les biographies complètes vaseuses mais que sur caractériser un personnage qu'à l'image et au son (qu'on ait décidé ou pas d'écrire le scénario) :

Casting, apparence, costume, activité, dialogues (!?), rapport avec le contexte, jeu d'acteur/actrice (interprétation), mise en scène/lumière, musique (!!!).

On dirait bien du Pacotille même si sans analyse transactionnelle (que dernier renfort en date pour quand même s'aider soi-m'aime).

L'enseignement de Edouard Blanchot à l'ESRA donne ainsi ce joli 1er résultat de film d'école french touch de 16mn (2012) :

(EDIT : testé en brève analyse transactionnelle et fonctions du rêve, quand-même de quoi confirmer).

Levé ce matin à 6h et pas 5h mais l'analyse transactionnelle pour s'exercer sur mes "princes" regrettés du tram a été tellement explosive que tant pis pour l'heure manquée.

Même eu le temps de vérifier le "jaune" du taxi de Paul Schrader et du coupé R17 de Pacotille, rien "d'au bord des pâquerettes" !

Pas vu chez Freud (toujours non à part les EDM edit mais si transactionnels) mais jaune, couleur de la conscience qui plus elle est vive, plus elle est heureuse.

Encore de quoi en paradoxal que visuel !

EDIT : Je vous referai pas la liste de noms devant la glace pour l'oubli en rouge ... + "Les fondamentaux du scénario" (et réa) pour le manuel de Edouard Blanchot).

 

Post #26 pour créer et filmer des personnages pour "Faire son film" :

Pas affirmatif que l'exemple du "très éventuellement" proposé par @homero, soit vraiment dû à l'enseignement de Edouard Blanchot mais son manuel est bien de l'ESRA où il enseigne ...

D'ailleurs, sa structure bien que de droit, m'a semblé plus difficile que celle de Syd Field basée sur un paradigme technique.

Que du raisonnement quand-même mais pas encore vu sauf erreur, un "commencer par la fin".

Citation néanmoins primordiale pour "Faire son film" (fiction, docu et même reportage) :
"Une histoire est toujours l'histoire d'un personnage"
Edouard Blanchot.

(Le court d'école de 16mn posté #26 détient quelques bribes en cas de séquelles dimensionnelles et beaucoup de nature ).

Merci des réactions de qui elles viennent ...

 

Encore pour tirer la corde et aider celles et ceux encore en (éventuelle) difficulté sur la pente difficile à l'égard des EDM transactionnels déjà présentés en vidéo de 7'30 p.1 post #11, voici une vidéo (14') peut-être plus explicative sur cette nouvelle pratique proposée :

Mais toujours s'initier à son rythme sur que de premières vidéos aux titres vus les plus alléchants en scénario et/ou réalisation et voir si oui ou crotte selon sa propre personnalité.

D'abord sur soi pour tenter ensuite de jolies idées de personnages !

Sinon, si vraiment prise de tête, STOP ! (pour le moment mais savoir que c'est là).

Avant ou après le post#26 ci-dessus, davantage destinés aux réas (et j'y tiens !)

EDIT : Pardon des difficultés de débutant en analyse fonctionnelle mais encore rectifs et c'est fini ...

Outre l'écopsychologie, vu depuis aussi mais pas encore testée, une autre série sur la "psychologie féminine" ... Toujours du matos pour des personnages et en faire des archétypes ...

(En profite sur l'atelier RED du Repaire, son équipe et ses participants : Pour l'excellente ambiance, pas alors assistant réa, encore à me relever de récentes épreuves de la vie, tenu par des horaires tgv et pas pouvoir rester aider en fins de journées, qu'une fois pu taquiner notre jolie modèle mais preuve que notre sacré virus n'est jamais une faiblesse et qu'il a suffi de l'atelier, de sa qualité et de son ambiance).

Allez oust, #26 quand et dès que possible !

 

Que aparté, pas d'autre exemple re-souvenu ou découvert.

De toutes façons, "Une histoire est toujours l'histoire d'un personnage" rappelle Edouard Blanchot (cité #28).

Tout pourrait servir d'exemple mais en effet dans quelques cas, de démo quand çà fonctionne et qu'on peut partager quand on comprend comment et pourquoi.

Rectifié depuis (une dernière fois) le post précédent avec une autre vidéo qui permet en plus de conclure que si et que si besoin de s'aider à créer un personnage en tant qu'archétype, l'analyse transactionnelle doit aussi s'appuyer sur une analyse dite "fonctionnelle".

Donc, tant mieux la rectif, je débute aussi en la matière et quand je me dis "ignare" en scénar post #26, encore en début des années 2000, c'est qu'admis que pas encore pas suffisamment formé et encore prêt malgré les efforts consacrés.

(Mais je n'avais pas encore "40 ans" avaient révolté mon égo, les dires de Luchino Visconti).

D'ailleurs #26 destiné au réas auteur(e)s ou non de l'histoire filmée, ajouté en rouge un détail important pour caractériser un personnage qu'à l'image et au son.

Après donc séance d'insultes à moi-même pour cet oubli qui ne serait toutefois impardonnable que si pas listé que de mémoire en omettant naturellement une évidence acquise ...

Me suis encore insurgé hier contre un spectateur accusant en vidéo le film "Forrest Gump" d'être "réac" au prétexte surprenant qu'il n'a pas accepté que le personnage de "Jenny" soit filmé en droguée et qu'elle en meurt à la fin parce que na, ce serait bien fait pour elle !

Non, encore une difficulté à saisir les notions d'archétype et de métaphore de la vie pourtant primordiales pour bien créer et filmer des personnages !

En même temps, j'ai pu compléter ma propre analyse du "point de vue" du film. Le personnage de "Jenny" est l'archétype de notre propre nature personnelle et non que seulement de "mère nature".

C'était plus sévère, l'archétype de la plume blanche avertit qu'à courir trop vite et trop longtemps dans la vie et sans raison valable, on risque jusqu'à perdre son âme parce que même son enfant intérieur n'a rien pu retenir de l'école de la vie !

 

Apres le Xèmme sujet sur le Xèmme forum tu crois pas qu'il serait temps que tu consultes un bon scénariste Bon mais ça c'est si on veut vraiment faire son film...

Cependant je découvre ce nouveau fil de discussion que je survole et maintenant tu nous mets parfois des petites créations vraiment intéressantes comme Pacotille ou ce A Demi Maux...donc je prends.