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Plus fort qu'ILM et Digital Domain

Discussion dans 'Effets spéciaux visuels' créé par disbuzz, 10 Juin 2003.

  1. KaosMaX

    KaosMaX Guest

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    Encore ...

    Une fois n'est pas coutume, disbuzz remet les choses à leur place !! :D

    KMX
     
    #361 KaosMaX, 22 Juillet 2004
    Dernière édition par un modérateur: 22 Juillet 2004
  2. jeum37

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    C'est clair !...

    Hello !

    J'ai maté ça aussi. C'est vrai qu'il y a pas mal d'astuces dedans et le "behind the scenes" apprend pas mal de choses aussi, mais il m'a semblé comprendre que son budget était au final de 17800 $ environ et j'avoue que je n'ai pas trop envie de me lancer dans ce genre de productions (pour le moment...) ! :rolleyes:

    En revanche, merci pour le lien: ça motive de voir ce qu'il est possible de faire avec parfois 3 bouts de ficelle au-lieu d'un déluge de 3D !!!...

    A +,
    Jeum.
     
  3. zack_

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    Certes le DV ne vaut pas une bonne pellicule mais je pense que la question ne se pose pas encore (a mon avis)... Sachant que 80% du film y a des Effets numerique 3d, je pense que c lorsque l'on aura bien avancé ça et apres un rendu de la 3d que l'on decidera si il faut investir ou non dans de la pellicule ou une caméra tri ccd numérique...il faut savoir qu'il existe des plug-in pour que l'image DV se rapproche d'un rendu cinéma... :D
     
  4. Doigtscarrés

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    Il faut avancer sur la préparation c'est sûr. Mais en général, on n'applique les effets de post-prod, quels qu'ils soient, sur le montage final du film. C'est assez compliqué à faire pour qu'on ne fabrique pas des tonnes d'effet que finalement on coupe au montage...

    DC.

    P.S. : pour que le DV ressemble moins à Qui veut gagner des million qu'à un film, je pense que la solution est moins du coté des plug-ins que d'une utilisation correcte de la caméra et de la lumière au tournage.
     
  5. Julien W.

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    Oui, vous avez raison. Un capteur CCD ne réagira jamais comme du film. Mais c'est plus au niveau de la "texture" de l'image que la différence est visible. A l'heure actuelle, la différence se voit aussi au niveau de la profondeur de champ et au niveau de la piquée/contrast/high dynamic range de l'image. Cependant avec les années, l'agrandissement des capteurs et le changement de format (de standard) réduira considérablement ces différences. Sauf au niveau de la "texture"...
    Mais pour votre projet la question ne se pose pas, c'est du DV qu'il vous faut.

    J'avais également vu Batman: Dead End. Superbe réalisation également. Le budget est un peu plus gros, environ 30'000$ (18'000$ pour Grayson).
    Mais pour Grayson, comme je l'ai dit, si on enlève la peloche ça fait plus "que" 7'000$. Et d'après ce qu'ils disent dans le BTS, le maquillage avait un budget total de 45$, et qu'à la fin ils ne pouvaient même pas se payer des tickets pour parquer la voiture.
    Et le réalisateur ne pouvait se permettre de payer le dévellopement que tout les 3 mois.
    Donc finalement, ils ne roulaient pas sur l'or. Par contre je pense qu'on peut voir ce film comme un investissement, car le réalisateur se fera sûrement remarquer.

    :jap:
     
  6. Doigtscarrés

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    Oui, un investissement... mais ça rapporte pas toujours les investissements. Du moins c'est ce qu'il me semble à regarder le court-métrage français de loin...

    DC.

    P.S. : cela dit les films sont réussis et j'irai voir les longs de ces réalisateurs si un jour ils ont la chance d'en faire.
     
  7. KaosMaX

    KaosMaX Guest

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    Nouvelle mouture ...

    Pour ceux que ça intéresse, le projet avance de plus belle ...

    Nouvelle interface + premières images et modèlisations :

    Dio Artech Projet

    salut A+
     
  8. Julien W.

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    J'aime bien les bâtiments. Ca demande quelques détails supplémentaires, mais ça s'annonce bien. Les textures sont bien nettes, c'est parfait.
    Les voitures aussi sont originales.
     
  9. ValKan

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    Pour la remarque sur le court métrage français, je ne suis pas d'accord, c'est plutot sur le long métrage qu'il y a un problème ...
    60 % de 1er films chaques années ... ca veut dire qu'aprés les premiers films rare sont ceux qui vont pouvoir rester sur le devant de la scène ... c'est horrible, mais c'est la réalité .
     
  10. Doigtscarrés

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    Pour le long-métrage, le problème se pose à un autre niveau... c'est vrai que la proportion de premier film est impressionnante...mais peut-être finance-t-on trop de premier film? Il faut s'interroger sur les raisons qui poussent les bailleurs de fond à se concentrer sur des premiers films...est-ce en relation (effet ou cause) avec la polarisation des budget des films entre très petit budget (environ 1M€) et budget plus conséquent (au delà de 7M€)?
    Une autre question se pose aussi : combien de réalisateurs des soixante pour cent de premier films méritent de rester sur le devant de la scène?
    Si je parlais d'investissement pour le court-métrage c'est parce que les individus sont bénévoles et que le court-métrage est un lieu de formation (même s'il manque parfois de formateur). Sur le long, les individus sont payés, il y a donc déjà un retour sur investissement...même si parier sur la réussite d'un film est quand même un investissement.
    Voilà, je ne sais pas si j'ai été très clair, dis-moi ce que tu en penses Valkan?


    DC.
     
  11. ValKan

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    Déjà le court métrage est un élément de formation c'est certain. A peu prés 50% des cinéaste actuel ont commencé comme stagiaire (a aller chercher le café :D ) sur des court métrage (les autres étant plutôt passé par des écoles )
    Ensuite c'est un peu décevant de considérer le court métrage comme une porte d'entré dans le long métrage ... Raison pour laquelle le plus grand festival européen (et modial je crois) de court métrage (Clermont ferrand) n'a pas remit de 1er prix (qui est le Vercingétorix) parceque le président voulait condamner cette mentalité. C'est d'ailleurs la raison pour laquelle il manque des formateurs dans le domaine du court.
    Pour ce qui est du long, pour les premiers films, ce sont effectivement des films d'auteur a petit budget, ce qui ne permet pas dans l'état actuel de se faire une place sur le marcher du cinéma.
    En clair, il est trés simple, quand on a fait un ou 2 court métrages, d'en faire un long, mais aprés ca deviend plus difficile.
    Par exemple, je connais 2 réa qui ont fait des courts métrages, et qui en ont tout les 2 fait un longs. Les 2 réa avaient pourtant fait des court métrage de qualité bien différentes, ceux du premier furent primés, ceux du second ne le furent jamais ... Et pourtant ils sont passé au long métrage sans problème. Mais voila que celui qui n'avait pas réussi a gagner un prix n'a jamais réussit a faire un second court métrage ...

    Donc investissement ? Plus ou moins, je dirais plutot passage forcé ... :D
    Mais ce point de vue n'engage que moi
     
  12. Doigtscarrés

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    Oui, un passage obligé, je suis d'accord.
    Maintenant pour ce qui est des opinions de Mathieu Amalric sur les apories du court-métrage... Disons que si comme lui, il me semblerait très bien que le court-métrage soit reconnu comme une fin en soi, le circuit de distribution du court est tel que l'on ne sort pas d'une économie de survie (personne n'en vit vraiment...même si quelques réalisateurs en tirent des revenus du fait des prix...et que quelques producteurs s'en tirent aussi cahin caha). Le fait qu'il soit une économie de survie pousse les individus à tenter d'en sortir pour ce qui peut constituer un horizon professionnel, en l'occurrence le long-métrage comme voie royale, puis la télé, la pub, l'institutionnel...
    Pour le manque de formateur dans le court, j'avoue que je ne trouve pas d'explication qui me satisfasse complètement. Mais il me semble que la tension actuelle autour de l'intermittence ne risque pas d'arranger les choses, puisque quelqu'un avec de l'expérience (donc capable sans être un formateur d'aiguiller et de conseiller les débutants que l'on peut trouver sur un tournage de court-métrage) va privilégier encore plus qu'avant (les tensions autour de la réforme) des boulots payés même moins intéressants plutôt que d'aller faire les courts des copains...parce qu'il faut bien faire ses heures... La solution serait peut-être de forcer le court à payer les gens (il paraît que c'est à l'étude par le CNC et la SPI) mais combien de court se tourneraient alors? Sûrement pas les 400 actuels... C'est-à-dire qu'il n'y aurait sûrement pas 400 demandes de visas d'exploitation et qu'une partie des courts-métrages seraient tournés dans des conditions encore plus difficiles et avec un espoir encore plus mince de se faire connaître par ce biais. En gros ça revient à reverser une part non négligeable du court dans l'amateurisme, c'est-à-dire nier aux professionnels du court-métrage leur compétences et la valeur marchandes de ces compétences (même si dans le court actuel cette valeur marchande s'exprime plutôt comme une promesse d'avenir professionnel et une promesse de futur boulot payés...).
    Pour finir, si Mathieu Amalric veut servir "l'art court-métrage" quand il ne décerne pas de premier prix, il laisse penser qu'il n'a pas conscience des réalités économiques du monde du court-métrage...
    Personnellement, je pense que tant que le court-métrage n'aura pas un circuit de distribution grand public, il est utopique de penser qu'il puisse être une oeuvre d'art sans arrière pensée de long-métrage.
    Pour ce qui est des difficultés à faire un second long-métrage après le premier, reste à espérer que c’est la qualité du premier film qui conditionne la possibilité d’en faire un second, ce qui hélas ne semble pas être toujours le cas.
    Voilà un bien long message, pas trop embrumé j’espère.
    Bien à toi.

    DC.
     
    #372 Doigtscarrés, 3 Août 2004
    Dernière édition: 3 Août 2004
  13. ValKan

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    Je ne suis pas convaincu non plus que payer les réa de court soit une bonne idée, mais si ça se fait, on aura l'occasion de le voir a la longue...
    maintenant, une diffusion grand public est une idée qui a mon avis est a observé avec attention. Personnellement, j'habite vers une ville de 40 000 habitants ou il y a 2 cinémas, et l'un d'eux "héberge" un festival de court métrage (les 1er films uniquements) en coopération avec sauve qui peut le court métrage (c'est le festival de Montlucon) enfin toujours est il que pendant 2 jours le festival fait salle comble (c'est une salle de 120 personnes, et on a 4 scéances réparties sur 2 jours) ce qui est relativement bien pour une salle de 40 000 habitants.
    J'en déduis qu'avec une diffusion grand public le court métrage saurait trouvé son public justement...
     
  14. disbuzz

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    Ouaih , pourquoi on nous mets pas un court en entract avant le film ,au lieu de nous repasser pour la enieme fois les pubs miko d'il y a 10 ans ?
     
  15. Doigtscarrés

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    Je suis d'accord qu'une diffusion grand public serait une bonne chose. Mais est-ce vraiment possible? Parce que si les festivals rassemblent pas mal de monde, c'est quand même peanuts par rapport à ce qui serait nécessaire pour rentabiliser une diffusion en salle. Il s'agirait d'un marché d'environ 400 films à imaginer rentabiliser... Il me semble aussi que les gens ne sont pas forcément disposés à payer le prix d'une place de cinéma pour un programme de court-métrage : les dits programmes sont rarement des succès publics. Cela tient peut-être à leur rareté, les gens vont vers ce qu'on leur a appris à désirer et le court-métrage ne fait pas partie de ce que les gens attendent du cinéma. C'est un engrenage...en ne montrant pas les courts, les gens n'apprennent pas à avoir envie de court, donc ce n'est pas économiquement rentable de les montrer...donc on ne les montre pas.
    Même si je suis un fervent adepte des saisons du court, je ne suis pas sûr que le court-métrage trouverai suffisamment rapidement son public pour que la rationalité économique conduise à laisser les courts sur le devant de la scène. De plus les conséquences sur le circuit économique du long-métrage seraient imprévisibles : n'y a-t-il pas là un risque de concurrencer certains films qui actuellement survivent à peine?
    Voilà...le problème me semble donc fort compliqué (et fort intéressant).

    DC.

    P.S. : pour les pubs Miko, je pense que le problème est simple : Miko file des sous aux cinéma, un court-métrage ne fait pas le poids contre ça...
     
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