Page blanche

Bonjour,

Après les retours plus qu'intéressants et enrichissants sur un de mes courts-métrages présenté ici "Amanita". J'ai bien envie de partager avec vous mon dernier petit court-métrage, réalisé le cadre d'un atelier sur le 16mm, "Page blanche" (j'en conçois la thématique n'est pas des plus original).
Encore une fois toute vaut remarques, critiques et impression m'intéresse, toujours dans l'idée de m'améliorer et de voir ce que d'autres perçoivent de ce que je fais !



Vous êtes les premiers à qui je le montre, il est encore dans une phase de visionnage test, en fonction des retours peut-être bien que je le modifierais.

Bien à vous,

Thomas

 

Bonsoir Thomas, tu montres bien que le trouble que procure la page blanche n'est pas de l'angoisse mais qu'une invitation à laisser venir de premières images encore floues et forcément liées à des sentiments vécus ou imaginés et dont la tâche sera d'en puiser les émotions pour en exprimer toute une beauté.

Ce qui semblerait encore de l'expérimentation, finit en fait par confirmer ta véritable authenticité.

Toujours de chaleureuses félicitations !

 

Modération :
Inutile de citer le post précédent. Merci de relire les règles et de tenir compte des remarques


Bonjour @REDoré,
Encore une fois merci beaucoup pour ton retour !
Vraiment très touché de ce que tu y vois !

 

Pour moi ce film parle de l’angoisse de l’avenir. Après une vie heureuse à présent disparue, ou après un cataclysme planétaire. Que reste-t-il ? Une électricité vacillante, mais encore présente. La solitude et l’isolement. Le souvenir, celui des vibrations, des sensations et des émotions de la vie d’avant. Tout est à refaire. Que faire ? (qu’écrire ?)

Bravo Thomas !

 

Merci beaucoup @batterie pour ton retour ! C'est vraiment très beau et fort ce que tu y vois..
Je suis assez heureux des images que ça t'évoque.

 

Bonjour,

Je reviens par ici pour préciser que le petit film ce trouve maintenant sur YouTube !

 

(oui vu perso, j'avais bien reçu la notif )

 

Le plan court sur une éolienne en papier, m'évoque un monde coloré. pas le reste des images. Peut-être parce que j'en vois souvent sur mon chemin quotidien en passant devant un marchand d'objets pour le vent.