Où il est, le glossaire complet ?

C'est la norme d'enregistrement du son en video : 48 khz 16 bits

Opération de post-production, par exemple on a effectué le montage en basse définition, parce que l'on a une machine faible, besoin de place sur les disques etc ... une fois le montage effectué, on reprend les rushes et plan pour plan, longueur pour longueur on s'aligne sur le montage pour obtenir la même chose mais en qualité originale.

On corrige les densités, la chroma etc ... des images pour qu'elles soient parfaitement raccord, que d'un plan à l'autre l'acteur ne se prenne pas trois mois de Club Med sur la tronche. C'est aussi l'occase d'affirmer un style avec un choix de contraste, dominante...

Oui ça s'appelle un CTB, ça existe en plusieurs valeurs, le full-CTB permet de "remonter" une source d'éclairage en température de couleur artif 3200 K en lumière du jour 5600 K., évidemment au prix d'une perte d'intensité lumineuse.

Ca se place devant le bol de la mandarine, si la lampe explose, celui qui est devant ne passera pas par la case "urgences". Ca sert aussi à diffuser légèrement, par exemple, Lowel light pour ses mandarines Omni-light fournit des demi-grilles orientables qui diffusent et donc atténuent partiellement le faisceau, les mains plus proches de la source ne seront pas surexposées par rapport au visage.

C'est une action qui par choix de mise en scène ou non ne s'effectue pas dans le cadre, souvent c'est le son qui remplit cette fonction, mais un faisceau de lumière projetant une ombre devrait pouvoir être considéré comme un hors-champ ? C'est une colle !

Le quotidien du tournage, en général très vite résolu par le sens de l'adaptation de l'équipe et aussi du réalisateur, j'en ai vu qui déchiraient une page du script et vous sortaient dans la minute une idée encore plus géniale !

Oui, la gamelle à tout faire, focalisable, pas très subtile comme lumière mais on peut la diffuser, l'étrangler au cinéfoil, etc ... elle doit son nom à sa couleur chez Ianiro, LTM ... puissance 650 à 800 W.

Source de lumière qui se monte sur la caméra, à réserver au news, ne pas la prendre trop puissante = effet fromage blanc sur les tronches, non, on doit envoyer juste ce qu'il faut pour équilibrer avec l'ambiance.

Au son cela permet sur un même canal de mélanger ou d'alterner des sources, micros, ligne mais également d'effectuer des dosages entre différentes sources.

C'est un diffuseur comme le calque (appelé aussi diffuse, frost, tracing etc...) mais le spun c'est de la laine de verre, on peut la déchirer pour faire des trous et laisser passer ou enlever de la sauce aux endroits choisis.

C'est le "spotmètre-densitomètre" qui permet de régler le diaph avec précision, en général pour une peau "caucasian skin" (blanc entre sicilien et norvégien), avec le réglage à 70, on place les zébrures sur les hautes lumières de la tronche. Réglé sur 100, cela permet de voir quelles parties de l'image seront sans détails car flambées.

 

Non ... d'alleurs il manque la réponse à "droit du réalisateur" ... avec certains que j'ai pratiqué c'était celui de fermer leur g.... ! .... Je ne sais plus quel célèbre réalisateur du cinéma d'avant-guerre disait, "mes plus beaux plans , je les ai fait quand j'étais à la cantoche de Billancourt !" Au moins celui-ci ça devait être un marrant !