Orthographe : comment faites vous?

Nouvelles félicitations à Babel qui relève un point qui m'avait échappé (il faut dire que j'avais retrouvé "triviale" sans mal, c'était différent pour "monodromie" et "zérocycle").

En revanche Guy-Jacques écrit:

Je pense que les gamins "globalisés" sont capables de repérer des "mots dans les mots". De ce fait, dans les mots spécialisés que tu nous as soumis, il sera sans doute capable de repérer "mono" est "drome" qu'il aura sans doute vu ailleurs avant de rencontrer le mot "monodromie", de même il devrait connaître "zéro" et "cycle" avant de tomber un jour sur "zérocycle".

L'apprentissage d'une langue passe aussi par la connaissance des racines qui peuvent former un mot. Ainsi, un enfant "globaliste" saura peut-être écrire correctement "chlorophylle" (le vert de la feuille) alors qu'un "syllabique" écrira "chlorophile" et se trompera (chlorophile = qui aime le vert).

Remarque: Une petite page web pour rire avec des mots inventés. la liste xyloglotte. Mon mot préféré dans cette liste : "lycoparthénophobe" (je vous laisse trouver la définition, située à la lettre W, ce n'est pas complètement sans rapport avec le cinéma)

 

Ces exercices me rapellent la floppée de pubs simièsques pour Omo.

 

Pour Lacombe, tu écris

Je suis entièrement d'accord avec toi, si tu t'en souviens très bien... jusqu'au jour où ta mémoire te fera défaut !
En ce cas, pourquoi ne pas
* Utiliser une calculatrice à bon escient plutôt que de perdre du temps à faire un calcul.
* Utiliser un dictionnaire / un correcteur d'orthographe / une grammaire à bon escient plutôt que de faire des fautes d'orthographe.

Mais au contraire, tu te comportes réactionnaire en critiquant ce qui t'apparaît nouveau dans l'enseignement... J'imagine la tête de mon médecin si j'allais voir en lui demandant des ventouses ou une bonne saignée !

 

Au fond on est d'acord :
Bien sûr qu'il vaut mieux utiliser une calculatrice que de refaire sans arrêt les mêmes calculs fastidieux, bien sûr qu'il faut consulter son dictionnaire pour vérifier l'orthographe. (Je suis moins sûr pour la grammaire )
Réactionnaire : je ne sais pas ce que cela veut dire, mais je sais que la nouveauté en médecine prend beaucoup de temps : 10 ans environ entre "l'invention" d'un médicament et sa mise sur le marché, avec beaucoup beaucoup de tests entre ces deux dates.
Quels sont les délais entre "l'invention" d'une méthode pédagogique et son application? Quels sont les tests permettant d'évaluer les "effets secondaires" d'une nouveauté pédagogique? Quelles sont les possibilités de retrait d'une méthode si elle s'avère toxique? Toutes ces questions relativement bien résolues dans le monde scientifique ou médical sont pour moi de grands points d'interrogation dans le monde de l'enseignement....

 

Tout d'abord, les méthodes pédagogiques font effectivement l'objet d'évaluations. Les chercheurs en sciences de l'éducation travaillent beaucoup dessus, et ces recherches sont effectuées avec beaucoup de sérieux contrairement à ce que tu sembles croire.

Ensuite, les méthodes utilisées par les enseignants sont celles qui leur réussissent le mieux, c'est à dire avec lesquelles ils obtiennent les meilleurs résultats et sont le plus à l'aise.

Enfin lorsque tu te poses la question

tu incrimines évidemment la fameuse "méthode globale" opposée à la vieille "méthode syllabique" (tu estimes plus haut que ton fils en est la victime). Je ne suis pas enseignant en élémentaire donc pas complètement au fait des méthodes de lecture, mais je crois savoir que la méthode globale n'est plus utilisée qu'exceptionnellement et remplacée par des méthodes semi-globales. Dans ces méthodes, les élèves reconnaissent d'abord quelques mots (par exemple leurs prénoms, des mots simples) puis, grâce aux analogies avec ces mots appris, passent à une méthode syllabique dans laquelle ils apprennent les différentes graphies pour les différents sons et des mots dans lesquels ces graphies sont utilisées (dans pomme, je vois le P de papa et j'entends le son p)... Ces méthodes semi-globales cumuleraient les avantages des méthodes syllabiques et globales. Le but est d'apprendre à lire, et un bon lecteur est un lecteur qui comprend le sens de ce qu'il lit, pas un lecteur capable de lire à haute voix sans comprendre.
Ceci-dit, je t'inciterais à aller discuter de tout cela avec les enseignants de tes enfants sans arriver avec les a priori négatifs que ton discours semble véhiculer et qui ne pourront que causer des problèmes d'incompréhension et d'affrontement entre les enseignants et toi.

Bonne rentrée !

 

Bonjour Syl20, bonjour aux autres aussi,

Alors Syl20 s'équipe à nouveau de sa cuirasse, enfourche à nouveau son cheval de bataille, et repart pourfendre les accusateurs des enseignants :

Attention messieurs lacombe, guy-jacques, Babel et autres parents qui doutez des méthodes pédagogiques définies par la grande maison (non, pas la Police, l'autre), Syl20 est en croisade ...

Bon, bref de taquinerie à Syl20, juste un petit élément de reflexion, inspiré je dois bien le dire d'un bouquin que j'ai lu cet été (entre autres, car je sais lire, Mesdames et messieurs grace à la méthode syllabique ... quoique on découpait encore dans la syllabe : B. A. BA).

Ce bouquin, écrit il y a qq années par le maire d'Issy les moulineaux, André Santini : "Des vessies et des lanternes", raconte avec exemples à l'appui les bonnes projections des experts dans de nombreux domaines ...

Il semble bien qu'il ait raison, si on regarde bien ce que nous explique Syl20 :
En effet : des experts avaient préconisé la méthode syllabique (B.A. BA), d'autres experts ont plus tard préconisé la méthode globale, et aujourd'hui, c'est une méthode mixte ... testée mesdames et messieurs, il faut le savoir ! (comme les autres d'ailleurs) ... jusqu'à ce que d'autres experts nous expliquent qu'il serait préférable pour nos enfants, par exemple ... d'apprendre un sabir américano-saxon ... pour paraphraser jean Dutour sur le même sujet ... car ce sera plus pratique pour eux dans le monde ou ils se trouveront ...

Comme quoi ... méfions nous des experts !!! et gardons notre esprit critique face aux "chercheurs en sciences de l'éducation" ... et autres experts ...

Je vous recommande la lecture du livre cité, il donne plein d'exemples dans des domaines différents sur les prévisions des experts et ce qu'il en est advenu ... avec le recul !
nota : je ne suis pas comissionné sur le bouquin en question ...


cordialement, fikivir

 

Merci de ne pas m'englober...
Je ne me sens pas anti nouvelle méthode.
Exemple, j'aimerais que mes enfants soit éduqués en immersion d'anglais dès la maternelle.


Si j'ai quelque chose à reprocher aux profs se n'est pas la méthode qu'ils suivent mais leur statut: fonctionnaire (ils ne sont donc pas seuls concernés par mes reproches).
Mais bon, ce n'est pas totalement leur faute: c'est le système installé qui corrompt l'esprit (critique, d'innitiative, d'entreprise, d'équipe...

 

ça vole plus haut que mon gabian

Annulé : doublon

 

ça vole plus haut que mon gabian

Et si ça continue, on est parti pour se faire recruter dans une des commissions de réforme de notre système d' éducation… ça doit se tenir bientôt… Le problème de ces cogitations est qu'elles n'aboutissent sur des mesures effectives que… trop tard. Le collège unique de M. Haby est arrivé, comme les mousquetaires "vingt ans après"… Et je serais bien surpris que la FSU ne ressorte pas le "Plan Langevin Vallon", on parie

Il semble que parmi nous, certains aient un contentieux envers les Enseignants…_Pour Babel, ça tiendrait à leur statut de "fonctionnaires", pour moi, cet "état" devrait être une garantie sur au moins leur compétence (formation et diplômes), leur respect pour la diversité de pensée (laïcité), leur sens de l'exemple et leur dévouement.
Cependant, ils ne sont (plus toujours) perçus comme celà.
Il faut dire qu'ils ont contribué à l'élévation du niveau d'instruction général et que beaucoup s'autorisent à mettre en doute leur compétence. Leur ancrage nettement proclamé par leur syndicat majoritaire met en doute leur acceptation d'une pensée disons "libérale". Quant à l'exemple, à commencer parfois même par l'écriture, ou au dévouement, quid
Cyl20, je me fais l'avocat du diable .

En réalité, je crains que nos enseignants soient mal perçus dans le public, pourquoi ? je dirais:
- en 1) qu'ils sortent de l'école pour immédiatement rentrer à l' École et ainsi restent des "théoriciens" sûrs d'eux.
- en 2) ils font 18heures hebdomadaires (enseignement secondaire)… Oui, c'est connu: préps, corrections, conseils et réunions etc… seulement les quidam(e)s lambda font…35h dans la "boite", et d'autres (libéraux) ne comptent pas- On fera grâce des vacances et retraites…
- en 3) ils considèrent l'école et la pédagogie comme "chasse gardée".
- en 4) chacun dans "sa classe" est volontairement isolé

Le tableau n'est pas "noir" sur ces 4 points, mais il me semble qu'un "effort" des enseignants dans ces directions les feraient mieux percevoir : pourquoi ne pas accepter une "circulation" entre Enseignement et Entreprise (un peu plus que des "stages"),
pourquoi pas une présence de 35h au "bahut" (faudra des locaux, c'est vrai- mais en dehors des 18h de cours y faire avec les collègues-point 4- les préps, etc…),
pourquoi ne pas utiliser certains parents ?
Je n'ai pas lu A. Santini, cependant, je crois qu'il dit, avec humour, quelques choses comme celà.

Et pour l'orthographe : simplification

Et pour l'équation du second degré : puisque tout le monde connait la combine et ne la découvre pas, il suffit, après avoir factorisé a et de l'avoir éliminé (recherche de 0), de faire un changement de variable de x par X - b/2a… Élémentaire, mon cher Watson

Aïe

 

au secours

avec votre truc de mettre toutes les lettres, mais dans le désordre, je ne sais plus si j'ai rendez vous dans une patisserie ou une tapisserie!

 

Ce que dit Guy Jacques me rapelle un évènement de notre histoire.

Avec l'instruction pour tous de Jules Ferry, le "peuple" a eu accès à la connaissance et de nombreuses choses qu'ils mettaient sur le compte du surnaturel lui sont devenu limpides : résultat, il n'avait plus besoin de la religion pour expliquer les choses de la vie et il a jeté la religion aux orties. Avant lui, les encyclopédistes étaient aussi athés (mais c'était une minorité).

Le rapport me direz vous ?

Lorsque la majorité des gens n'avait que le certificat d'études, les maîtres d'école (Les hussards noirs de Jules Ferry) représentaient la Connaissance et on était plein de respect pour eux. Eux même se croyaient emplie d'une mission divine et avaient une ferveur similaire à celles des missionnaires, ils allaient apporter la Connaissance aux enfants de nos campagnes. (Relisez Pagnol, l'institueur et le médecin était les deux personnes qui représentaient la Connaissance dans les villages).

Maintenant 80 % des jeunes ont leur bac et les profs ne sont plus intouchables. Ce sont des "faigneants" (18 h par semaine, 4 mois et plus de congés , fonctionnaires, toujours en grève pour un oui ou pour un non). Les parents ont souvent un niveau d'étude similaire ou suppérieur à celui des profs de leur enfants...
résultat, on n'a plus de respect pour les profs et donc ils ont du mal à se faire respect et donc enseigner.

Dans ma jeunesse, j'ai rencontré des profs qui avaient encore cet esprit des "Hussards Noirs" et qui se sentaient investis d'une mission auprès de la bande de garnements ou ados que nous étions et d'autres qui visiblement étaient là pour les vacances en attendant la retraite et qui nous basinaient à longueur d'années qu'ils en avaient rien à foutre. Et ça aussi bien dans le public que le privé, dans le primaire qu'en école d'ingénieur.
Il y a des profs à qui je serai redevable toute ma vie et d'autres qui ne seront jamais pour moi que des j'en foutres criminels.

Redonnons aux enseignants les moyens de se faire respecter (ça passa pas obligatoirement par une augmentation du budget de l'éducation Nationale comme veulent nous faire croire les syndicats)
L'idée de Guy Jacques est pas mauvaise. Comment un prof peut se faire respecter en travaillant aux yeux des autres que 18 h alors que les parents des gamins travaillent au minimum 35 h. J'ai mis longtemps à comprendre que mes profs travaillaient aussi ailleurs que dans l'enceinte du collège. En primaire, mon instit était tout le temps là.

 

j'ai un remords

Je reviens à l'équation du second degré:

la bonne vieille résolution par la formule [-b+ou- Racine (bcarré-4ac)]/2a est devenue désuète, hélas, hélas, hélas pour (peut-être même pas) … les profs de maths.

Au jour d'aujourd'hui, et ça date de déjà quelques décennies, programmes informatiques ( pourquoi pas Excel/ mathematica inutile) et calculatrices travaillent avec d'autres méthodes : "Newton", "point fixe", "Aïtken-Stephensen", Jean Passe & des Meilleures et "accélération de convergence".

RacineDelta garde - peut-être - ses caractères formateur (discussion d'exitence dans R) et historique…

Mais nous sommes en train d'entrer dans le XXI siècle.
L'orthographe française devrait aussi.

Sinon ceux-là vont nous croquer comme des nems.

 

Il faudrait arrêter de "bouffer de l'enseignant" pour le plaisir !
J'en ai par dessus la tête des gens qui ressassent "Moi je fais 35 heures, les profs en font 18, moi j'ai 5 semaines de vacances, les profs on 4 mois". Essayez un peu de réfléchir et de voir un peu plus loin que le bout de votre nez.

Tout d'abord, tous les profs ne font pas 18 heures. Histoire de vous faire crier un peu, un agrégé en fait encore moins (14 heures) et en plus il est mieux payé. Un enseignant du primaire assure quant à lui 27 heures par semaine (auxquelles vous pouvez rajouter les 10 minutes de présence obligatoire avant et après les cours pendant lesquelles les élèves sont placés sous leur responsabilité, soit 40 minutes supplémentaires par jour).

Si le métier d'enseignant est si agréable (on est fonctionnaire, on travaille presque à mi-temps, on est en vacances la moitié de l'année) alors pourquoi n'y a-t-il pas plus de gens attirés par ce métier ?

Pour devenir enseignant, on passe des concours. Ces concours garantissent un recrutement impartial au mérite des candidats. Si vous pensez faire de meilleurs enseignants que les enseignants de vos enfants, rien ne vous empèche de passer ces concours (un conseil: passez l'agrégation, il n'y a même pas besoin de connaître les programmes d'enseignement).

Vous suggérez de garder les enseignants 35 heures par semaine au boulot... Figurez-vous qu'ils ne demanderaient pas mieux. On leur fournirait un bureau, du matériel pour préparer leurs cours sur place (papetterie, ordinateur, photocopieuse, connexion à internet), ils corrigeraient leurs cours sur place et rentreraient chez eux l'esprit libre après une journée de travail. Ils n'auraient en plus pas besoin de se rendre disponible pour les parents d'élève qui ne pourraient pas les voir en dehors de leurs 35 heures de présence à l'école !

Au lieu de cela, les enseignants (au moins ceux du secondaire qui ne disposent pas de leur classe) ne disposent pas d'endroit où travailler dans leur établissement, et que dire du matériel ! Donc ils rentrent chez eux où ils ont une pièce attribuée à leur travail de préparation et de correction. Ils achètent leur matériel de travail (ordinateur, papetterie, documents de travail). Qui plus est, il est courant de dire qu'une heure d'enseignement requiert au moins une heure de préparation (ce ratio préparation / enseignement dépend du type d'enseignement et de l'âge des élèves). Les 35 heures, la majorité d'entre eux les dépasse largement !

Le fameux argument des "4 mois de vacances" n'en est pas un non plus. Outre que ce chiffre est exagéré, l'écart se resserre de plus en plus entre les enseignants et les autres. Enfin, ces vacances plus longues que la moyenne justifient la perception par les enseignants d'un salaire plus faible à qualification identique. Pensez en effet, que les enseignants ont une formation longue (3 années d'université plus 2 années d'IUFM = 5 années d'étude après le bac) qui les place au niveau de formation des ingénieurs ou des universitaires titulaires d'un DEA/DESS. Enfin, pour avoir passé de nombreuses vacances avec des enseignants depuis ma plus petite enfance, sachez qu'un enseignant passe son temps à préparer ses cours, même en vacances... Ils visitent des musées, collectent des documents, prennent des photos, se renseignent sur les possibilités de visites en groupe uniquement dans le but de tirer partie de leurs vacances pour leurs enseignements. Certains enseignants organisent même leurs vacances en fonction des préparations qu'ils souhaitent faire (collecte de matériel/documents, préparations de sorties / classes vertes etc.).

Ceux qui souhaitent voir les enseignants alterner stage en entreprise / enseignement, sachez que certains enseignants le font (je pense à des enseignants du technique) de leur propre initiative pour se tenir à jour des méthodes de travail. Pour les enseignants de l'enseignement général, que souhaiteriez-vous leur faire faire ? Imagineriez-vous que vous puissiez aller enseigner à votre tour sans aucune préparation ?

Pour Guy-Jacques, qui reprennait la démonstration élémentaire que je demandais tout à l'heure, tu fais partie de ceux qui "ont compris"... J'en connais beaucoup pour ma part qui ont oublié le résultat final mais surtout n'ont jamais compris la démonstration pourtant si simple.

En bref, Fikivir a raison, je reprends ma croisade (bien que "croisade" soit un terme qui ne me plaise pas en raison de sa connotation religieuse) pro-enseignants, mais c'est de toutes façons peine perdue avec des gens qui n'ont pas la moindre idée de ce qu'est ce travail. N'oubliez pas que si vous êtes devenus ce que vous êtes, c'est grâce aux enseignants que vous avez eu et qui on su vous transmettre leur savoir, vous motiver, vous encourager, vous intéresser à leurs matières.

Comme mes interventions ne sont pas les bienvenues, ceci était ma dernière contribution dans cette discussion.

 

Surtout pas Cyl20

Faisons de l'histoire : Napoléon a dit :

ICI ON EST TOUS MACHOS

 

soyons sérieux

Cyl20, nous avons déjà un accord sur le fond:

Quiconque a déjà négocié des "accord" sait qu'il faut ensuite négocier et les modalités et le calendrier … Bon mais on a une avancée
J'ai quand même aussi évoqué trois autres points… Que réponds-tu ?
En particulier sur le point 4, j'ai toujours été surpris, de voir que deux profs (du secondaire), de maths p. ex., n'acceptent pas de mener un cours ensemble… Et souvent que ce que l'un a fait dans sa classe, en première p. ex., ne vaut plus rien pour le suivant en Terminale: les notes, d'emblée, chutent de40 à 75 % , évidemment en deux trois mois le nouveau prof a rattrapé les erreurs de son prédécesseur - ai-je tout faux
C'est exact que ce que je "prétends" ici est faux des profs du technique en particulier en atelier, mais comment son-ils considérés par leurs collègues "généralistes"
Quant aux "stages", exact des profs du technique en font… Mais cen'est pas une "circulation" d'un monde à l'autre, c'est de la visite… qui se fait aussi dans l'autre sens, sinon je ne dirais pas celà

Pour:

,
il y a donc eu du changement, auparavant une partie de l'agreg… de maths… portait exactement sur le programme de Terminale C…_Certes la pédagogie ou l'aspect "cognitif" y était ignoré.

J'ai aussi une histoire d'arithmétique élémentaire mais ça sera pour la prochaine et pour rigoler :lol: