Meilleure leçon de scénario (et réalisation)

Du coup et encore merci @Kersalg, revenu corriger tout le post #72

Merci @JLH 37 !!!

(Là où on se rejoint aussi avec @nestaphe : L'artisanat à préserver du métier dans tout son ensemble ! Mais aussi toute une force émotionnelle possible).

Attention si blu-ray lu qu'en 2:1 (stéréo), ces crétins ont oublié d'y inclure les pistes dédiées aux voix VF mais perso, sans encore de dispositif multicanal, je tenterai la VO jusqu'à investissement).

 

Chut...il m'est aussi arrivé d'avoir quelques commentaires de mes profs..[prescription]

Ce qui est (ou pourrait être) intéressant dans la formule [t1- X t2- = t+] c'est que tu peux donner à t1 et t2 des temps ou durées différentes avec souplesse avec un axe très centré ou excentré... un cheminement plus ou moins long pour amener le spectateur à apprécier le t+. Plein d'interprétations...

 

Petit mais pas modeste bonus pour tous sincèrement vous remercier

Oui pour Citizen Kane mais pour The impossible ?

Au Déluge !

Je vous dois enfin une confidence perso puisque pour confirmer, on apprend sans cesse.

Post#61, j'ai évoqué mon souci avec Géraldine Chaplin (le même que sur un scénar perso) mais enfin compris qu'elle était préparée au set up (et pas que juste avant son apparition p.60).

L'affront de me sentir rescotché dans mon fauteuil, c'est que j'ai vraiment mis du temps à percuter que c'était à cette scène du lâcher des lanternes qui finissent en étoiles dans le ciel.

Mais la vieille dame qui s'adresse au mini astronome Thomas, au visuel de petit angelot des maîtres de la Renaissance, n'est elle pas la Lune en personne qui n'était qu'en arrière plan de la scène des lanternes et qui p.60 revient révéler à l'enfant (l'âge jamais révolu), le mystère des étoiles dans le ciel obscur ?

Dans mon scénar (de jeunesse), la Lune annonçait aussi à un petit garçon perdu dans la nuit, le retour du soleil mais vlatipa que cette trainée de Géraldine () vient carrément m'éveiller ce même petit garçon à la lumière primordiale (puisque faut tout pivoter, mère nature, la Terre et donc, l'humanité toute entière).

(Développer, c'est pour le cerveau gauche. Réticence perso à cause du risque, trop scolaire. Le cerveau droit a surtout besoin de tout décomposer, de tout bien ranger le bagage. Femme ou homme, c'est féminin, c'est l'intuition).

PS : Pour consoler les hommes et leur part masculine réservée : Pourquoi une action : "I will come back" ? Parce que venant d'un Shwarzie Terminator en furax, les enjeux sont physiques et émotionnels. C'est un "masquer" qui va pas tarder à appuyer sur "afficher"

 

Putain, j'essaie pourtant de vous suivre... mais vous me ramenez inévitablement au sketch de Fernand Raynaud qui se terminait par : " et pendant ce temps-là, moi, je dors..."

En résumé et pour des amateurs comme moi, ça donne quoi ?

 

Ça va devenir compliqué... Peut-être pour les gauchers mais pour les droitiers? Promis! j'arrête!

 

Salut Jean-Charles (@Charlie47), si possible, çà donne tes 2 points d'intrigue que tu disais te manquer ou ne pas encore avoir abordé mais surtout à te rappeler que tu feras encore longtemps partie des djeunes débutants de ce forum du Repaire de brigands (ceux de mon avatar ).

 

Débutant ça c'est clair je le serai en permanence... et d'ailleurs je le revendique ce qui pardonne mes nombreuses erreurs...

 

Bienvenue au club, Charlie

 

Euh... j'ai pas tes réferences moi, monsieur... Je revendique juste de connaître Xavier Lefebvre qui réalise de beaux documentaires.. Un peu pauvre, je sais pour se faire un nom dans le milieu...

 

Pas lu Syd Field, ni autres Robert McKee, pas de références sinon qu'une, mais saches que c'est toi qui m'épate Jean-Charles !

Soupçon qu'on est quand-même pas loin aussi du docu même si je reconnais que la discussion s'adressait d'abord aux (éternels) jeunes apprentis de la fiction.

Epididontoua, qu'une référence ? Tu regardais rien à la télé quand t'étais gosse (et tu l'es toujours) ? Les commandant Cousteau, les Frédéric Rossif, les Raymond Depardon ? ... (Tu ne te privais certainement pas de cours !).

 

Quand je parle de références ce sont les gens que tu sembles avoir rencontré (et ils sont nombreux) et qui forcément t'influencent... Moi tu as vu c'est Fernand Raynaud que j'ai à vous offrir...
Bon ceci dit, si vous faisiez une synthèse de vos échanges ? Parce que je suis vraiment largué, un peu comme si tu me collais aujourd'hui sur les bancs d'un cours de philo, mixé d'un cours de math, quoi...

 

Oui, vrai pour Marcel Carné et même Claude Sautet (les autres que je ne citerais pas, un peu aussi) mais pas Sergio Leone et Luchino Visconti, jamais rencontrés sauf leurs films restés dans mon apprentissage ado et post ado.

Petite anecdote d'ailleurs, rencontré une fois Jeremy Kagan mais même pas pu discuter, crétin que j'étais, pas parce que je ne parlais pas anglais (il avait un interprète) mais je n'avais pas encore vu son "Natty Gann" qu'il venait de sortir (il était à Paris en promo). Pourtant, vu et adoré son film mais que longtemps après et à la même enseigne que tous les djeunes et leurs références, toujours regretté de n'avoir pas pu en parler avec lui.

Idem que pour "développer" ou "décomposer", un film ou un docu de référence, fait à la fois travailler les 2 hémisphères mais comme c'est pas pendant l'école, on ne s'en aperçoit pas forcément tout de suite. Mais heureusement, la leçon est tout de même retenue (faut seulement la redécomposer plus tard).