[CommentFaire?] Les règles du mixage son en Video

Salut à tous,
et merci d'avance pour vos pistes et vos réponses,
voila mon problème est passé simple, je recherche a perfectionner mon mix dans mes videos.
impossible sur le web de trouver les règles du mix audio en video.
je m'explique:
- niveau de la musique,
- niveau de la voix
variation du niveau avec une voix et une musique....
niveau global

mettre un limiteur sur le Master, un compresseur ?
bref je recherche les règles de bases pour faire un travail propre...

pour vous donner une idée voici une de mes videos, j'aimerais vos commentaires sur le mix, et surtout vos solutions....

merci d'avance a tous.

 

A la première écoute sur PC portable, on a peu de détailles sonores. côté ambiance mais cela passe.. il faut pousser un peu le son...mais le résultat est équilibré, agréable on comprend tout très facilement., tout est bien pausé...en docu c'est OK (le net bouffe beaucoup le son).

A la seconde écoute au casque , très différent... je baisse le curseur sur moyen, c'est parfait, net, on a tous les détailles. en plus..seul pb la voix off , on découvre une résonance un doublage, (dé-timbrage ?) un écho bizarre....dans une salle bien équipée, ce ne sera pas bon...sur le net, en écoute normale, pas de pb.

Bon et beau boulot (avec Go pro en protune + APN + pour le son ...?)

D'autres plus compétents seront plus précis....

 

Avant de parler de mixage, il y a juste un détail… Si on parle de LA VILLE de Bar-le-Duc, alors, c'est "comme vous ne l'avez jamais vuE", non ?

 

et bien non.... c'est bien Vu et non Vue.... règle de grammaire sur le genre desnoms de ville ....
si dans la phrase c'est " La ville de Bar-le-Duc.... c'est bien VUE.... si c'est Bar-le-Duc c'est bien VU....."

pour info:
Le genre des noms de villes est difficile à déterminer. On peut le déduire à la présence d'un article défini singulier :
– L'article masculin semble décider le genre : Le Caire, Le Havre, Le Mans, le Grand-Quevilly, le Creusot. Cela se vérifie en cas de contraction, on arrive au Mans et non à Le Mans qui est si belle.
– L'article féminin aussi : La Seyne-sur-Mer, La Havane, La Nouvelle-Orléans, L'Isle-sur-la-Sorgue,La Tour-du-Pin paraissent féminines.
On peut aussi le déduire à partir d'un élément qui possède son genre parmi les noms communs : Forges-les-Eaux, Les Sables-d'Olonne. Mais les erreurs sont possibles : Saintes ne doit rien aux saintes, mais à un peuple de Gaulois (et aussi de Gauloises).

Les « saints » permettent de se faire une idée : Saint-Louis et Sainte-Menehould n'ont de commun que la canonisation. Cela fonctionne aussi pour les saints de deux genres : Saint-Claude est réputé pour ses pipes.

Le déterminant final a peu de poids si c'est un substantif : Alfortville peut être masculin au contraire de Mantes-la-Ville. Remiremont est souvent féminin alors que c'est le mont de Rémy. Strasbourg peut être féminine à l'image de Bourg-la-Reine. Et l'on s'égare dans Villeneuve-le-Roi, la ville neuve du roi, avec absence de préposition comme en ancien français. Château-Thierry même pourrait faire croire à un nom masculin alors que, dans les faits, ce n'est pas aussi évident.

En revanche, Annecy-le-Vieux, Morschwiller-le-Bas, Lons-le-Saunier, Mantes-la-Jolie, Paray-le-Monial, Pierre-Bénite, Le Blanc-Mesnil, Villiers-le-Bel donnent leur genre par l'adjectif. Encore convient-il de ne pas le confondre avec un substantif comme dans Ozoir-la-Ferrière, le second élément est un complément de détermination sans préposition. Et il ne faut pas se laisser égarer par l'ancienne forme de l'adjectif grand qui était régulière au féminin : La Grand-Combe. Attention ! Belleville – quartier certes, mais ancienne commune – peut être beau.

En l'absence d'élément clairement marqué, on pourrait fabriquer une règle en se fondant sur les terminaisons : les noms s'achevant par un e caduc dans la dernière syllabe seraient féminins, les autres noms seraient masculins. On aurait le e comme marque du féminin. Cette règle ne résiste pas à l'examen : Le Kremlin-Bicêtre est masculin, La Paz est féminine. En fait, le genre des villes peut être influencé par une telle terminaison à l'oral et plus fréquemment à l'écrit. Cette attraction est similaire à celle exercée par les substantifs présents dans le nom.

 

merci pour ton retour .... comment faire pour retirer un dé-timbrage?

c'est tourné avec une C100 MKII avec prise de son sur la com avec un RODE NTG2 ou/et un lavalier
pour les images drone c'est un inspire 1

 

Tu l'as aussi envoyé dans les airs ta C100 MKII ?!? (belle bête et belles images au demeurant )

J'ai noté qq chose, pour le diagnostique son précis, la cause et les moyens....il y 2 spécialistes au moins ici, c'est Dr homero et professeur saint Kro

J'ai probablement dit une connerie .. c'est peut être du plutôt à un simple excès de basse fréquences (quels matériel et conditions de la prise de voix off ?)

 

aucune idée pour la prise de son de la voix off, c'est un comédien voix off spécialisé dans le documentaire, je lui passe commande en lui envoyant le texte et je récupère le fichier son...

 

Ok on sent le savoir faire...mais il en a fait peut être un peu trop dans l'effet voir grave, posée..surround etc., d'où ces petites perturbations quand il est dans les graves..quand il monte, y a plus....

Au casque monitoring, c'est gênant pour moi, sur un Pc portable où il n'y a plus de grave ...c'est bon.

 

Bonjour Gramon 55,


Si ton comédien voix off se débrouille tout seul, il faut que tu insistes bien pour qu’il te livre une voix non équalisée et non compressée. Sinon, surtout si tu dois mixer avec d’autres voix, ça va être galère… C'est ton projet, pas le sien ...

Sur de bonnes écoutes, on a effectivement beaucoup de graves et d’aigus, façon «Loudness FM de d’jeuns», alors que sur une voix, l’essentiel se situe plutôt entre 2 et 4 khz pour l’intéligibilité, et entre 100 et 250 hz pour le corps.

La transition « saute aux oreilles » quand on arrive sur la voix de Franck Mourot : La, c’est le contraire, on manque un peu de correction sur le mix du micro-cravate (Même si, par la force des choses, ça ne pourra jamais donner du gros son.)

Globalement, pour harmoniser un ensemble de sources, au minimum, je te conseille :
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Un compresseur (Par exemple « Renaissance Vox » discret et dosé light) + équalisation, pour chaque piste de voix .
(idem pour les ambiances si besoin …En fait il y a presque toujours besoin …)

Renaissance Vox Vocal Compressor Plugin | Waves
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Un compresseur limiteur sur la piste master, qui te permettra de doser la 'pêche' de l’ensemble selon tes envies.
Par exemple :

L3 Multimaximizer Multiband Peak Limiter Plugin | Waves
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Je me permets aussi quelques avis perso :

- On manque effectivement de sons « in » pour créer une bande son plus riche et cohérente

- Du coup il y a des moments où tu prolonges la musique qui n’a plus lieu d’être : Par exemple à 2.15 sur l’arrivée de l’employé de voirie … à 5.19 aux archives… ça ne colle plus vraiment …

Sinon, félicitations sur le travail global, pour un sujet pas si évident que ça à rendre attractif.

A+

 

Merci beaucoup Milpak pour ton aide et tes commentaires pertinents...., je regarde du coté des plugins Waves.... et je réécoute le fichier source de la voix off... merci beaucoup....

 

pour la musique "in", j'ai pas trop le choix ....le client souhaite des documentaires genre " des racines et des ailes..." mais je regarde cela aussi

 

et merde Renaissance Vox Vocal Compressor Plugin | Waves ne fonctionne pas sous FCPX .... :-(

 

sans doute pas l'ultime page audio, mais perso je la trouve intéressante avant de se lancer à l'aveuglette dans le tweaking d'un logiciel disposant d'un égaliseur, la majorité d'entre eux, probablement. Ca me semble très clair, je l'ai testé sur l' EQ de mon ampli Homecinema :
Comment bien utiliser un égaliseur – Audiomaniac
Depuis, adieu le son de coton en TV, surround ou pas, grâce au Ch VIII ...

 

..."je n'ose croire à un choix esthétique" ...hélas, it's a possibility! j'ai entendu la confirmation par un cinéaste dont le nom m'échappe, d'une part, et par ailleurs une actrice en route pour un prix actuellement disait il y a peu que si des spectateurs n'entendaient pas ou ne pouvaient pas comprendre son texte dans les fauteuils du fond du théâtre, eh bien "c'est pas hyper important'...
Pour les traductions simultanées, ici je comprends mieux l'anglais, quand il n'y a pas -de traduc!...
c'est peut-être le but recherché, quand on n'en est pas trop sûr de ce qui est dit dans la langue originale (le genre de sketch de feu J Bouise je crois : micro trottoir dont le texte de l'interviewer bafouillant ne laissait comprendre que quelques mots- clé, et le sondé embrayait sur n'importe quoi !!, le surréalisme au top!).
En tous cas, c'est fréquent en tv, et je ne vois que la Grande Bretagne qui ait un service de sous-titrage automatisé (en partie), et beaucoup de sujets de la reine m'on assuré qu'ils s'en servaient... mais il a lui-aussi ses limites.
Autre défaut, amha, l'enregistrement donne l'impression d'être saturé (pas autant, mais un peu comme Revolution, des Beatles), ou aussi comme un effet fréquent en émission radio, l'hiver, même en FM.
Je me demande tjs pourquoi on n'a que peu de pbs de ce genre sur les films "films", avec le son sur le côté du film, plutôt anciens donc, et tant de bouillie pour les chats depuis -en particulier- le mp3, du moins tel qu'il a été marquetté. Je crois aussi que le son est la première victime de la diminution de bande passante en émission.
Curieusement ces remarques ne s'appliquent pas aux extraits de chansons cités ici... c'est donc le reporter qui est en cause, amha.
Pour ce cas, je vais enregistrer un morceau, et voir ce qu'on peut en tirer en trafiquants les bandes avec l'égaliseur d'un logiciel son, va savoir!
Tout n'est pas perdu, j'ai vu un docu sur le Texas hier soir à la TV de nos voisins d'outre Manche, sur le Texas, pas piqué des vers, et compréhensible sans sous-titrage, dans une région "à accent" s'il en est, à couper au coutelas! Hélas, ils ne repassent pas grand'chose, ou alors longtemps après.