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Je recherche un film-cas social

Discussion dans 'Le café du Repaire' créé par maschera, 7 Septembre 2013.

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  1. lexcalvin

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    les amants du pont neuf ? :D


    Holy motors ?
     
    #16 lexcalvin, 8 Septembre 2013
    Dernière édition par un modérateur: 3 Septembre 2015
  2. snoozkilla

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    vous voulez le flop du siècle → john carter

    un budget de 275 millions pour la production du film et 100 millions pour le marketing. rien que ça :mdr:

    des effets spéciaux par dessus la tête et surtout par dessus la jambe :suspicious:

    un scénario en carton pâte doublé d'un gouffre financier en frais diverses et inutiles
     
  3. giroudf

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    pourtant john carter c'est super, surtout en 3D, mieux que certains james bond qui ont coute autant...( a l'epoque de Roger moore).
    Tous ceux a qui je l'ai montre l'ont trouve super, grand divertissement, belle images.
    un cas social, c'est d'ailleurs pas forcement un flop.
    Le grand bleu a une histoire de cas social et ca a ete une reussite commerciale.
    Et il y a plein de flop, qui sont simplement des erreurs de marketing, ou la faute a pas de chance (mort de l'acteur principal par exemple).
    Si on veut vraiement chercher des cas sociaux, faut voir du cote de jacques tati par exemple ou kevin kostner avec waterworld
    Un cas social, c'est un projet plombe des le depart part des choix objectivement malheureux (bien que ce soit facile de le dire ... apres coup).
    Ca peut a la base partir d'une bonne intention (du genre tourner ou il faut pas, quand il faut pas, voir pour ca FITZCARRALDO ), pour avoir le truc qui fait la difference.
    Werner Herzog est d'ailleurs assez partant pour des galere de ce genre.(ca passe ou ca casse, a la dogma)
    Avant lui on avait Jean-Luc Godard, suffit de se taper quelques films de lui pour comprendre. rien de commercial ici, on aime ou aime pas.
     
    #18 giroudf, 9 Septembre 2013
    Dernière édition: 9 Septembre 2013
  4. lexcalvin

    So

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    Pour Herzog ça tenait surtout à sa relation compliquée avec Kinski ... les indigènes sur place ont même proposé à Werner Herzog de tuer son acteur principal à la fin du tournage s'il le désirait ... Il parait qu'"il a hésité ^^

    Dans le même genre pendant un docu sur le film, Klaus Kinski était connu pour ses colères noires et pour quitter le tournage d'un film sans jamais revenir, plantant le film au besoin. Herzog le voyant partir sur ce trip lui dit " si tu pars et que tu franchis cette rivière, je prends ce flingue et je te mets 5 balles dans la tête, et la 6eme est pour moi ! "
    Il conclut pour la camera '" j'ai pu compter sur la grand lâcheté de Kinski, et nous avons terminé le film ".

    On savait parler aux divas à l'époque. :D

    Sinon en grosse foirade, oui John Carter of Mars, mais surtout le pathétique Lone Ranger en disent long sur l'incapacité de Disney à répondre aux attentes du public depuis quelques années.

    John Carter a été pillé pendant 100 ans par toute la SF de television et de cinema, normal de ne rien trouver de neuf dans cette histoire visionnaire dans les 30s, pas de nos jours.

    Et pour Lone Ranger, qui a encore envie de voir du western cliché de nos jours ? Car le western, contrairement aux films de pirates, a énormément évolué en qualité, en réalisme, surtout à la télévision. Lone Ranger est un dinosaure, un ovni dont on à peine à croire qu'un marketeux à donné son accord.
     
  5. snoozkilla

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    un beau cas social, postman

    le film au scénario le plus naze du cinéma heureusement qu'il a pas coûté bien cher (façon de parler :laugh: )

    je crois que c'est un des films les plus mal dirigés et les plus plombés dès le départ...
    à part la france qui oserait faire un film sur la vaillance des postiers. même vaillant le pigeon de combat est plus réaliste et prenant c'est dire :mdr:
     
  6. giroudf

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    mais encore une fois un mauvais film n'est pas un cas social.
    un cas social, c'est la prod qui a tout pour reussir, le budget, le casting, le scenar.
    manque de pot, il y un truc qui ne joue pas (la prod veut absolument tourner en bulgarie plutot que dans des studios, le film prend du retard, les acteurs geulent, partent ou demandent des rallonge, l'actualite rattrape le film, des associations cathos, homos ou je ne sais quoi s'en melent) ).
    Il y a un film ou la directrice ne c'est pas presentee le 1er jour de tournage, invoquant des raisons personelles. typique du cas social et ca peut arriver en plein tournage.
     
  7. lexcalvin

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    Pardon mais cette definition fonctionne parfaitement avec John Carter !

    Elle colle aussi à Superman 2006, Lone Ranger, R.I.P.D., After Earth, Green Lantern ...
     
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  8. giroudf

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    non, parce que pour les fims que tu cites, le seul probleme, c'est qu'ils n'ont pas cartonne.
    C'est pas parce qu'un film ne se vend pas que ca devient un cas social.
    D'ailleurs je repete, un cas social ca peut aussi etre une reussite a partir d'une merde qui n'a a l'origine rien pour reussir, genre "blair witch project".
    On a aussi , comme Barbarella, des films de haut niveau (de par les acteurs et la production par exemple) qui font un flop et qui deviennent des monument 5 ou 10 ans plus tard, parce que recuperes pour une raison ou pour une autre.

    j'ai cite plusieurs films qui sont des cas sociaux ("waterworld" qui fut un flop parce que kevin costner s'est entete dans des choix peux judicieux).

    Jerry lewis qui a essaye de sauver son "The Day the Clown Cried " jusqu'a y investir presque tout sa fortune et qui n'existe que sur un cassette video que presque personne n'a vu (alors que les rares qui l'ont vu disent que c'est un chef d'oeuvre).
    Luc Besson qui galere pour produire son "grand bleu" envers et contre tous et qui fini par le realiser quasi tout seul.
    Tati qui filme en couleur et noir et blanc "jour de fete". le film couleur ne sort d'ailleurs jamais (ou trop tard).

    A la rigeur "Flash Gordon" pour des choix de production manifestement a cote du sujet (bien que je repete, c'est facile de le dire 30 ans apres).

    Mais bon des nanars de serie-z sans pretention, il s'en produit toute l'annee, c'est des merdes qui n'ont aucuns succes, sans pour autant etre des cas sociaux.
     
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  9. lexcalvin

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    Ou peut être que ta définition de cas social fait intervenir tes gouts personnels, et non des critères factuels, tel que le box office justement. Leur seul problème n'est pas financier mais aussi artistique et marketing donc ça les classe dans la catégorie Cas Social.
    • Superman 2006 ? Encore lex luthor, encore la kryptonite, trop de clark kent, pas assez de Superman
    • RIPD ? gros pompage en moins drole de Men In Black, et ça s'est vu.
    • Green Lantern ? Ryan Reynolds, nuff said.
    • After Earth ? script megalo, cadeau d'anniversaire à fiston pas doué
    • Oblivion ? prévisible dés le pitch ...
    • Pacific Rim ? record d'incohérences, pourtant d'après les régles établies par le scenario, un comble, acteurs mal dirigés, catalogues de clichés,
    • White House Down ? arrivé trop tard après l'autre " Piege de cristal à la maison blanche ", et pour dire la même chose " usa ! usa ! "

    la liste est longue, ne date pas de 30 ans et pas seulement US : la liste française des comédies qui floppent avec un soin appliqué, s'allonge chaque mois, au point que des articles rebondissent dessus. On ne rit plus

    Aujourd'hui, où sont ils ceux qui voyaient leurs salles se remplir sans limites, sans voir la bulle cinéma gonfler en dépit du bon sens ?


    Quand je lis ça je pense direct aux pontes de Disney " on pourra leur vendre n'importe quelle connerie, du moment qu'on garde la même équipe, et qu'on change la skin du film"

    " vous avez aimé Pirates des Caraibes ? Vous aimerez Lone Ranger !"

    Metrage hors budget, realisateur & comédien stars producteurs qui ne se sentent plus de joie, refonte du scenario à gogo, et au final un échec qui est imputé aux méchants critiques américains, selon Depp & Verbinski.

    Un film tourné en mode diva, c'est ma définition du bide artistique autant que financier.

    Sinon dans le même genre chez Jerry Bruckheimer, même producteur, mêmes conséquences.
    L'Apprenti Sorcier - film 2010 - AlloCiné
    [​IMG]
    En voilà un bon gros navet qui avait tout pour réussir. :D

    Et encore un autre : Prince of Persia : les sables du temps - film 2010 - AlloCiné

    [​IMG]

    Quel grand producteur au nez fin ce Jerry, un vrai fox terrier.
     
    #24 lexcalvin, 11 Septembre 2013
    Dernière édition: 11 Septembre 2013
  10. maschera

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    Bah dis donc :D

    Merci beaucoup pour vos tuyaux, c'est assez convaincant. C'est vrai que, malgré mon manque de culture, je l'ai senti jusque dans la salle de cinéma l'échec de Lone Ranger...

    Je vous rejoins beaucoup sur l'idée qu'il y a un essoufflement du cinéma commercial, qui devient palpable jusque dans la presse. Les échecs s'enchainent. Mais ce qui m'étonne, c'est qu'au-delà du simple constat, j'ai le sentiment qu'il n'y a pas plus de mouvement que ça. Au contraire : au plus ça empire, au plus les cinéastes débutants passent leur temps à épouser ce modèle qui échoue. Scorsese a même récemment dit : "Quand je vois les films à petits budget, j'ai souvent l'impression que leurs réalisateurs sont en train de passer une sorte d'audition pour aller travailler à Hollywood". Tous les anciens du Nouvel Hollywood constatent cette déchéance.

    De voir ce cinéma bourgeois qui se répète incessamment, qui patauge vainement dans un orgueil qui a fait son temps, et qui multiplie les échecs commerciaux et critiques, pourquoi ça ne donne pas aux cinéastes l'envie de réagir, de se rebeller, de donner un coup de boule aux bonnes mœurs comme certains l'ont fait dans le passé ? N'est-il pas grand temps que le cinéma s'en retourne dans les mains de la Créativité ?

    À ma FAC de cinéma, quand je parle d'histoire du cinéma, on me regarde comme un ringard, et on m'enjoint de regarder Avengers et X-Men, qui sont les "films cultes de demain". Tous les étudiants (ou presque) sont dans cette optique. C'est ouf, non ?
    J'veux dire, y a plusieurs décennies on avait des gens comme Lubitsch, Bunuel, Dreyer ou Stroheim, qui passaient leur temps à troller des systèmes de valeurs bien plus relous qu'aujourd'hui : y avait la censure, les chrétiens, toussa... Mais tous ces mouvements cinématographiques (de l'impressionnisme à la modernité de Shanghai) ont lutté pour faire avancer le cinéma et ce, en dépit d'une pensée culturelle hyper pesante, conflictuelle, injuste.

    Et aujourd'hui, alors qu'on est dans une décennie marquée par une grande liberté de penser et de parler, que la boîte noire qu'était le porno s'est même vue légitimer, que la psychanalyse s'est diffusée et a fait tomber de nombreux tabous, que le numérique nous offre des possibilités de diffusion, de financement, de postproduction inouïes, comment ça se fait que... tout le monde (ou presque) fasse la sieste ? :D
    On a des séries comme Noob, Flanders, le Visiteur du Futur, c'est bien, mais en quoi ces fleurs sont innovantes ? Allocine fait carton en énumérant les nanars, les Faux Raccords et les petites anecdotes des films classiques — à part gonfler l'égo des spectateurs, à quoi ça sert ? Le réseau "geek" qui domine le cinéma amateur contemporain n'est-il pas marqué par une forme d'autosatisfaction, d'infantilité, d'inconscience culturelle ?

    Les historiens du cinéma vont jusqu'à dire que le cinéma d'aujourd'hui est devenu "postmoderne", c'est-à-dire qu'il fonctionne en recyclant tout ce qui a été inventé pour faire du fun. Je trouve ce qualificatif ridicule. Ça me donne juste l'impression que le cinéma d'aujourd'hui a, purement et simplement, la FLEMME de créer, la FLEMME d'innover, la FLEMME d'avancer.

    Peut-être qu'au final, c'est toute notre époque actuelle qui relève du Cas Social. :D Comme tu le laisses entendre, lexcalvin, Lone Ranger et After Earth ne sont peut-être que des symptômes...
     
    #25 maschera, 12 Septembre 2013
    Dernière édition: 12 Septembre 2013
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  11. lexcalvin

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    Hélas non; la mémoire bourgeoise du cinema, cad celle qui dicte ce qui a de la valeur pour l'avenir, est construite à chaque génération.

    J'adore X men le commencement, mais pas au point de dire que Noblesse Oblige ne vaut plus rien. Le problème c'est que Noblesse Oblige, c'est du 4/3 en noir et blanc sans effets spéciaux alors c'est dur de vendre ça à un jeune, de la même manière qu'à l'âge de ces jeunes, je jurais par La guerre des étoiles, the Thing, Evil Dead, Indiana Jones et Retour vers le Futur.

    Ce sont les mêmes qui estiment aujourd’hui"hui que Harry Potter est un classique, qu'Emma Watson est sexy, que le seigneur des anneaux est monumental et le Hobbit en prend le chemin. Il se trouvera des ménagères de moins de 50 ans qui regretteront le bon vieux temps de Star Wars Episode I II III, de Twilight, Scream, Paranormal Activity et Hunger Games.
    Il est insupportable pour une génération de se dire qu'elle n'a pas vécu sa grande époque de classiques en devenir, et je comprends un peu les jeunes actuels : c'est dur de reconnaitre qu'on est arrivé à la mauvaise époque pour un genre donné.

    Ex : le western ; j'aurais aimé découvrir " le bon la brute et le truand " en salles à sa sortie, mais on se console avec quelques westerns actuels à la télévision (Deadwood et cie).
    Idem pour les péplum : découvrir Ben Hur sur grand écran, ça doit faire un choc.

    Le plus dur est d'arriver à faire preuve de curiosité, afin d'aller contre ses gouts, pour qui sait, aller vers une bonne surprise. :rolleyes:

    Le vrai soucis se situe plutôt en France : le cnc a installé un système pervers où ceux qui voulaient s'enrichir ont pris le pas sur ceux qui voulaient faire du cinéma.
     
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  12. maschera

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    Désolé pour le retard dans ma réponse, je passais le concours de l'ESAV (et ce fut un massacre, aargh). :sad:

    Je ne suis pas sûr de t'avoir bien compris.
    Mais je ne pense pas que c'est parce que la populace de Montpellier 3 aime à considérer que X-Men : le commencement et Avengers seront les films cultes de demain, qu'ils le seront !

    S'ils en viennent à vanter ces films en leur donnant un attribut qui n'existe pas (du moins pas encore), ça prouve que ces films ne se suffisent pas en eux-mêmes. S'ils étaient suffisamment bons en eux-mêmes, ces étudiants n'auraient pas à les vendre comme "les films cultes de demain". Si ces films sont aussi dévastateurs qu'ils le prétendent, ils n'auraient pas à faire appel au futur (et donc à un élément incertain/extérieur au film) pour leur donner du mérite.

    Bon après je dis ça, mais moi-même je n'ai pas vu X-Men. (j'ai vu Avengers par contre, et franchement, il n'y a pas de mots pour dire à quel point ça m'a soûlé).

    Puis bon, y a aussi des films qui sont devenus cultes après-coup (comme L'Étrange Noël de Mr Jack). Et des films qui ont eu un succès phénoménal à leur sortie et qui ont été oubliés fort rapidement...

    Fin après je suis pas sûr d'avoir bien compris ce que tu voulais dire ! :laugh:

    Je suis assez d'accord avec toi sur l'idée qu'il faut aller contre ses goûts pour faire de belles découvertes. Je pense que c'est quelque chose d'essentiel, car le cinéma étant un langage, il a un potentiel sophiste, populiste, aliénant... Il convient donc de remettre en question son bon-goût constamment. :) En fait, le bon-goût c'est d'aller contre ses goûts :)
     
  13. Romont

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    Une réponse un peu décalé par rapport à ta demande précise, mais Hôtel des invalides, commande du Ministère de la Guerre, a trouvé avec succès un tout autre public que celui qui était escompté et c'est devenu un classique. Le réalisateur a "trahi" le commanditaire. Il n'a pas été fusillé cependant - ce qui se serait passé dans le Nord du Pays du matin calme. .. je ne sais à quelle heure ils fusillent là-bas, chez Franco c'était à las cinco de la tarde.
     
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  14. lexcalvin

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    Une petite couche pour les cas sociaux

    Cinéma français : la situation est grave mais pas désespérée - L'Express


    Cinéma français : 90 % des films ne sont pas rentables
    Avec toujours le mensonge autour de la rentabilité de " la vie d'adele " , en déficit, mais là BFM tv parie sur les ventes dvd pour prédire un succes ...

    j'aimerais bien qu'on m"explique comment un film peut être rentable quand il fait 800 000 entrées pour un cout de 4 000 000 € le porno intello tourné au camescope.
     
  15. snoozkilla

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    t'as déjà vu un navet être rentable toi?? cinéma français, le seul cinéma qui donne envie de partir avant la fin du film ou qui déclenche le détecteur de zapette afin de passer sur une autre chaîne de TV le plus rapidement possible :mdr:
     
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