format pour diffusion en cinema

J'ecris depuis mon telephone, et je démonte tous vos arguments dés que je suis sur un pc! Vous avez été programmateur du temps de la fête foraine. Preuve qu on ne peut pas être et avoir été.. Vous êtes atteint du syndrome theorique de peter (on atteint tous un jour son seuil d'incompétence...) Sachez que toujours amoureux de la pellicule, j'ai toujours été un fervent défenseur du numérique ! Relisez moi ! Un petit cadeau pour vous aussi : une invitation à l'idiff une à l'afc et une pour Dysneyland. Attention, il y a un piège.

 

après la condescendance du parisien (dans votre bourdage) voici maintenant la limite de l'insulte (le seuil d'incompétence et le programmateur de fête forraine).[/I


Attention tout de même, je vous rappelle que les copies flamme sont interdites depuis longtemps dans les salles mmmdrrrrr

Et pour la diversité et pour ceux qui auront lu ce post, je dis vive le dcp qui offre enfin la possibilité aux créateurs de présenter leurs courts métrages et leurs documentaires au public dans de bonnes conditions techniques. Ne serait ce que pour çà, c'est une évolution importante à défaut d'une révolution.

Hier, premier décembre, sont parues les recommandations du comité consultatif du CNC composé de 4 exploitants et de 4 distributeurs. On peut notamment y lire :

Montant des contributions

« le montant de la contribution [...] est négocié entre les parties à des conditions équitables, transparentes et objectives ». Il doit notamment rester inférieur à la différence entre le prix d’une copie 35mm et le prix d’une copie numérique.

Mince, il va falloir prévenir le C N C que le prix de revient d'une copie DCP et le même que celle d'une copie argentique et que la contribution va être de à
0

On y lit aussi :

Grâce à une connaissance approfondie de ses salles découlant d’une politique volontariste en faveur du cinéma, l’Aquitaine a décidé de lancer son plan d’aide régional au vu des résultats de l’expérimentation : hausse des entrées liée notamment à la 3D, gains tirés de la souplesse de programmation (possibilité de conserver les copies numériques de films pour des rediffusions notamment), adaptation rapide des exploitants aux technologies d-cinema,...

La Région va aider ses exploitants art & essai au fur et à mesure de leur engagement dans le processus de conversion des salles. Après les 6 écrans test, le soutien à 15 salles totalisant 18 écrans a été voté par les élus aquitains et un appel à candidature est encore en cours jusqu’au 15.09.2010 pour soutenir le passage au numérique d’une nouvelle série d’écrans indépendants et de proximité.

mince, c'est dommage on y retrouve mes arguments, ceux d'un ancien programmateur de cinéma de fête foraine va falloir qu'on explique à tout ce petit monde qu'il se plante. C'est vrai en plus, on nous sommes des régionaux paumés dans nos bourgades enneignées, loin de la sacro sainte capitale qui détient la vérité si j'en crois vos écrits

attention tout de même : j'ai vu dans les informations que votre gros bourg avait reçu ses premiers flocons

bonne continuation

 

Euh c'est vous qui êtes méprisant depuis le départ.
Le C.N.C est situé à Paris (pour info)
Il est parfaitement conscient des nouveaux enjeux et certains distributeurs l'ont cordialement alerté quant au cout parfois élevés + investissement tiers + KDM + Post-prod + multiplication des DD pour alimenter le territoire (sans compter les DCP égarés...ou HS)

Petit rappel également : bon nombre de salles ne sont pas équipées de bibliothèques supplémentaires pour stocker des nouveaux films entrants, et par conséquent, les fichiers de films déjà exploités sont supprimés dans le serveur par l'opérateur projectionniste....
Pour reprogrammer le film il faudra demander un nouveau DCP (ils sont rapidement repris par le distributeur voire effacés par ce dernier). Il faudra créer une nouvelle KDM aussi.

En attendant que je vous en dise plus je vous incite fortement à lire les pages 10 et 11de la dernière lettre CST (novembre) disponible sur le site CST où ici http://www.cst.fr/IMG/pdf/Lettre_130.pdf
Cela vous occupera cet après-midi..

Pour le reste, oui la contribution est fluctuante. Encore une fois : Où est le problème ? Effectivement, je ne pense pas qu'elle soit ramenée à 0 euros quand même...

Oui le numérique gagne du terrain dans nos salles, et c'est tant mieux !
En comparaison, la TNT progresse dans les foyers aussi depuis 2004 mais tout le monde n'y est pas encore passé que cela vous plaise ou non ... Sauf que dans ce cas précis on peut vraiment parler d'un fort taux de pénétration du marché..

Pour le court-métrage c'est effectivement une aubaine que je salue (je vous rejoins sur ce point) que de pouvoir exploiter les films en DCP... Gare quand même à ne pas fournir du 720*576 entrelacé filmé avec un camescope grand public et très mal géré en post-prod (déja vu). Mais là, je m'égare car cela peut effectivement se justifier dans de rares cas...

Oui vive le numérique bien maîtrisé sur toute la chaine. (on est d'accord là-dessus aussi.) Cessez donc SVP d'être vindicatif car je suis fan du Numérique, tout comme vous. Je dis simplement que le nombre d'années pour innonder toutes les salles avec tous les films en 2K voire 4K sera égal à votre ancienneté dans le métier... Allez je vous épargne ce petit calcul : en 2020 cela devient plausible.

 

Pour ce qui est des flocons... Oui mais ici on a toujours quelques degrés de plus

 

Un autre extrait d'article pris sur MANICE, un peu plus ancien il est vrai. (mais qui explique beaucoup de choses)


"> Pourquoi le développement du parc de salles numériques a-t-il été plus lent que prévu ?

Il est clair que la crise financière est une cause essentielle du ralentissement des plans de déploiement puisqu’elle complique la levée des capitaux nécessaires aux programmes d’équipement des salles par frais de copies virtuelles, sur lesquels se fondent la grande majorité sinon la totalité des projets de passage au numérique qui portent sur un grand nombre d’écrans.

Le cas d’AccessIT illustre clairement ce problème de financement : le tiers opérateur avait obtenu en 2005 un prêt de General Electrics pour équiper 4 000 écrans - prêt qu’AccessIT rembourse depuis progressivement en rétrocédant à son bâilleur une partie des frais de copies virtuelles que les distributeurs américains lui versent à chaque fois qu’ils diffusent une copie numérique dans une des salles converties. Mais désormais, il semble qu’ AccessIT soit contraint de lever des fonds au coup par coup : ce n’est qu’après plusieurs mois de négociations que la société, baptisée désormais Cinedigm, a annoncé avoir obtenu la ligne de crédit qui va lui permettre d’équiper les 137 salles du circuit Premiere.

Mais la conjoncture n’explique pas tout car les tiers opérateurs parviennent malgré tout à lever des capitaux : Cinedigm mais aussi Arts Alliance l’ont prouvé ces dernières semaines. Le fait qu’une partie seulement des distributeurs cautionnent les programmes de financement par frais de copies virtuelles est un autre handicap important pour les tiers opérateurs qui négocient des prêts avec des organismes de financement. Le cas d’AccessIT/Cinedigm en est encore l’illustration : alors que tous les studios hollywoodiens ont accepté de verser -et versent encore - des FCV pour financer l’équipement des 4 000 premières salles converties entre fin 2005 et début 2008, seules quatre des six majors ont pour l’instant décidé de contribuer au financement de la seconde tranche de 10 000 écrans.

Tant que les deux studios récalcitrants (Warner et Sony pictures) refuseront de s’engager aux côtés d’AccessIT, les frais de copies virtuelles venant en remboursement des fonds levés par le tiers opérateurs seront amputés des contributions de ces deux studios ; or leurs contributions potentielles sont loin d’être négligeables puisqu’elles portent sur plusieurs dizaines de films (ceux que les deux studios vont sortir durant la dizaine d’années laissées à AccessIT pour rembourser les fonds empruntés initialement).

En Europe, les studios hollywoodiens sont également divisés : sur les quatre tiers opérateurs présents sur le marché, un seulement a signé des contrats de frais de copies virtuelles avec les six majors. Et surtout, aucun des quatre tiers opérateurs - Arts Alliance depuis 2007, XDC et Ymagis depuis le printemps 2008, Sony depuis l’automne - n’a encore signé de contrat de frais de copies virtuelles avec des distributeurs locaux. Sans eux, les perspectives de remboursement des emprunts par les frais de copies virtuelles sont moins engageantes, surtout dans les pays où ces distributeurs locaux détiennent une forte part de marché.

Qu’attendent les distributeurs encore réticents pour s’engager dans les programmes de financement d’équipement des salles par frais de copies virtuelles ? Certainement que les tiers opérateurs diminuent les montants des FCV qu’ils veulent leur faire payer mais aussi la garantie que les mécanismes de financement pourront bénéficier à toutes les salles : en France par exemple, où près des deux tiers des cinémas ne comptent qu’un écran, les distributeurs peuvent légitimement s’interroger sur les économies de diffusion que le numérique va leur apporter s’ils doivent continuer à alimenter longtemps ces petites exploitations en copies 35mm."

Fin de citation

 

OUfff pas de message de Phil29 depuis sept heures environ.
Je pense qu'il faut qu'il digère

Je profite de ce moment de calme pour corriger certaines de ses erreurs :

-1 DCP de long métrage fait entre 150Go et 300Go en JPEG2000 selon la durée, le format et/ou la compression.
et non pas 90Go comme il le prétendait.


- Un film sur pellicule coute aujourd'hui à peine plus de 1000euros,(parfois moins.) exemple récent : nous avons payé 776euros TTC par unité sur notre dernier long métrage en 35mm auprès d'un labo Français réputé. Le film fait 1h40 (tirage "prestige"..)
et plus du tout 2000euros.

- Aujourd'hui les installateurs qui veulent satisfaire les desiderata des distributeurs emploient leur temps et leurs efforts pour sécuriser la chaîne et les Log en Cabines.

Voilà je tenais a corriger ses dernières inepties que je n'avais pas vues passer et qui m'ont été signalées par messages privés au milieu de son tohu bohu habituel. Merci à vous tous pour votre attention.

Je termine donc sur ce sujet en souhaitant une bonne soirée à ce sacré Philou

 

question : as tu déja fabriqué un dcp ?

et puisque tu fréquentes le site manice, tu as certainement lu l'itv du responsable de Ymagis et notamment ceci :

4) Cette loi va t’elle faciliter vos négociations avec les distributeurs français ? N’est-ce pas surtout le fait que l’UGC des Halles ait supprimé la quasi-totalité de ses projecteurs 35mm qui va rendre ces négociations avec les distributeurs beaucoup plus faciles ?

Il faut s’attendre à ce que plusieurs autres cinémas se mettent à retirer leurs projecteurs 35mm des cabines à court terme. La coexistence du 35mm et du numérique est un casse-tête pour les exploitants comme pour les distributeurs. Les premiers sont plus rapides à prendre les mesures qui accélèreront la transition, mais nous sommes convaincus que c’est l’ensemble du marché qui va basculer dans les mois qui viennent.

Pour l’instant, l’annonce d’UGC incite beaucoup de distributeurs à signer avec Ymagis des contrats de contribution à court terme (film par film), ce qui traduit une absence de démarche cohérente sur la numérisation. Néanmoins nous venons de signer coup sur coup deux accords à long terme avec des distributeurs français, dont une des huit « majors » françaises. Nous ne faisons pas beaucoup de communication à ce sujet, mais les choses avancent.

Un contrat à long-terme est plus intéressant pour tout le monde : pour nous, parce qu’il nous apporte une visibilité plus grande sur nos revenus et qu’il facilite la gestion quotidienne des contributions ; pour les distributeurs, parce que le montant du VPF est plus avantageux quand un distributeur s’engage à le payer sur le long-terme (au moins 5 ans) et ce montant reste fixe tout au long de la durée du contrat ce qui pourrait se traduire par un sérieux avantage si l’inflation repartait, ou bien si le coût du 35mm explosait, ce qui est probable avec la diminution des volumes de fabrication.

et comme quand tu cites des articles, prends au moins la peine de prendre ceux qui sont d'actualité. Tu liras ainsi :

Ce modèle a souffert pendant la dernière crise financière : parvenir à lever les fonds nécessaires pour équiper plusieurs centaines de salles a été pendant un bon moment impossible aussi bien aux Etats-Unis qu’en Europe. La situation s’est améliorée à partir de début 2010 : XDC est parvenu à lever 100 millions d’euros auprès d’un pool de banques mené par BNP Parisbas et Arts Alliance a obtenu 50 millions d’euros de financement d’un fonds d’investissement (Sankaty).

100 millions d'euros, c'est vrai que c'est rien

 

Réponse :Non pas un DCP

Mais plusieurs DSM et DCDM

Je commence même à être un peu cher


100 millions d'euros bahh dans cette industrie, si, c'est pas mal; mais peu à l'échelle de ce que peut rapporter un seul film comme "bienvenue chez les cht'is" qui à lui seul, a rapporté plus de 150 millions d'euros..

Avez vous lu l'article de la CST ??? Pour vous Novembre 2010 c'est si ancien que cela ?

A part me citer des personnes qui tentent de vendre leur sauce (et c'est légitime de leur part), vous ne proposez rien.

 

ben moi j'en fabrique assez régulièrement et le ratio est environ de l'ordre du gigas la minute. De toute façon, ca n'est qu'un détail car il est vrai que notre époque ou le moindre disque dur fait 500 gigas, pinailler entre 90 et 150 gigas, c'est vraiment pas le plus important

il est vrai aussi que je me fais de temps en temps taper sur les doigts par certains prestataires qui nous sortent tout un tas de bêtises pour justifier des tarifs de création de dcp hors de prix.

 

AHH Vous reconnaissez pour une fois : des prestations pour des dcp "hors de prix"..
On avance...
J'avais réussi déjà à vous "coincer" par ex sur votre msg 25 où vous me mettiez au défi de vous citer 1 seul film non dispo en DCP à ce jour pour enfin reconnaître votre bourde, un peu plus tard...
De là a reconnaître que la fin du 35mm en exploitation prendra au moins 10 ans, il n'y a plus qu'un petit effort à faire, vous pouvez y arriver tout seul, allez je vous laisse à vos atermoiements.
Courage!

Relisez mon précédent post SVP, j'y ai ajouté une ou deux précisions

 

A mon avis pour se rendre compte objectivement des réalités économiques, il faut être un gros Distributeur, et/ou Producteur ce qui semble ne pas être votre cas.

ça y est c'est cela.... J'ai trouvé vous faites dans le "Low-cost" c'est ça ?

HA HA ha ben c'est facile : moi aussi je peux dire : "j'ai envoyé bouler les fabricants de la marque au logo rouge en leur disant qu'ils n'étaient que de vulgaires fabriquants de lunettes, depuis, je propose ma solution à moi : TOURNEZ EN v5000 de S..Y, c'est moins cher chez moi ! " euhh je précise que je plaisante, je n'oserai pas tenir des propos comme vous le faites.

 

hors de prix par rapport à la technologie nécessaire pour faire un dcp depuis une vidéo oui. Ca ne remet pas en cause ce que j'ai dit plus haut.

Et c'est logique car on nous raconte pleins d'aneries (un peu comme les votres d'ailleurs) sur les difficultés, les changements d'espaces colorimétrique, les bugs etc

Le but est de se gaver au passage.

enfin bref, pas la peine de continuer ainsi et pour ce qui est du coté vindicatif, je pense que j'ai trouvé mon maitre

moi je ne viens pas ici pour coincer les gens sur leurs arguments mais pour débattre quand celà est possible (c'est à dire quand les gens on des arguments valables ce qui n'est pas votre cas). J'aurai ainsi pu vous faire remarquer que vous me parliez en début de poste d'un passage en numérique dans un délais de 15 ans et que, quelques messages plus bas, vous dites 2020. J'ai peut etre atteint mond degré d'incompétence mais je crois savoir encore compter que 2020 - 2011 (accordez moi que nous y sommes presque) ca ne fait pas 15 ans *

bonne soirée

 

ca va bcp faire rire michel d'apprendre que je fais dans le low cost

 

michel c'est qui ?

PS: j'ai dit 10 ou 15 ans
et j'ai aussi fait le parallèle avec votre ancienneté (vous avez dit 20 ans de métier et le numérique en France c'est 1999 donc 1999 + 20ans = 2019

Le low cost ça existe : 1- je ne sais pas ce que vous faites.
2- C'était une question.

 

Alors Michel c'est qui ??