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et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ?

Discussion dans 'Le café du Repaire' créé par Redo-20240923, 30 Septembre 2022.

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  1. Redo-20240923

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    Oui, le hourra (qui rectifiait un eureka en fait inapproprié) m'a après fait penser au hourra de l'armée russe qui ferme le discours inaugural de Vladimir Poutine du défilé du 9 mai (bientôt d'ailleurs :weird:).

    Oui aussi pour la musique en effet occidentale du groupe Two steps from hell mais le court date de 10 ans (2014) et partout, c'était déjà la mode du style Hans Zimmer pour faire sérieux et à la page.

    D'où d'ailleurs, ce besoin ressenti d'actualisation des exemples recherchés.

    Par contre, un litige en musicologie, l'Ave Maria entendu est attribué à l'italien Caccini mais revendiqué du compositeur russe Vassilov. Je ne suis pas compétent pour statuer.

    Certes, montage alterné mais la structure fut un temps décortiquée pour m'amuser (en apprenant) est bien la ternaire de Syd Field avec chacun des apports sur le fond de Blake Snyder que j'étudiais alors.

    Le final en est même virtuose si on creuse les propriétés de l'acte III. Surtout un joli souvenir d'apprentissage que je tenais donc à partager dans la présente discussion sur les idées et quoi en faire avec son matos.

    La pub sur Alzheimer prouve qu'on a fait mieux et plus depuis et comme disait Jean-Pierre Melville "c'est peut-être ringard mais çà fonctionne" :o

    Toujours et sans cesse se former pour éviter cet aspect trop ringard. Structure de Syd Field (consultant) des années 70 revue par Blake Snyder (scénariste) dans les années 2000.
     
  2. homero

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    Oui, lorsque la fillette ramasse la canne , l'espoir en l' humanité revient alors.
     
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  3. Redo-20240923

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    A surveiller aussi le regard devenu intérieur du vieil homme et qu'il tourne plus bas, vers plus petit à ce point fort de la structure à l'acte III.

    L'auteur a vraiment tout compris dont ce point fort de la structure ! Sans entrer dans les détails techniques mieux expliqués par d'autres, c'est un moment où le personnage ne doit plus que s'adresser à son cœur (en écho à un précédent point fort pour engager l'acte II mais stop, pas de prise de tête au su de mes difficultés en pédagogie).

    Oui je sais, je ne parle que de structure mais c'est sur elle que s'appuie la concentration quand on intègre les outils et fonctions dramatiques en jeu à chaque emplacement (ou chaque boite en carton).

    Info perso, je dois encore revoir le mid-point de mon petit scénar mais chaque chose en son temps, ce déménagement tout seul m'a mis à genoux mais la qualité des observations se confirme revenue :cool:
     
  4. AQW333

    So

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    C'est marrant, j'ai l'impression de reconnaitre le vieux : tu as surement dû nous montrer cette vidéo.

    Un peu comme homero, il y a une standardisation des émotions : même si là, on sent bien qu'on n'est pas dans le Texas, que l'ensemble est assez typé slavitude, instinctivement on le remarque bien quand même.

    Après, c'est propre et c'était mieux avant, où on semblait avoir plus de temps, on était plus sincère... Et un peu comme dans la pub Herta « Les choses simples » , nos souvenirs ont un besoin impérieux d'être le plus souvent beaux : c'est une exigence naturelle de la vie.


    L'important, c'est que ces souvenirs/ émotions déclenchés, ajoutent un brin de kérosène dans le "feu de camp du boyscout" qui pourrait s'éteindre...: bon mais pour les saucisses, le kérosène, c'est moyen.:rolleyes:

    La pub, c'est aussi beaucoup d'idées : même registre, les émotions d'abord.
     
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  5. Redo-20240923

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    Oui, court certainement partagé lorsque découvert il y a 10 ans et après l'avoir décortiqué (mais pas encore repairenaute à l'époque).

    A préciser que lorsque je dis reprendre des recherches, ce sont surtout les algorithmes de Youtube qui me proposent des perles de bon matin et parfois en soirée. Je n'avais pas trouvé ce court tout seul.

    Quant à l'acteur paraît-il assez connu en Russie, il m'a plutôt rappelé un sacré pédigré (italo) français :

    Toujours mes déductions persos sur les sources et les émotions à puiser de la mémoire :o
     
  6. ipso-20240902

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    idem ;)
    Les interprétations masculines sont très réussies :approb:.
    Pas fan de la structure en flashback alternés avec le temps présent :suspicious:.
    Je kiffe l'idée du dernier plan du film :good:.

    On s'en fout :rolleyes:.

    Et surtout, on ne reste pas caché dans un bois pendant aussi longtemps, car il s'agit d'un bois et pas d'une forêt si le lieu de la vraie histoire est bien celui-là.

    Etonnant comme l'association de ces trois mots, dans cet ordre, suscite le rejet alors que chacun de ces trois mots évoque séparément quelque chose de bien : moi j'aime mon pays, ma famille et mon travail :laugh:.

    Oui, sans mémoire pas d'émotion, pas d'histoire, pas de cinéma, pas de vie.

    upload_2024-5-7_20-21-38.jpeg
     
    #1281 ipso-20240902, 7 Mai 2024
    Dernière édition par un modérateur: 7 Mai 2024
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  7. bcauchy

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    Peut être une question de génération et de vécu !
     
  8. bcauchy

    So

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    Ce soir ARTE
    Créée en 1824, la Symphonie n°9 de Beethoven fête en 2024 son bicentenaire. :good:
    Chef : Carmen Traudes
     
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  9. ipso-20240902

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    L'Histoire sert surtout à construire le présent qui vient : objectif, ne plus refaire les erreurs du passé :o
     
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  10. nestaphe

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    Désolé, REDoré...

    Trop d'émotion ? Mais quelles émotions ? Et qu'il soit sans dialogue, c'est justement ce qui m'inquiète direct avant de lancer la lecture !

    Les images enchainées comme tel sur fond de violonade ininterrompue sont d'un cliché et d'une vacuité dont je pense qu'il vaudrait mieux rire que d'essayer de pleurer, mais c'est que dans les faits, j'en ai carrément les glandes, et dans tous les sens du terme !

    Déjà, une musique sur des images, n'importe quelle type musique, ne prend sens que si elle intervient au bon moment et sait se taire à temps. Ensuite, il ne fait aucun doute que cette manière de procéder est là, et très probablement motivée, pour minimiser ou même s'astreindre de presque tout ce qui est subtile à gérer dans une fiction : la comédie, la continuité, la finesse ou la singularité de l'ambiance sonore (et plus "bassement" techniquement, la qualité de la prise de son, si contraignante, hein ?...), l'intrigue qui existe aussi à travers tout ce qui précède, etc.

    Même dans un clip musical, évidemment, un clip bien construit, le réalisateur va orienter son inventivité pour éviter de tomber là-dedans, où on moins va chercher à trouver des points de rupture pour le rendre attrayant, et surtout moins con.

    Je ne comprends absolument pas qu'on puisse avoir la volonté d'utiliser un ou des procédés qui amputent l'essentiel des subtilités (et complexités) d'une forme de création, de chercher à se soustraire aux difficultés et dangers inhérents au processus de création lui-même... Que reste-t-il à prendre de plaisir si ce n'est de rêver une finalité et son impact social ? La frime !

    Désolé REDoré, ce machin-là me semble être un très mauvais exemple pour un sujet qui tourne autour de la construction dramaturgique et de l'approche dramatique, ce film est pour moi dramatique d'une autre manière que cela : il fait bien trop de cirque pour ce qu'il sait échafauder !
     
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  11. ipso-20240902

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    Pour moi ce court pose une question : à quoi bon se battre ?
    Un court, une question (à la place de la pub à la tv par exemple :idea:).
     
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  12. Redo-20240923

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    Et oui nestaphe, tu as raison et j'ai retrouvé çà de souvenirs de 10 ans. Cà a pris un coup de vieux.

    Mais l'intérêt technique reste comment amener et créer la surprise de la petite fille avec la canne en recourant à un espace temporel de la dimension de l'humanité et donc via l'idée des générations.

    Oui, ce n'est plus la réalisation même et déjà dépassée que j'approuve (chacun et chacune son style et son esthétisme) mais la construction du récit beaucoup plus précise et rigoureuse qu'il n'y paraît quand on ne voit le film qu'en spectateur ou trice.

    La remarque de @homero sur l'image historique a même nécessité que je m'y penche à nouveau justement sur l'apport de la mémoire car image pas placée à n'importe quel emplacement de la structure. Là où çà "pivote" (sur ce que j'appelle "l'axe du monde") ;)

    Attention, quand je décide de décortiquer, c'est que j'ai repéré ou ressenti de quoi et parce que je veux l'apprendre et le creuser moi aussi pour plus de rigueur.

    Pour le trop d'émotions, je parlais en général des exemples que je propose toujours orientés émotions et jamais comédie (ou encore moins films d'horreur).

    D'ailleurs rappel, accès libre à tous et toutes pour poster ses propres découvertes de bonnes idées.
     
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  13. Redo-20240923

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    Ah oui, merci (et bonsoir) @ipsonelo, j'oubliais le principal ! Exemple surtout pour confirmer qu'on écrit un court comme un long (même si le public ne s'en rend pas compte).
     
  14. Redo-20240923

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    Coucou @nestaphe, j'en rajoute une couche puisque constaté que tu es donc parti d'un à priori voire d'un préjugé que je partage aussi mais qui t'a gâché le plaisir et fait sous estimer le récit.

    Je me souviens du premier court-métrage que j'avais écrit (donc pas encore du même niveau technique) mais dont j'avais quand-même refusé l'exploitation à cause de la réalisation totalement à côté de la plaque.

    Plus grave que pour ce court qui respire quand-même la bonne cohésion d'une jeune équipe aussi soutenue par un acteur qui serait très populaire en Russie.

    D'ailleurs, sur le tournage, vrai conflit entre l'acteur et le réalisateur alors qu'il avait tenu au rôle que sur la lecture du scénario que je lui avais envoyé.

    L'acteur (du giron de nos second rôles assez connus dont autour de Jean Gabin) n'adressait plus la parole qu'à moi. Il m'offrait le café le matin et m'invitait même au resto le midi pour nous isoler et ne discuter qu'entre nous. Il me demandait (et merci, aussi pour me former en douce) ce que moi, j'attendais de lui sur telle ou telle scène à tourner le jour même.

    Pour ce court russe, j'ai donc su faire abstraction des défauts de réalisation et ne me suis donc concentré que sur le récit et sa construction (j'abordais alors le manuel de Blake Snyder). Peut-être encore qu'instinctivement mais l'auteur du scénar l'a donc bien développé comme un long mais que sur 7'44.

    Soupçon d'ailleurs : pourquoi pas une observation dans la rue où seule une petite fille serait venue ramasser la canne d'un vieil homme qui viendrait d'être bousculé par de jeunes impolis ?

    Même si ce n'est pas le cas, ce court demeure aussi un exemple même que si théorique mais à toujours défendre, de partir d'une observation pouvant suggérer l'idée d'une fin sur laquelle partir.

    + une émotion ne sert pas toujours qu'à faire rire ou pleurer même comme un enfant, çà ne peut-être que le bienfait d'un petit frisson venu d'un fin fond mystérieux de sa mémoire.
     
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  15. ipso-20240902

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    Moi hier en sortant du lycée. Costume de travail, marche rapide.
    Je croise une maman enceinte avec sa petite fille sur une trottinette.
    La petite fille me montre du doigt : "papa !".

    Mais je ne suis pas son papa : :laugh::laugh:
     
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