et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ?

Mais pas un reproche perso @Charlie, que profité de l'avoir vu pour parler de l'immense importance de filmer les regards le plus naturellement possible, pour y revenir pour tout le monde.

T'inquiètes, j'adore ton plan mais on peut en effet m'appeler "antiralenti" que si cru que çà rend plus beau et pas quand nécessité technique comme ce fût donc ton cas.

(Prochain post, un point pour ceux et celles qui ne veulent pas se taper les 38 pages pour trouver une idée. Un sommaire à proposer).

 

Donc, pour ceux et celles qui ne peuvent pas se taper les 38 pages de la discussion pour trouver une idée ou être aidé(e) en ce sens, synthèse :

Si idée bien exprimée par instinct en filmant :

En soirée par @bcauchy (justement concentré, pas inspiré) :

En balade et dument concentré (pas inspiré) comme @Charlie :


Vidéos exprimant instinctivement les émotions sur le moment

Mais si on préfère scénariser pour exprimer efficacement de l'émotion sur une idée précise :

Dans ce dernier cas, se rendre :
- p.25 post #369 sur par où commencer.
- p.18 post #257 pour une vidéo de 47mn traitant des bases initiales jungiennes pour la 1ère fois synthétisées (avec Frédéric Lenoir) donc, chance inouïe pour espérer enrichir son idée.
- p.30 post #440 sur le modèle d'Alain Corneau de restituer le parcours d'une idée jusqu'à la vivre et l'exprimer.

La suite se trouve dans la rubrique Faire mon film, Meilleure leçon de scénario, 9 pages pas insurmontables mais impératif d'abord en intro, vidéo de Paul Schrader qui lui aussi propose de comment trouver puis partir d'une idée.

La discussion est partie de ce film La cour, en intégral sur la chaîne YT arte cinéma qui perso, m'avait interpellé sur les moyens accordés au contenu qu'avec les moyens techniques les mieux adaptés, ainsi qu'au vu déjà de sa bande annonce :


EDIT : précisions me concernant : pas spécialiste du genre de la comédie ou horreur, formé sur les techniques américaines de structure pour transmettre les émotions les plus riches à un public. Parlé beaucoup des enfants car la base la plus universelle dans ce domaine (Le Magicien d'Oz, E.T., Little boy, Quelques minutes après minuit, La cour) même si Hollywood peut s'en servir que pour attirer les entrées.
Ces techniques restent valables sur toute idée d'histoire enrichissante pour le public (Titanic, Gladiator, The impossible, etc ... ).
Le clip O holy night démontre qu'elles peuvent aussi s'intégrer sur des formats courts.

 

Suite du post précédent de synthèse (vérifié et rectifié) :
On va suggérer et non affirmer que lorsqu'on se laisse guider par l'instinct, la mémoire collective et la mémoire individuelle travaillent de concert en arrière-plan mais qu'on peut aussi préférer la puiser soi-même dans ces 2 mémoires.

On peut être heureux que de ne la percevoir comme d'avoir été à sa rencontre.

"On écrit de l'intérieur vers l'extérieur" dit Robert McKee et même en ne se fiant qu'à son instinct.

Sur les posts suivants p.30 #440 et sur l'exigence de Paul Schrader à ses candidats stagiaires, je me suis "sacrifié" pour l'exemple pour vous démontrer qu'en surmontant ses peurs, ses doutes, ses pudeurs, le chemin n'est pas si difficile et douloureux de partir à la rencontre d'une idée en toute confiance avec le plaisir sinon la joie de vous rencontrer ensemble, vous et l'idée et la traduire ainsi dans un maximum de dimensions qu'il sera possible.

Jean-Pierre Marielle, l'acteur (pas le Marin Marais d'Alain Corneau), a déclaré à un journalise suisse que quand un réalisateur débute par un succès, il ne court ensuite que pour en refaire un autre et souvent moins bon, alors que dans la difficulté d'en réussir un, il peut finir un jour sur un chef-d'oeuvre qui sera tout autant le seul et unique de sa carrière.

L'instinct est habité d'une voix intérieure qui comme Jean-Pierre Marielle en Marin Marais, se mettra à chanter avec une vraie et douce harmonie pour sortir du silence et enfin vous porter vers votre plus belle idée.

N'attendez pas ce moment, préparez le en persévérant à votre rythme mais avec conviction.

Ne vous inquiétez plus, l'idée est déjà là ... même si vous auriez l'envie d'en rire ...

 

c'est aussi plus rapide.

 

Nullement de la psychanalyse, encore une erreur

Remède au regard de la synthèse #572 suivie de #573 et que si voulu se fier au sommaire proposé, revenir p.18 #260 et s'apprendre à se concentrer dans le calme et la sérénité en ayant oublié son boxon du vestiaire pour qu'avec toujours sa confiance en soi, enfin savoir écouter et voir en une ou plusieurs fois et sans ne plus jamais en appeler à la souffrance d'une analyse intellectuelle ...

Qu'en laissant tout simplement son inconscient collectif ET individuel tout enregistrer pour vous en arrière-plan pour quand vous réjouir d'enfin vous rencontrez vous et votre idée en un éclair non sans une sensation de vertige à faillir vous faire tomber à la renverse pour vous forcer à vous redresser et vous tenir droit et debout comme sur un axe du monde.

Votre instinct saura vous le déchiffrer lors de vos prochaines observations intuitives et concentrées pour vous permettre la concentration de décomposer et mieux exprimer l'idée lumineuse si vertigineusement apparue dans toute une douceur déconcertante

En attendant de vous y préparer, vous pouvez en effet déjà vous formez et vous entrainer sur une idée de comédie avec et entre des personnages portant ces archétypes jungiens :

Ils resteront à dispo plus tard lors d'un cri ou d'un rugissement vécu comme un brutal coup de tonnerre venant du coeur quand enfin vous rencontrerez une idée et entendrez l'appel de sa mission salvatrice de rires aux éclats ou de chaudes larmes ou même aussi de rires aux larmes.

Attention, le même préalable essentiel sur encore exemple perso stimulus :

Animus papa rugissant et prêt à bondir sur sa proie mais ayant finalement su apprendre d'anima maman aimante et protectrice :

(Oui que çà m'arrive de menacer de manger tout cru et de finir sur un bibi et même rugir qu'en moi-m'aime, à chaque vue d'un prince des princes des étoiles pour obtenir sur son regard lumineux, un adorable sourire cataclysmique, comme si encore léché par l'éclair du surhumain ).

 

Augmenté les doses

 

En acceptant de perdre la consigne du vestiaire et ne vivre qu'au présent puisque rappel, c'est l'idée qui nous trouve et que par surprise (souvent foudroyante).

Pourquoi d'ailleurs ne pas déjà noter une idée saugrenue mais d'envergure cosmique : "Rien n'est jamais trop tard" ?

Une prochaine observation intuitive (donc active) voire une prochaine synchronicité pourrait venir la formuler autrement et bien cette fois-ci avec un verbe d'action !

Quoi caisse ? Cà ne marche pas avec "Rien ne meurt jamais" ?

... Mais depuis quand le verbe "mourir" n'est pas un verbe d'action vu qu'on a même son opposé ?

(Pour qu'un maxi puisse suivre : #572 et #573)

Sinon comme cri façon Reggiani, y a aussi celui du barbare dans Le cercle des poètes disparus (et toujours recherchés ).

edit : Oui que les archétypes jungiens #576 sont laissés au masculin mais parce que mathématiquement, animus et anima font + et + = + (me surveille les sourcils froncés ma prof de math). Choisir pour chacun le bon + !

 

je sias pas ce qu'il prend REDoré, mais c'est fort...

 

Sacrément raison ta copine .." le coup de pied au cul " tout court, c'est excellent pour avancer
la devise de mon environnement lors de mon enfance ....
Excellente formation pour progresser dans la vie.
Avec ou sans des "re ou pas DOré" sur tranche

 

En aucun cas thérapeutique le rail mais bon, je vous ai laissé Serge Reggiani #573 pour déjà tenter de vous provoquer ce 1e joli petit éclair pour mieux entendre la mission que l'idée vous confiera auprès de votre cher public et au libre choix, en le faisant rire ou pleurer ou les deux mais comme des enfants méritants.

Pas du brutal, que la force de l'écho du cri que l'idée vous renvoie de son appel en venant le moment venu à votre rencontre au coin du bois où vous avez construit votre cabane pour lui adresser votre demande

Sinon, Michaël Lonsdale p.18 #260, qu'une fois tranquille, calme et serein car débarrassé de la souffrance intellectuelle freudienne complexive pour que l'instinct, votre inconscient collectif et individuel, puisse vous préparer à sa visite avant chaque départ en observations ou écoutes intuitives ou alors seulement devenues disponibles à tout instant, à l'insu de votre plein gré.

Déjà un petit retour #572 sans se rebeller mais qu'en sachant profiter d'un précieux moment présent nécessaire pour partir avec le seul poids du paquetage requis, sur le chemin à la rencontre d'une idée déjà gentiment tapie dans un coin comme l'enfant de la pochette de Serge Reggiani #573.

Jamais réfractaire à une explication de texte. A côté, minime par rapport au petit effort requis

Tout çà pour se dire une fois l'idée rencontrée : "Que çà a passé vite, c'était long et chiant au début mais je regrette ... tellement que c'était bien de finalement découvrir mon si immense univers imaginaire ... Heureusement que quand on vit au présent, il n'est jamais trop tôt, ni trop tard ".

"Ha mais j'entends encore quelqu'un qui se moque ? Mouais bof, je crois bien que c'était pareil quand je découvrais le temps et je découvrais l'amour car déjà avec CET amour".

"Didon, "sauves nous", c'est pas déjà un peu dans le verbe d'action de l'idée notée et à énoncer clairement ?"

 

"Et alors, franchement une put... de sacrée libido de tout le temps vouloir se faire lécher par un éclair du surhumain "