EDIUS - conversion DVD ?

Re: Encoder en VBR et CBR

Pour la colorimetrie tu m'enonce le principe harchi connu de l'encodage en Mpeg et sur le fait que le Mpeg utilise les caracteristiques de la chrominance et de la luminance d'une image sur l'oeil humain pour optimiser la compression.

Je pointais le doigt que le fait de faire du CBR ou VBR n'intervenait pas dans le fait d'avoir une colorimetrie differente (sauf bug de l'encodeur) .

Ensuite tu peux mettre toutes les explications en anglais que tu veux, il suffit d'analyser un algo ou de checker les MV sur qqs frames pour se rendre compte de la superiorité du VBR.

Mais il peut etre fort possible que l'algo du VBR soit mal implementé (mal optimisé) dans l'encodeur car bcp plus complexe. Le MPEG consortium à la base a seulement releasé les sources pour un encodage CBR sur lequel se sont appuyés bcp d'encodeur au début.

Tu aurais tord de croire ca. Comme tout encodeur d'ailleurs.

Et la tu prend un encodeur particulier, je parle en general sur le VBR/CBR.

L'important c'est de croire en ce que l'on fait.

ompg.

 

Jusqu'à présent, j'encode le MPG2 au départ de Procoder Express en hardware (6.500) et en 2 fichiers m2v+wav

Ensuite j'utilise Encore DVD pour créer le DVD. Assez long pour apprendre (DVD workshop semble plus simple ainsi que "movie factory" ou "SonicmyDVD") mais les possibilités de Encore sont très complètes.

 

Tu es ....vraiment.....sérieux .....?????

C'est pas vrai !!! Bony !!!
Tu n'as vraiment? jamais gravé " UN DVD " ...je rêve !!! tu te moques??
Capt'ain vas te répondre et je connais son choix que je ne peut pas tester "because" j'ai pas XP .
" Pour moi " j'ai utilisé DVDit, DVDlab, DVDWS, j'aime pas le premier, le deuxiéme est bon mais c'est une usine à gaz, enfin Workshop2 est facile, très intuitif, ultra complet et tu peux faire tout ce que tu veux avec et en " Français " s'il te plait !!Par contre il n'est pas... donné.!! tu l'achétes sur le site de Ulead France.

Bertrand

 

C'est vrai que Adobe Encore nécessite XP .... et les bons drivers de la carte graphique. De plus "rentrer" dans ce programme (anglais) nécessite du temps et la lecture de plusieurs tutorials pour bien comprendre ce que l'on fait...

Je donne un cours d'introduction sur Encore, et au départ de fichier déjà pré-encodé, il faut minimum 3 heures pour un débutant...

SonicmyDVD est très simple mais ne permet pas facilement les corrections suite au changement du MPG2...

Pour un débutant : Movie Factory 2 (Ulead).

...et puis Worshop2 si on aime l'approche très conviviale.

Par contre si on veut maîtriser chaque élément... Encore DVD.

 

aie je suis sous W2000 pro ... le seul que je n'ai pas essayé c'est Encore .... qui a l'air bien selon tes dires ....

j'ai tout essayé je crois y compris Scenarist ( un truc à 20 000 $ parait-il .... utilisé par les majors pour l'industrie Dvd ) qui est ultra hard à manipuler ... Le mieux pour demarrer est sans conteste Ulead Workshop II : une vraie petite merveille d'ergonomie, de simplicité et de productivité... On aimerait plus de menus tout faits car on peut aisément les mettre à son goût et ça fait gagner un temps fou mais ceux qui sont dans la version 2 récente sont déja très bien.

Et ce soft n'est pas cher compte tenu de ce qu'il peut faire si on le compare à la concurrence .... il m' été recommandé au départ par François éminent intervenant sur Le Repaire http://www.repaire.net/navig/cv/fh/index.php ( j'aime bien rendre à César .... )

 

heu oui à Toulouse toujours le même François Houssard http://www.repaire.net/navig/cv/fh/index.php pour une formation ponctuelle. Ceci dit il faut pouvoir descendre vers le sud ... Mais plus sympa c'est difficile ...

 

Workshop 2 me paraît alors un très bon choix.

Convivialité, français et beaucoup de possibilité.... et puis très répendu donc beaucoup d'utilisateurs qui peuvent aider...

 

Vous êtes tous sympas , merçi !

Bertrand ne te mocque pas , tu sais dans la vie on apprend chacque jours ...
Tu sais quoi le DVD je m' y suis jamais essayé , franchement et je n' ai pas honte de le dire , mais il faut bien que je m' y mette car la demande se fait de plus en plus préssante de la part de mes clients !
Je viens par ailleurs de faire l' acquisition d' un lot des DVD +RW de marque Traxdata pour commencer les premiers essais et je ne manquerai pas de suivre vos conseils .
Donc c' est Ulead DVD worshop 2.0 que je vais acquerir dès la semaine prochaine eventuellement faire mes premiers essai sinon ca serait après les vacances !

Encore un grand merçi à tous !

Captain , si je me casse les dents je sais ou tocquer ...

 

Formation .... ??

Bonjour,

Bony DWS est tellement simple que tu n'as pas besoin de formation.
Tu tatonnes sur toutes les options "pour voire" puis quand tu arrives sur l'onglet "terminer" tu " joues " ta réalisation avant de graver quoi que ce soit. Si tu n'es pas satisfait, tu fais marche arriére et modifies chacun de tes choix. Et ainsi de suite .
François à réalisé des tutoriaux disponible sur le Repaire rubrique "Authoring/Workshop, c'est pas l'adresse indiquée par Hugues Lemoîne mais celle là:http://www.repaire.net/forums/showthread.php?s=&threadid=55380
De plus comme l'exprime Haddoc

On ne peut pas imaginer plus conviviale.
Bertrand

 

Merçi encore Bertrand !

 

Rebonsoir Bertrand !

Je viens de suivre le lien que tu viens de me donner , le tutorial est tellement bien fait qu' à la premiere lecture j' ai compris pas mal des trucs .
Et ce DWS est d' une simplicité enfantine , je me frotte déjà les mains , dès la semaine prochaine je vais faire les premiers tentatives ...
Merçi infiniment !

 

UN VBR .....n'est qu'une succession de ....CBR .... ?!!!

Bonjour om"pas"g !!

La littérature sur ce sujet est majoritairement en Anglais , et c'est tellement bien synthétisé qu'il n'y à rien à ajouter.

Ben, la complexité des "algo" n'est pas du à l'encodage proprement dit mais.... à la longue et complexe partie du programme pour l'analyse des séquences à encoder.
Une fois analysé et les paramétres de chaque séquences déterminés, le sous programme d'encodage CBR !!!! est appellé ET ...
l'encodage de la vidéo VBR n'est qu'une suite d'encodages CBR élémentaires à des débits différents pour chacune des séquences découpées.....!!!!!
" Ceci .... explique .... cela ... !!!

Exact, dans ce test il n y a que les encodeur mpeg de Canopus qui sont mis en oeuvre : Procoder Express/lite, Procoder PRO, Procodeur Hardware de la Storm2 avec Eduis et Storm Edit .
Leur paramétrage est assez simple.

Vu la réputation de Canopus en particulier avec son encodeur pro ( on demeure quand même dans un registre d'encodeurs amateur haut de gamme, mais ils sont comparables entre eux ) .

Et puis ... il y a ce que l'on voit sur le téléviseur.. et surtout que l'on encode en CBR 9000 versus du VBR 6000/9000
Evident qu'un CBR 6000 sera inférieure.

Dans le post ci-aprés un commentaire simpliste mais détaillé.

Bertrand

 

Pour .. ceux .. qui on du ... Courage!!!

"Petit" développement !!!

DE LA COMPLEXITÉ DU CODE SOURCE DES ENCODEURS VBR

On commence par essayer de faire simple :

Les techniques de compression VBR et CBR sont utilisées depuis très longtemps d’abords en transmission d’un signal « radio » puis en enregistrement « Audio » et enfin en compression « Vidéo ».
L’objectif à chaque fois est de gagner « de la place » en bande passante ( transmission) en taille de fichiers ( Audio et Vidéo )

La technique CBR ( la plus simple et la plus ancienne ) ne donne pas de bons résultats de qualité en bas débits et occupe trop de place en haut débit. Or et surtout la bande passante en transmission coûte cher ou est tout simplement impossible compte tenu de la largeur de bande autorisée.

On a donc trouvé un palliatif astucieux mais complexe en terme d’algorithme de calcul, "faire varier le débit" en fonction de la complexité du signal à encoder.

Toujours « simpliste » mais parlant comme exemple : pour les vidéos, quand les séquences sont lentes c'est-à-dire peu de changement entre les images successives on encode ‘comme si’ on filme à 4 à 5 images par secondes ; les séquences sont normales : 24 images par secondes ; une voiture défile à pleine vitesse, on passe à 96 images par seconde. En pellicule classique on se représente bien les différentes longueurs consommées pour chacune de ces séquences.

La difficulté principale est de développer « en plus » du système d’encodage à un débit fixé ( l’ancien CBR ) un logiciel d’analyse des séquences afin de déterminer leur nature en terme de variabilité des images et ensuite de fixer pour chacune de ces « n » séquences le débit d’encodages correspondant. L’encodage VBR n’est donc qu’une suite d’encodages élémentaires CBR de débits différents sur des plans de longueurs différentes.
On imagine bien la complexité des sources des encodeurs VBR / CBR dépendant de la partie du programme d’analyse plus ou moins « profonde » des séquences à encoder.

Plus traditionnel :

En vidéo il n’y a qu’un standard de compression, le MPEG-2 MP@ML (4.2.0) en PAL comme en NTSC. Mais il existe deux méthodes d’encodage : à débit constant et à débit variable.
L’encodage à débit constant, appelé aussi CBR pour Constant Bit Rate. Il se fait en une seule passe, c’est-à-dire en temps réel. Pour cette raison, le débit doit être adapté à la finesse des détails contenus dans les images et la rapidité des mouvements. C’est ce choix qui détermine la qualité de restitution de la vidéo. Un débit de 7 Mbits/sec. semble, après expertise, être la valeur minimum à retenir pour ce type d’encodage si l’on veut préserver la qualité. Il ne faut en aucun cas descendre au-dessous de 4 Mbits/sec., qui est la valeur plancher de la télévision numérique.
L’encodage à débit variable, ou VBR pour Variable Bit Rate, est surtout utilisé pour les longues vidéos car la partie encodé de la sorte occupe une place d’environ 16% moindre que s’il l’avait été, à qualité identique, en CBR. C’est un encodage adaptatif. Le débit est ajusté continuellement en fonction de la complexité des images et de la rapidité des mouvements présents dans chaque séquence. L’encodage se fait en deux passes.
Dans un premier temps, le programme est analysé par l’encodeur qui, via les valeurs de time code, repère les différentes séquences du programme et adapte le débit à la complexité de leur contenu. Ainsi, un débit de 2 Mbits/sec. peut suffire pour une séquence composée d’images simples et ne comportant pas de mouvements importants. Dans le cas inverse, cette valeur peut augmenter jusqu’à environ 9 Mbits/sec.
Si les résultats ne sont pas satisfaisants, ces débits sont modifiés par le logiciel s’il dispose de plusieurs passes . De même, lorsque le passage d’un plan à l’autre pose problème, l’image de début de séquence pouvant être une image prédictive (P) ou bidirectionnelle (B), le logiciel a la possibilité de forcer l’encodeur à la transformer en une image de type intratrame (I). La deuxième passe consiste alors à procéder à l’encodage final.
Les logiciels récents permettent de procéder automatiquement à l’encodage VBR à partir d’un seuil de qualité prédéfini. Le nombre de passes peut alors être beaucoup plus élevé car chaque image ou séquence posant problème est reprise et analysée de nouveau, jusqu’à obtenir le résultat qualitatif prédéterminé.
Le débit moyen en VBR doit se situer aux alentours de 6 Mbits/sec .

Pour compliquer encore le jeux :

il existe au moins cinq principales variantes du CBR : et c'est plus simple en Anglais ... sorry !!!

There are four variables you can add to any of the three main VBR styles: you can ask it to keep a minimum, maximum or average bit rate, or you can ask it to keep to a given Q level. All of the modes above imply at least one of these variables. Common combinations are:
1. Simple 1-pass VBR based on average bit rate only.
2. 1-pass VBR with minimum and maximum bit rate caps. This allows for some variances, but it will not allow the bit rate to stray too far.
3. 2-pass VBR with minimum and maximum. Unlike the previous mode, the min and max aren't just caps, they're used to modify the encoder's goal-seeking algorithm: the encoder tries to keep to an average of the two limits, so that it never approaches the limits unless it's absolutely necessary. A 1-pass min/max encoder will sometimes blindly bump up against the limits repeatedly, forcing it to sacrifice quality or use extra bits to force the stream to comply with the user's stated goals.
4. 2-pass VBR with min, max and a fixed Q level. This asks the encoder to try and stick to the given Q level, but when it hits either the upper or lower limits, to adjust the Q level temporarily to stay within bounds. This is useful with things like DVD encoding: the spec says you have to stay over 2 Mbit/s but under 9.8 Mbit/s. This lets you come close to a pure CQ mode without the danger of creating an out-of-spec output stream.
5. Simple CQ mode: the output bit rate is totally unpredictable, but the quality level will stay constant throughout the video.

Conclusion

Ceci justifie la sophistication des programmes d’encodage VBR associée à la lourde partie d’analyse, un fois définie les paramètres de chaque séquences le sous programme d’encodage CBR est appelé pour réalisé celui-ci au débit retenu pour la séquence.
Ouf !!!! C'est fini ....
Bertrand

 

Si j'ai bien compris, l'idéal est de demander un qualité proche du maximum CQ mais en plafonnant le VBR aux environs des 8000 pour permettre à tous les lecteurs d'avaler et décoder les datas et laisser le BR diminuer jusqu'à 4000 si l'image à encoder ne nécessite pas plus (texte blanc sur fond noir).

c-à-d, l'option 4 en modifiant les minis/maxi, qui me paraissent un peu optimistes (il faut déjà minimum 2500 pour encoder un SVCD qui a une taille réduite....).

Is this correct Bertrand ?

 

Re: Pour .. ceux .. qui on du ... Courage!!!

Heu faudrait voir à arréter les herbes folles là ..... tu nous annonce les 5 variantes du CBR et tu fais suivre par une longue tirade sur ... le VBR !!! Et en anglais .... :lol: