[VotreAvis] Ecoles suisses: La HEAD , L'ECAL ?

Bonjour,

Étudiante en phase de réorientation, je m’intéressais aux écoles d'art de Lausanne, L'ECAL, et Genève, La HEAD. Elles proposent toutes deux un bachelor dans le Cinéma très intéréssant, et des prépas pour réussir le concours d'entrée de ceux-ci. Il est difficile de trouver des avis et commentaires sur ces deux écoles sur internet, c'est pourquoi je venais à vous:

- Ces deux écoles sont-elles bien reconnues, en France ou ailleurs, dans le monde de l'audiovisuel?

- certains d'entre-vous ont-ils tenté ces écoles? Réussi leurs concours? pourriez-vous me dire ce que vous en avez pensé, et quelles sont les exigences des concours?

merci pour ceux qui prendront le temps de me répondre

Bonne journée, joyeuses fêtes !

Romane

 

Déjà cela doit coûter cher, c'est des écoles privées et il y a en plus de l'écolage la vie quotidienne. Pourquoi aller au bord du Léman, tu as ratée Louis Lumière et/ou l'IDHEC, (ça changé de nom mais il ne me revient pas) Essaie l'Italie en plus cela te fera une langue et une culture de plus. En Belgique il y a aussi une école de cinéma qui est réputée.

 

Salut,
Non ça ne coûte rien, il y a bien des écoles publiques en Suisse ! ( a titre de 1000 euros par an contre au moins 5000 en privé ). Vivre sur place est cher, mais pour Genève, il y a la frontière. Après, je ne posais pas vraiment la question du prix, je sais ce que c'est...

Louis lumière et La femis sont super exigeantes, et bien plus demandées que les suisses. De plus, elles prennent sur concours à Bac+2, alors que la head et l'ecal prennent à n'importe quel niveau, et surtout en fonction de la motivation de l'élève et de son Portfolio.

C'est pourquoi on choix s'etait plutôt arrêté sur ce pays, ayant visité les Etablissements qui m'ont tout à fait satisfaite!

 

Donc il faut continuer à jouer la carte de la motivation car c'est une valeur sûre, je pense que l'école d'où on sort est grandement un critère français; ma fille après deux annéesde prépa scientifiques à Paris a raté Louis Lumière et elle est à l'IMAC à Mane la Vallée aujourd'hui. Vraiment ce qui compte c'est la motivation et le projet de vie et la fatalité. J'ai connu un vendeur à la FNAC Montparnasse qui avait fait Louis Lumière, c'est un des gars les plus tristes que j'ai connu