court-métrage : Corporate, mon amour

Bonjour nestaphe et merci,
Passionnés de cinéma, nous avons souhaité rendre hommage à quelques références cinématographiques au travers de son titre, ces dialogues, ces cadrages, sa mise en scène et son ratio. Pour ce dernier j'ai utilisé le 255 Vintage Cinémascope 4K et la LUT du film Drive.

Tout est en opposition comme laisse deviner son titre en référence à "Hiroshima, mon amour"

 

Bonjour batterie,

Dès l'enfance on est enfermés...
Après les études, on travaille dans des boîtes, des grandes ou petites.
On s'achète une caisse à savon pour se déplacer à fond la caisse.
On passe à la caisse pour payer nos achats.
On s'amuse en boîte et on se prend des caisses.
Puis arrive la fin avec "les boîtes à vieux" en attendant la dernière boite que je vous laisse deviner...

Librement inspiré de Pierre Rabhi

 

Et nous les photographes/vidéastes, on met la vie en boite !

 

Bonjour AQW33,

Je crois avoir compris le problème du flou à 1:12. Pour ce tournage j'ai utilisé deux GH5 avec des objectifs ciné focale fixe. Pour avoir des valeurs de plans différents, nous avons interchangé les objectifs avant les prises.
J'aurai dû me rapprocher du sujet avec le même objectif

 

Bonjour à tous et toutes,
Pour info, notre court-metrage sera diffusé au festival "Un écran dans les arbres" au mois d'août.

Pour plus d'info :
Festival Cinéma - Un Écran dans les Arbres à Meschers-sur-Gironde - FETE_ET_MANIFESTATION - Royan Atlantique

 

Bonjour à tous et toutes,
Je vous présente l'affiche du court-métrage, un grand merci à Yannick

 

Super dialogues, et bien joués (donc bonne direction d'acteurs aussi)!
Le seul détail qui attire l'oeil serait en effet la teinte des visages un peu forcée et qui change parfois légèrement entre plans, mais tout le reste est super surtout pour une seule journée de tournage!

 

Pas plutôt inspiré de ceci
" Petites boites "
Année : 1966
Auteurs compositeurs : Malvina Reynolds / Graeme Allwright

 

Génial !
Cela arrive parfois

Excellent !

 

Bonjour à toutes et toutes,

Merci Maxwell, Il y a eu de nombreux problèmes techniques pendant la journée de tournage, ce qui ne m'a pas laissé de temps pour diriger les acteurs. Je leur ai fait confiance
Concernant les teintes des visages je m'essaye à l’étalonnage avec Premiere... pas simple



Quelques news du court-métrage :
Jusqu'à présent, trois festivals nous ont choisis, dont un auquel nous avons participé "Un Écran dans les arbres" avec de gauche à droite :

Jean-Marc Weyland : scénariste et commmmmédien de "Corporate"
Jean-Luc Blanchet : Organisateur du festival
Gabriel Weyland : étudiant en audiovisuel et ingé son de "Corporate"
? : un ancien projectionniste
Alain Depardieu : Président du festival
Fabrice Sierra : votre humble réalisateur du court-métrage




Prochain défis, réaliser un court-métrage en hommage à Quentin Tarantino...

 

Bonjour à toutes et tous,

La classe
Voir le n° 25 SELECTION 2023 | Fifava

Festivalmenvotre,
Phab

 

(Ouf, au début, je croyais que c'était le classement final )

Mais non, que le programme et donc séance 5 à 15h

 

Excellent !
J'ai trouvé, dans la diction du "manager", des accents d'André Pousse.
Cette critique du franglais (ou plutôt de l'anglais) peut être élargie à bien d'autres sujets, les journaliste par exemple, ça fait branché et moderne et cela permet de se dissocier du vulgaire qui ne connait que le français.
Autrefois, on pouvait comprendre un mot que l'on ne connaissait pas en se basant sur sa racine, c'est terminé ! Tout nouveau concept est en anglais
Mais on se demande à quel niveau est tombée la langue française qui n'est plus capable d'inventer de nouveaux mots, voire simplement un mot et un adjectif.
Il est vrai que l'éducation nationale qui a supprimé les maths a d'autres soucis, bientôt, c'est le français qui sera supprimé !

 

Oui, des termes américano-anglais remplacent progressivement les mots français, même à l'école. Mais c'est le problème des langues vivantes en général : elles sont vivantes ! donc elles évoluent.
Il y a quelques siècles on faisait de la science en latin exclusivement, ce n'était pas par snobisme : les langues mortes ont l'énorme avantage d'être... mortes ; donc les mots, et surtout leurs sens, ne changent plus.