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Vendredi 28 novembre à Paris à 10h et 15h - Gratuit : Ateliers Formation Prise en main Canon C50
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Discussion in 'Festival permanent du Repaire' started by mrique, Sep 19, 2004.

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  1. nono44

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    Bon à mon tour :

    l'idée à la base est bonne !
    problème de raccord....

    attention !
    le mec rentre dans sa chambre avec un caleçon clair et se couche dans son lit avec un caleçon foncé (ou l'inverse)

    à la fin (mais là je sais pas si c'est pour dire que c'est pas le même jour) la fille passe de droite à gauche en gilet beige, puis elle est dans le magasin avec un t-shirt noir !

    gros soucis de son

    musique par rapport au son ambiant (ça fait bizarre, à la fin du morceau on retrouve le ronronnement du camescope :( )

    enfin attention au cadre, beaucoup de plans avec de l'air au dessus des têtes, surtout au début (bien sûr pas quand les personnages passe devant le mur :D )

    Donc avec une équipe plus complète et plus expérimenté ce serait mieux fini.

    dernier point :
    Il ne faut pas croire que le spectateur ne fait pas lui-même des liens de cause à effet : si on lui mache trop le travail, il s'ennuie. je m'explique :
    pas la peine de faire le lien avec effet (pareil les effets j'accroche pas !) entre le réel où il se fait des pâtes et l'image N&B ainsi que le couteau..
    l'info est redondante et inutile !

    on a compris (un peu à la Hitchcock ) que quand tu refais ou redis quelque chose..le spectateur fait lui-même le lien avec la scène précédente !

    Voilà, bonne continuation...
    c'est en forgeant qu'on devient forgeron !
     
  2. LABROT

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    A GILZ

    Bonsoir,

    même si vous vous êtes un peu forcé pour m'écrire "amicalement", je suis sensible à cette main tendue. Acceptez la mienne. Ma réaction s'explique par le ton ... péremptoire - vous le dites vous-même - dont usent certains modérateurs.
    Vous avez su - intelligemment - passer sur cette petite blessure d'amour-propre. Bravo.
    Sans rancune ?

    Cordialement

    LABROT (c'est mon nom, excusez-moi !)
     
  3. Gilz

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    Non, je ne me suis pas forcé pour écrire "amicalement".
    Et oui, sans rancune.

    Je ne pense pas avoir été plus péremptoire que tu l'as été, si tu m'autorises à te tutoyer, Labrot.

    Brandir les "3 règles du cinéma américain" (règles par ailleurs réfutées par des centaines de films produits aux Etats Unis, indépendants ou non) comme l'étendard de la vérité universelle est tout à fait péremptoire.
    D'autant plus que la forme du propos donne quelque peu l'impression d'une leçon.

    Peut-être s'agit-il d'une question de sémantique et qu'il fallait lire "rythme" ou "noeuds dramatiques" en lieu et place d'action ?

    Bref, si je suis plutôt d'accord sur le fond (rythme relativement lent), la forme de tes propos m'a déplu.

    Cordialement itou
     
  4. LABROT

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    Bonjour

    Si mon propos a paru abrupt, c'est une erreur de ma part. Erreur d'autant plus grave que je suis moi-même très sensible à la forme (peut-être à l'excès). Comme tu l'as bien compris, je ne suis pas un tenant de la seule action. Je prends plaisir, comme la plupart de mes contemporains, à voir les aventures de Indiana Jones (il se passe toujours quelque chose quelque part sur l'écran), mais il n'y a pas que le film d'aventure. J'aime beaucoup, entre autres et à l'opposé, Eric Rohmer ou le jeu de Michel Bouquet ; ce n'est pas le même genre d'émotion qui est recherché.
    Pour en revenir au film dont nous parlions, j'ai trouvé que l'auteur avait joué la carte de la répétition sans parvenir, pour ce qui me concerne, à m'émouvoir ou me faire penser autre chose que : "encore ?". D'ailleurs, j'attends la réponse de l'auteur lui-même, s'il juge utile de la donner.

    A bientôt et cordialement

    Xavier LABROT
     
  5. mrique

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    Bonjour a tous
    désolé d'avoir été si lent à répondre

    Labrot, je n'est ni l'envie ni les moyens ni la technique pour faire des films américains.
    Si on les appelle films américains c est parce que les américains sont bien plus fort que nous dans les fims américains.
    En ce qui concerne la lenteur et la répétitivité du film, nous avons voulu donner au spectateur une overdose d'ennui et d'inaction pour qu'il ressente le glauque de la vie du personnage et cela permet de trancher avec la rapidité de la scène d'action.

    Nono44, les erreurs sont encore plus nombreuse que tu ne l'imagine, outre les plan pas toujours cadrés les calecons qui changent de couleurs, on peut apercevoir des bouteilles de cola qui trainent dans le champ de vision et des eponges et des bouteilles de paic qui se balladent sur l'évier.
    Mais tu as raison je ferai plus gaffe la prochaine fois: pour le son je compte investir dans une perche, et pour les tremblements vu que le logiciel steady move est trop trop trop lent, je vais tenter de construire une steady expliquer dans les tutoriaux.

    a bientot

    mric
     
  6. LABROT

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    A l'auteur

    Bonsoir,
    merci d'avoir répondu ; c'est noté.
    Bon courage.

    A bientôt

    Xavier LABROT
     
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