module inscription newsletter haut de page forum mobile

Ateliers et Formations

authoring mac

Discussion dans 'Professionnels - entreprises' créé par coincoin, 11 Octobre 2002.

Tags:
  1. coincoin

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    102
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    juste pour rajouter un peu d'eau au moulin...

    comme tu le dis j-rozen, un DVD-R ne contient que 4,7 go de données. Lorsque je fais un DVD9, je sors 2 DLT pour pouvoir presser en double couche.

    par ailleurs, la différence entre DVD for authoring et DVD-R se situerai d'après ce qu'on m'a dit par un contrôle plus sévère des erreurs de piste (un peu comme sur un cd audio, tu peux toujours le graver à 24 ou 48 x, mais il ne pourra pas te servir de master pour un pressage en série).

    Je crois qu'il faut arrêter de mélanger des utilisation professionnelles avec des utilisations grand public ou semipro. Bien sûr il est toujours possible de rechercher des solutions alternatives économiques, mais lorsqu'une chaîne de fabrication est rodée, il est normal qu'on y regarde à 2 fois avant de changer. Je n'ai pas de lecteur DLT, mais je ne rechigne pas à payer un prestataire pour me faire la sortie depuis mon DD. les 200 euros dont tu parles, c'est peanuts comparé à budget d'authoring, de masterisation et de pressage.
     
  2. Olivier_BdR

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    495
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    Le problème vient en effet plus d'un soucis de continuité dans la chaine de fab que d'autre chose.

    Pour avoir beaucoup bossé avec les imprimeurs dans le passé, à une époque ou tout ce qui sortait d'un pc était bon à jeter, les fichiers xpress sur disques Jaz étaient la seule référence. Aujourd'hui, j'envoie les petites maquettes au format Jpeg sur CDRom et les grosses sur de nombreux supports (Jaz, Dvd, Dat...) toujours au format xpress.

    Les chaines des presseurs évoluront lorsque la demande de petites séries deviendra un enjeu pour eux : c'est à dire, lorsque la concurrence sera plus dure, et qu'il ne pourront plus se contenter des pressages de grandes série. Simplement, ils inclueront dans leur contrat une limite de garantie sur des supports non standard pour eux.

    Mais le soucis de qualité deviendra complèxe. Pour revenir à l'imprimerie, t'as aujurd'hui des soit disant graphistes qui envoient des maquettes de cartes de visite au format jpg en RVB ! Alors c'est sur qu'au tirage, ils ont quelques surprises sur la conversion en CMJN. Mais l'imprimeur s'est mis à l'abri en leur envoyant un BAT par mail .... au format initial !!

    Il n'y a pas de secrets : la qualité et la garantie d'un travail bien fait, ça impose de suivre des règles...et ça se paye ! Et il faut toujours garder à l'esprit, que tout le boulot effectué tout au long de la chaine peut être ravagé simplement pour 200 euros d'économie sur le dernier maillon...
     
  3. Phil29

    Phil29 Guest

    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    tiens tiens, je suis donc pas le seul à défendre un pré carré :)

    Pour ce qui est des presseurs : je pense qu'ils n'ont pas besoin de se battre pour le moment et pas avant longtemps. L'investissement pour faire du pressage est important (salle blanche et autre). Du coup, le nombre de presseurs sur le marché est réduit et comme, dans le même temps, le marché de pressage est en pleine explosion avec le dvd, ils ne sont pas dans une logique de regression et de dumping. Il ne faut pas oublier non plus que les presseurs sont aussi les presseurs pour l'industrie audio.

    Le problème est différent pour le marché de la petite série et du gravage ou là, il y a de nombreux intervenants sur le marché. Il ne faut pas bcp d'investissement pour ce lancer. Comme il y a concurrence sur ce marché, il y aura toujours des gens qui prendront des risques quitte à faire de la merde et à fermer boutique deux ou trois ans après. Désolé mais ce n'est pas avec ce genre de boîtes que j'aime travailler. Je préfère de loin avoir des relations de partenaires avec des sociétés quitte à payer un peu plus cher mais avec l'assurance que le boulot sera bien fait, dans les temps et que je pourrai compter sur des gens sérieux pour la fois ou j'aurai le coup de bourre (qui n'a jamais eu une série à faire en cata). A ce petit jeu là, on peut aussi aller faire graver ses disques dans un pays lointain avec des gens sous-payés puisqu'il semble que le prix soit la seule valeur d'appréciation. En ces temps mouvementés, ce discours passe pour un discours réac de pros qui ne pensent qu'à défendre leur prés carrés. D'accord sauf que même si c'est pas facile tous les jours, c'est une ligne directrice qui à ses avantages. Je vois revenir aujourd'hui des clients qui ont écouté les sirènes qui chantent la chanson des prix plus bas. Ils se rendent bien compte que la qualité ça se paye et que les relations ne sont pas les mêmes et le résultat non plus. Le prix du saucisson n'est pas le même chez le charcutier du coin que dans le supermarché de la zone industriel d'à côté. Certe, il est 5 fois moins cher, mais il est aussi 5 fois plus dégueulasse. Le prix, ce n'est pas une question d'arnaque. C'est simplement parceque, quand tu fais un boulot propre, il te faut du temps, de machines nickels révisées et entretenues, et du savior faire et que, jusqu'a preuve du contraire, le savoir faire est une valeur ajoutée qu'il ne faut pas brader. Prétendre comme le font certains que les véritables professionnels ont besoin de se réfugier derrière du matériel haut de gamme pour faire du travail de qualité est méconnaissance complète du secteur. Mis à part le secteur audio visuel de type télé, le client ne connait souvent rien à la technique. Par contre, il faut avoir suffisamment d'humilité pour admettre qu'il est capable de faire la différence sur le résultat final sur l'écran et des les enceintes.
     
  4. coincoin

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    102
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
  5. Olivier_BdR

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    495
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    Je suis pas sûr que les presseurs n'aient pas besoin de se battre avant longtemps. Toutes les professions de sous-traitance qui ont tenu ce langage l'ont payé un jour (et souvent au prix fort). C'est sûr que l'investissement est lourd... mais pas plus qu'une vraie chaine d'imprimerie rotative tip-top.

    Les imprimeurs (dont certains que je connais bien) se posent aujourd'hui la question de leur évolution. Et d'après toi, quelle activité ils ont en ligne de mire ? le pressage...of course. Beaucoup de donneurs d'ordre en image papier le sont aussi en multimédia. Donc, leurs débouchés sont assez simples à déterminer. Il ne manque pas grand chose (un vrai choix matériel ?) pour que certains franchissent le pas. Et là, ce sera vite la guerre... comme partout ailleurs, avec toutes les dérives tarifaires et qualitatives que ça suppose.

    De toute manière, c'est simple : tu veux une qualité garantie ? tu paye le VRAI prix de la prestation et tu le répercutes. T'as pas assez de budget ? tu expliques à ton client que le résultat n'est pas garanti pour le budget qu'il te donne. Au début, ça fait TRES mal aux finances, mais sur le long terme tes relations avec tes clients et tes sous-traitants sont incomparables.

    Mais bon, le sujet est maintenant très (trop) éloigné de l'authoring mac !!!!
     
  6. Phil29

    Phil29 Guest

    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    tu crois que les imprimeurs vont investir dans des salles blanches ? je suis pas sur. Il faut mettre l'usine complete en dépression pour que çà marche bien alors çà fait très mal. Et le leader en france avec 2500 personnes ne va pas être facile à déboulonner. a suivre...

    Sur la seconde partie, je crois que nous sommes sur la même longueur d'onde.
     
  7. Olivier_BdR

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    495
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    Vu que l'imprimerie traverse une crise existancielle grâve à cause du multimédia... ceux qui ont les reins solides et qui qui veulent continuer à avancer finirons un jour ou l'autre par allez là ou ils sont font bouffer leurs parts de marché. Au moins dans l'optique de se diversifier. Ils seront surement pas au niveau des gros presseurs, mais quand l'offre monte...

    Question HS : qu'est ce qu'il y a sur le marché comme graveur authoring ? à part le pioneer (qui semble même plus en vente).
     
  8. labo

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    223
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    DLT

    bonsoir,

    pour apporter quelque chose à ce débat assez intéressant, et pour ne pas rester sur une note mitigée pour les uns et les autres, je vous propose mon DLT à ceux qui en ont pas et qui en ont besoin, en échange d'un autre service. Je me forme en Audiovisuel.

    N'hésitez à me contacter.
     
  9. Robi-G

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    124
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    :approb:
    Tient nous sommes en accord sur les grandes lignes de la qualités, mais voila dans le domaine de l'authoring, nous aussi nous sommes nombreux et le client te fait pression pou tirer tes prix au plus bas. Lorsque la boite de prod pour qui je travail te donne 100 masters Beta à mettre sur DVD avec une qualité minime et un prix fixé a 500€ piece (tout compris packaging plus Glass master) pour gagner ta vie et surtout garder un client régulier, tu es obligé d'essayer de faire des économies la ou tu peut. Ayant passé un accord avec une boite de pressage qui accepte de prendre mes authorings sur disques dur pour 50€, mon économie de 150€ je préfére qu' elle me revienne, plutot que la donner à un presseur français qui se pense intouchable et trouve mes quantités dérisoire.
    Phil29 n'à pas compris mon mépris pour les presseurs Francais, pourtant justifié pour moi, par mon vecu.
    Méme si on aime la qualité, parfois pour gardé un bon client, tu es obliger de lacher du leste, méme faire des magouilles a 150€, nous n'avons pas tous des reins assez solide pour les envoyer ailleurs. Merde un gros client c'est dur à trouver quand tu l'as, tu fais tout pour le garder.
     
  10. Phil29

    Phil29 Guest

    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    Moi j'en connais qui ont fait bcp pour garder des gros clients et qui se sont pété la figure. Si c'est le client qui fait le prix, l'an prochain, il te demandra un peu moins, l'année suivante encore un peu et ainsi de suite. C'est la technique de la grande distribution. Tu fournis du boulot à un mec. Il est content, il bosse comme un con pour honorer sa commande et une fois qu'il est bien accro, tu lui demandes de péter le prix avec menace d'aller voir ailleurs le mec il est battu surtout s'il a investi pour honorer la commande. Si, dans des boulots comme les notres, le seul élément de discussion avec le client est le prix, c'est qu'il y a quelqu'un qui n'a pas compris, soit c'est le client, soit c'est le fournisseur. La base de discussion, c'est la qualité de ton travail, le fait que tu puisses répondre dans les délais, que tu assures une prestation irréprochable, que tu joues un rôle de conseil en lui ouvrant de nouvelles perspectives. Si ton client cherche le prix et uniquement le prix, méfie toi car l'an prochain, il trouveras un autre mec qui aura faim et qui proposera moins cher pour avoir le marché et ainsi de suite.
     
  11. Olivier_BdR

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    495
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    Cette discussion est applicable à TOUTES les sociétés, sur tous les marchés.

    J'ai passé 15 ans dans le marché de la distribution sélective, juste au moment ou là guerre des prix a commencé. Les parfumeries libre service de 500 m² ont commencés à fleurir un peu partout, et la majorité des autres n'a eu comme seule réponse que le prix. Résultat, ils ont tous été rachetés pour une misère par un mec très malin qui se retrouve aujourd'hui avec une chaine de 550 boutiques et France et 600 à l'étranger, et il ne reste que quelques acteurs sur le marché qui relèvent leurs prix petit à petit. Les seuls indépendants qui ont tirés leur épingle du jeu, c'est ceux qui ont gardés des prix corrects (certes en les diminuant un peu) mais qui ont joués sur l'hyper qualité de la valeur ajouté et les services annexes.

    Quand tu commercialises un produit à forte image ou un service où ton savoir faire est irréprochable, il faut que tu gardes la maitrise de tes tarifs. On te propose 500 euros pour une prestation et c'est trop juste ? A la limite, tu le fais une fois en expliquant que c'est un cadeau "de bienvenue" ou de "remerciement pour la fidélité". Tu fais un boulot tip-top dessus et la fois d'après, tu montes le tarif. Si le mec se barre et que tu tu t'es bordé en qualité, il reviendra parce qu'il a de très fortes chances d'être très déçu ailleurs. C'est pas parce que tu passes pas une fois avec un client que tu le perds.

    De toute manière, c'est un choix commercial. Ou tu fais de la qualité et tu cibles les clients qui en cherche, ou tu fais du prix, et tant pis pour la qualité, et tes clients le savent. Si tu fais les 2 ta stratégie commerciale risque d'être pas très lisible pour tes clients.

    Mais, j'dis ça comme ça, chacun est dans son truc tous les jours avec ses problèmes, et je cherche pas à donner de leçons, juste à faire part de mon expérience.
     
  12. Phil29

    Phil29 Guest

    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    et ben, je commençais à penser que j'étais le seul à penser çà, çà fait du bien de voir que non.
    Il est vrai que l'arrivée de nouveaux outils plus accessibles brouille les cartes. Avant, il y avait une sélection par le matériel (je sais, je sais, on a eu aussi à l'époque des mecs qui avaient du matos qui faisaient de la merde mais, compte tenu des investissements, ils faisaient pas long feu en général). Plus que jamais, il faut faire la sélection par la qualité du travail. Dans l'exemple cité, si le prix est la seule référence, dans quelques temps, il y a bien un mec dans la société qui va se dire qu'acheter un enregistreur de dvd ou un mac avec DVD Studio pro, ca fera aussi l'affaire que de confier le boulot à un prestataire. Si la valeur ajoutée (qualité du graphisme, qualité de l'authoring, conseils, qualité de l'encodage, rapidité de la presta, tenue des délais...) est là et si le client est unpeu intelligent, il comprendra bien son intérêt.
    La guerre des prix, je pense qu'il y en a encore pour quelques mois mais que çà ne durera pas d'une part parceque ceux qui pètent les prix et qui sont en général des gens sans compétences ne pourront pas durer, ne pourront pas investir dans le matériel qui fait la différence (tu as l'air malin de proposer une prestation sur un matériel que le client peut se payer et qu'il a parfois à titre personnel si c'est un passionné) et vont donc dan sle mur. D'autre part, il commence a y avoir une prise de conscience des clients qu'on ne peut pas continuer à tirer sur la corde sans avoir des conséquences sur le boulot. C'est vrai dans tous les créneaux et les infos montrent tous les jours les résultats de cette tendance à tirer vers le bas : dans le transport maritime, dans la production alimentaire.... A nous de faire notre boulot et de la pédagogie.
     
  13. Olivier_BdR

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    495
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    Je mets juste un bémol à ce que tu dis.

    Il y a aussi la place pour un travail de qualité inférieure au "broadcast" à un tarif inférieur à celui du broadcast pour ce qui est de la vidéo.

    J'ai fais un investissement d'environ 20.000 euros plus le matos que j'avais déjà pour une immobilisation de plus de 30.000 euros. Peu de mes clients le feront. De plus, la pratiques très assidu de la vidéo depuis quelques années et de la photo depuis toujours, me permets (au moins en terme de prise de vue) de savoir ce que je fais. Le son est traité par un ingé son, donc nickel pour les besoins qu'on en a et les montages sont très sobres, sans fioritures ni effets toutes les 4 secondes.

    Mes tarifs sont très éloignés de ce qui se fait dans les boites de prod d'envergure, mais j'estime que mon rapport qualité/prix est correct. Je brade pas mes prestations et j'ai pas l'impression de faire de la m**de. Je cible juste une catégorie de clients qui ne trouvaient pas jusque là ce qu'il recherchaient. Ceux qui viennent me voir en me demandant du beta num, je leur dis que je fais pas ça, j'essaie pas de leur vendre du dv.
     
  14. Phil29

    Phil29 Guest

    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    ce n'est pas un bémol, je suis d'accord. Je dis simplement qu'il faut informer le client. Si tu lui dis : je ne fais pas de béta numérique parceque je ne suis pas sur ce marché.. pas de problème.... Si tu lui expliques la différence entre les deux et que tu estimes que, par rapport au projet final, le dv convient, pas de problème non plus... Si par contre, tu tiens le discours qu'on entend en ce moment à savoir : le béta numérique, ca n'apporte rien par rapport au dv, le dv, c'est la même chose, ca ne sert à rien de faire de la qualité vu le taux de compression chez le téléspectateur (pour ce qui est de la prod télé), là ce n'est plus correct. Chaque projet à sa logique. On n'aborde pas un projet de film qui sera diffusé une fois sur un salon comme un film qui est appelé a être diffusé en tv ou même dans une convention sur un écran de 14 mètres de bases. Ceux qui prétendent que tourner avec une PD 150, monter en natif sur un système en dv avec un master sur un dsr11, çà donne la même chose qu'un tournage, montage et post-prod en béta numérique sont soit des incompétents, soit des arnaqueurs. Pour ma part, j'ai investi dans différents formats. J'ai du dvcam, du béta et du béta numérique. Il m'arrive de proposer un tournage et un montage en dv à un client qui a travaillé précédemment en béta num en fonction du projet et de sa finalité. Je ne prétend pas qu'en dehors du digital béta on ne peut rien faire. Quand tu as une relation saine et de confiance avec tes clients ils entendent parfaitement un discours quand il est clair.
    Là ou je ne suis pas d'accord avec toi, c'est que tu ne devrais pas refuser les clients qui te demandent du béta numérique à partir du moment ou tu penses que tu as la compétence ou les équipes qui peuvent l'utiliser. Dans ce cas, tu peux faire appel à une boite de loc. Ca dépend de la région où tu es.
     
  15. Olivier_BdR

    Points Repaire:
    1 000
    Recos reçues:
    0
    Messages:
    495
    Appréciations:
    +0 / 0 / -0
    Justement, je n'ai pas la compétence pour du beta ou beta num ! Je n'ai jamais utilisé ces équipements plus que pour un essai.

    Même si je peux utiliser du personnel qualifié pour le tournage, pré-monter en dv et faire conformer ensuite, c'est pas ma cible commerciale. Je cherche à rester cohérent sinon ça devient vite la panique, et qui plus est, c'est pas à mes clients de payer les pots cassés de mes essais ou de mes tentative de productions hors de portées pour moi. J'ai refusé hier un instit de 7 min qui devait être difusé sur web et CD interactif...mais aussi lors d'un congré annuel. Je leur avais pourtant déjà fait un 15 min le mois dérnier uniquement destiné à être diffusé sur CD. Mais ils ont compris ma démarche et je suis persuadé qu'ils reviendront vers pour des projets adaptés à mes choix technologiques.
     
Chargement...
Discussions similaires - authoring mac
  1. HarryCallahan
    Réponses:
    8
    Nb. vues:
    848
  2. morrow123
    Réponses:
    8
    Nb. vues:
    1 715
  3. Mighty Bob
    Réponses:
    14
    Nb. vues:
    2 652
  4. Chris_1001
    Réponses:
    12
    Nb. vues:
    1 161
  5. MehdiFR
    Réponses:
    8
    Nb. vues:
    185

Dernières occasions

 

Partager cette page

Dernières Occasions

 
Vous souhaitez annoncer sur le Repaire ? Contactez-nous