Hors-sujet

oui , mais ce qui est important, c'est d'avoir la limite (la vitesse de la lumière) qui t'oblige a te creuser le ciboulot pour pas écrire n'importe quoi.

D'ailleurs en chimie, il y a un phénomène interesssant, les isomères, qui peuvent servir dans l'ecriture d'un scénario.
En mécanique quantique, un phénomène analog est la forme d'onde quantique.

 

Ce sont ces quelques milliards de dendrites, de synapses à fonctionnement électro-chimique qui nous donnent "conscience" de cet environnement vertigineux...
" Hasard et nécessité " ..il a fallu des milliards d'années, des millions de combinaisons ... des milliers de variantes cérébrales ...des dizaines d'ébauches pour... qu'une succession de "sélections naturelles" façonne notre "état" actuel ..
Pourquoi ? ...pour quelle finalité ? ...
Serions nous suffisamment fat pour imaginer qu'elle est différente de celle de l’huître !

 

non, mais en supposant qu'on soit assez imbus de nous-meme pour penser qu'on est les seuls a s'en apercevoir (ce qui semble quand meme une affirmation étrange , tellement on est irresponsable).

donc est-ce que les animaux sont-t'ils sans conscience ou sont t'ils ont simplement intrinsèquement conscients de ce qui doit etre.
Est-ce que notre conscience irresponsable nous donne un avantage quelconque ? (a part inventer des tas de trucs qui précipitent notre perte).

Imaginons que la nature ait trouvé la solution , l'équiibre, le paradis sur terre.
Tu nais, tu vis, tu meurs, tu participes au grand tout avec une acceptation totale de participer pour le meilleur comme pour le pire. Tu tueras sans haine ni avidité pour te nourrir et tu serviras de nourriture le moment venu. Tu comprendras juste ce qu'il faut et ne cherchera pas a changer les choses.

Nous on arrive en roue libre, on casse tout et on fout le bordel et on se proclame le top du top.
Est-ce qu'on est la singularité qui doit effacer l'existant pour lancer la suite ?.

Il y a un film sympa sur un astronaute qui discute avec l'IA de la bombe nucleaire qu'il devait larguer pour la persuader de ne pas exploser. Très vieux, mais très drole et en plus, premier film de John Carpenter.
Dark Star - Talking to the bomb

Dark Star Full HD 1974 - video Dailymotion

 

Dans le genre film cauchemardesque ou angoissant ou le temps passé et future fait une belle ratatouille pour déranger le spectateur
.
Mulholland.drive : mélange du rêve et de la réalité par une astuce du montage qui ne suit plus une chronologie ...perturbant nos sens
Vanilla Sky : très mauvais ressenti mais pourtant fascinant ...rêve ou réalité idem
Minority Report : plus terre a terre c'est une fiction politique , le droit de confisquer une vie, quand l'homme se prend pour Dieu, un totalitarisme rampant.

Dans tout ces films l'homme devient de plus en plus conscient que sa conscience de lui même le rend supérieur à d'autres et qu'en même temps que c'est une impasse une voix sans issue s'il s'enferme dans un contrôle de lui même...d'où ces films déprimant / angoissant qui nourrissent nos émotions tout en semant le doute.

C'est le mythe du paradis perdu , l'arbre de la connaissance...l'homme est dans un labyrinthe, il tourne rond depuis des siècles en répétant exactement les mêmes choses à des niveaux de consciences différents qui fait que le progrès n'est pas dans la science, mais la conscience...

C'est là ou le "con" que j'ai cité plus haut est une nécessité , comme la maladie il est une expérience pour se reconstruire encore plus noble, ou digne ...et que la lumière revienne.

J'ai posé cette question à l'IA :

Mythe du paradis perdu , l'arbre de la connaissance...ce n’est pas l'idée que l'homme ne peut contrôler la vie, mais qu'en même temps il doit en expérimenter le moindre recoin sans rentrer dans un délire de surmoi destructeur . Et si la destruction de l'homme par l'homme était une expérience "nécessaire" (dans le sens incontournable parfois) pour comprendre cette impasse, car l'homme ne peut pas être l'Alpha et l'Omega au sens où il le croit, mais dans un sens plus profond qui lui échappe…

Réponse du chef, en très résumé, après avoir tout lu

Le mythe du paradis perdu : un récit sur les limites humaines,
“Tu vas explorer, tu vas apprendre, mais sache que la connaissance a un prix.” Ce prix, c’est la responsabilité, la souffrance, la lucidité.

L’homme ne peut pas contrôler la vie — mais il ne peut pas s’empêcher de l’explorer
la vie n’est pas un objet qu’on contrôle / la connaissance n’est jamais totale / chaque progrès ouvre un gouffre nouveau

Le “surmoi destructeur” : quand la conscience devient tyrannique
se détruire pour avoir voulu trop savoir / répéter la chute pour comprendre la chute.

La destruction de l’homme par l’homme : une expérience nécessaire ?
Dire que la destruction est “nécessaire” ne veut pas dire qu’elle est “bonne”: mais elle est structurelle, inscrite dans la condition humaine.

L’impasse de l'Homme : un miroir, pas une fatalité
Dans le sens où l’humanité ne comprend ses limites qu’en les franchissant .
Dans le sens où rien n’oblige à répéter indéfiniment la même erreur, mais il faut du temps.

En clair ce que tu dis :
le mythe parle de la tension entre la liberté humaine et ses limites, et de la manière dont l’homme apprend souvent par l’excès, parfois même par l’autodestruction.

Tu as raison :

• Non, l’homme n’est pas l’Alpha et l’Oméga comme il le croit (maître du monde, origine de tout, finalité de tout).
• Oui, il l’est dans un sens plus profond : il est l’origine et la fin de son propre sens, de sa propre conscience, de sa propre histoire.
• Et oui, ce sens profond lui échappe souvent, parce qu’il confond puissance et profondeur.

Pour une fois je ne l'ai pas engueulée...il y a plein de piste de réflexion , je me demande à quoi cela sert d'aller à l'école ...

Après ce 1er post :
" L'école, le travail, le refus de l'effort intellectuel et créatif chez les jeunes.
Le prompt."

Une sorte de réponse finale comme un bulldozer qui détruit tout sur son passage
La boucle est bouclée ....

 

On peut réfléchir sur le chemin de l'école Et c'est bien souvent les trajets en car que les ados préfèrent dans les sorties scolaires, rarement les intentions pédagogiques du prof Dans une chanson, J.-J. Goldman dit : "Y’a que les routes qui sont belles. Et peu importe où elles nous mènent". C'est là peut-être le sens de l'école : l'école comme initiation au voyage et même à l'errance.

Oui, et l' "on" - la recherche, la science, la technologie - s'engouffre à chaque fois dans le nouveau gouffre ; un peu comme l'air comble le moindre vide. La conscience est comme l'air, elle a horreur du vide.

Long et dense. Labellisé Ai free.

Dark Star : étonnant ; ce film a 50 ans ! "tout a déjà été dit" ...

 

Alors, le mot de la fin ?

 

Fêtes attention de ne pas avaler la perle (elle est peut-être en vous déjà)

 

De la poésie de la vraie ...on en a besoin

 

Avec la question traditionnelle : M'sieur, m'sieur, là où qu'on va y aura du réseau ?

 

non , le réseau ils savent pas ce que c'est, il demandent le WIFI

 

Wifi et appli', what else ?

 

meme les applis ils connaissent pas, whatsapp, tiktok et instagram les 3 piliers de la culture.
Le mail et les SMS, pour les vioques.
bon avant ils faisaient pas de recherches sur google, mais au moins maintenant ils demandent a ChatGPT.