qu'est ce que j'peux faire, j'sais pas quoi faire !

Il y a une dichotomie coriace qui nous pousse à vouloir opposer un peu trop systématiquement un monde de la pensée et un monde de l'action.

Allez, je me mouille, je m'autocite :

Je pense que cela vient du fait que, jusqu'à un certain niveau, c'est souvent les meilleurs branleurs qui prennent autorité sur les sujets.

 

Pardon pour l'incruste, bonjour d'abord mais juste bien préciser selon le sens de la déduction de chacun, chacune, que des principes érigés en règles chez Pixar, çà ne veut pas dire "Tiens, comme on est sympas, on va t'aider à démarrer" ... mais "C'est çà ou la porte".

Pour nous, oui qu'on peut discrétos se garder et s'ériger çà en 22 principes

Bon, au fait, qu'est ce je devais faire c't'aprem de bien digne d'un branleur ? ... Ah oui, je sais !

 

Tout à fait @mhr : "C'est çà ou la porte, Zombieland ou pas Zombieland !"

Oui, encore pardon et bonjour, souvenu que je vous avais promis une règle (un principe) selon moi la (ou le) plus conforme à l'expérimentation.

Finalement, pas la 2 mais la 10 :
Règle n°10 (pas en une phrase mais que le résumé en gras cité pile poil de Pixar)
"Essayer d'identifier les histoires que vous appréciez.
Les éléments qui vous touchent dans ces histoires, correspondent à une partie de vous-même.
Vous devez réussir à comprendre en quoi ces éléments vous reflètent, avant de pouvoir les utiliser dans vos propres histoires"

Qu'en une phrase traduite par REDoré ? Mais voyons, déjà dite ailleurs ! :
"Ecrivez sur ce que vous connaissez déjà"

(N'empêche que mon numéro dès le post 2, c'était EDIT la n°17. Fait naturellement comme çà. Pas sorti le lutin pour lire l'explique ... Oui merci, sympa, j'aurais peut-être dû !).

 

nestaphe a dit: ↑
Comme ils sont rarement eux-mêmes pratiquants, ils traitent, souvent brillamment, de choses qui sont à leur portée d'observation.

L'histoire de la Nouvelle Vague n'est pas aussi l'histoire des critiques des Cahiers du cinéma qui souhaitaient un jour faire leur film ?

Bon mais eux, ils ont fini par mouiller le maillot ...

 

J'ajoute donc un détail d'outil dramatique technique puisque @AQW333, je te dois (je le rappelle) d'avoir trouvé le moyen de dépatouiller tout çà (la déf).

(J'apprends aussi en souhaitant vous le partager et merci, car jamais marre d'apprendre).

Au cas où pas aperçu ou noté, j'ai proposé post #128 un mot clé stimulus pour la résolution d'un climax : "Effet miroir".

Au travers d'une vitre de voiture (impact ou pas) ou de carreaux de lunettes noires.

C'est donc à l'invention (pas que l'imagination) de chacun, chacune de ne pas l'oublier dans ses propres résolutions de climax.

Autant davantage disposé(e) à l'action physique ou à l'action émotionnelle. Dans les 2 cas, c'est cette dernière qui prédomine à la résolution d'un climax.

Cà devrait fonctionner puisque dument dimensionnel pour le vrai impact.

Oui, je confirme, çà aide à savoir quoi faire pour stimuler ses envies de filmer.

(Mais de préférence, on le fait surtout en pensant à son public, d'abord avec son "Soi m'aime" et non son "Soi-m'aime pas". Oui, bien qu'une préférence (D'où le "presque", on n'est pas dans une secte)).

 

De passage pour vérifier si énormités à corriger. De mon côté NON, çà va !

(A part le "de" du charabia de votre traduction personnelle).

Vu par contre que ce n'est pas encore gagné pour tout le monde mais tant pis, toujours dispo mais que si çà vaut le coup maintenant.

@AQW333, je ne t'ai jamais proposé de vérifier si mon maillot avait été ou pas mouillé ou qu'il aurait déjà séché.

 

Je reviens quand même parce que c'est dû pour conclure sur "l'effet miroir" qui doit donc avoir un sens pour se garantir d'une digne résolution de son climax, sinon pas la peine.

@homero l'a compris pour Bonnie and Clyde : "C'est fini" (avec tout que çà implique).

Pour La liste de Schindler post #128, je l'ai "moi-m'aime" indiqué au dit post.

Pour Miracle en Alabama : "Infiniment merci" (réciproque puisque "Effet miroir").

Sinon pour le moment, retour post #107 tant que pas stimulé.

Exemple d'invention mais dans la discute Y a pas que le matos : Un réveil matin nous communiquant par un effet miroir une émotion de la dimension de l'humanité via son âge dans l'univers.

(Oui je sais, du charabia pour certains mais pas dans la traduction personnelle de tout le monde. Que pour çà que jamais loin).

 

C'est "génial" , mais ce n'est pas une fiction... ou alors l'intrigue est mince ...Donc pas " Slip" mais plutôt "String"

Dans le RER pour aller bosser sur Paris, 80% des passagers font cela, donc c'est un documentaire ou un reportage

Mais d'autres diront, c'est une news...de 5H

 

Pardon avant de fermer @homero, un rappel important !

La question : Ne trouvez vous pas que la structure du climax ne serait pas la même qu'une structure générale (plus exactement un "paradigme") ?

C'est fractal, d'où l'intérêt de commencer par apprendre et s'entraîner sur des scènes.

C'est bien d'identifier le sens mais je ne les ai pas créés. Je ne connais que la technique.

Et la pratique est encore plus duraille (Mais persévérance et minutie).

Votre sens, Robert McKee demande d'admettre qu'une partie du public ne le saisira pas.

Donc, ne pas lui en vouloir et s'en vouloir.

 

Vraiment promis @homero et encore merci, juste avant d'éteindre la lumière et de baisser le store.

Permanent et quotidien

Pourquoi un tel impact émotionnel à la résolution d'un climax ?

Le paradigme de Syd Field sert à traiter en images et en sons mais qu'en surface.

Itize The "foundations".

Mais n'oublions pas Madame et sa structure interne de dessous la surface (l'arc transformationnel de votre protagoniste parfois héros ou héroïne)

Dara Marks, consultante qui doit bien être accueillante et sympa à son bureau et elle au moins, elle ne dit pas n'importe quoi sans rien savoir.

L'impact sur le public se situe donc au point de rencontre de la structure interne et du paradigme externe ; soit, on n'a pas le choix, qu'à la résolution du climax.

(Oui, les cartons de Syd Field sont une image de classer les bons outils à sortir à chaque point de la structure. Comme faut surtout pas les mélanger ...).

Pour les vrais amateurs de charabia, Yves Lavandier qui parle de tout et que trop accessoirement du film et John Truby qui remet même en cause la base des 3 actes. Le début, le milieu et la fin seraient dépassés selon lui. A moins, je ne sais pas, de vouloir tourner en rond autour sans la règle n°5.

Christopher Vögler beaucoup plus sympa mais n'explique que d'introduire des forces et dimensions mythiques. A s'adapter "soi m'aime" selon qu'on préfère les trucs mère nature, le vivant quoi !

Donc, Juan Antonio Bayona et autres garnements hispaniques (d'Espagne ou d'amérique du sud) sont de vrais exemples d'inventifs, pas seulement de créatifs.

Puisque c'est d'abord technique

 

Climax, évoqué plus haut par nestaphe, Gaspar Noé en a fait un film

"Climax", le nouveau film extrême de Gaspar Noé

Dans la veine d'un cinéma dit précurseur ou transgressif voir expérimental, le cinéma de Gaspar Noé est aussi classé comme New_French_Extremism

Analyse, explication , interprétation....etc.

Conversation avec Gaspar Noé - Regarder le film complet | ARTE

 

Merci, rien à faire de ce charabia !

 

AQW333, ton lien "New_French_Extremism" ne fonctionne pas, il faudrait que tu l'édites.

Bon, les termes me laissent songeur, car ils sont un peu "faciles" pour "caser" le cinéma de Noé. En général, j'ai du mal avec ce mot, et même lorsqu'il s'agit de qualifier des propos de propagande primaire, comme on peut en voir lâchés sottement en ce moment dans une rubrique ayant vocation de relayer l'actualité de la vidéo sur ce forum.