qu'est ce que j'peux faire, j'sais pas quoi faire !

Je ne vais pas remettre une pièce dans la machine mais j'ai une théorie: j'ai l'impression que notre REDoré a perdu la boule depuis la news sur la baisse de prix de la RED.
Et on ne retrouve pas Ipsolo avec ses "." depuis un petit moment.... le monde s'est il arrêté de tourner et s'ennuie à son tour ?

 

Merci à Nestaphe et à Homero pour les explications et les anecdotes éclairantes.
Je comprends mieux l'arrivée de la voiture. Après re-visionnage cette fois cette arrivée n'est plus gênante. Au contraire, elle peaufine l'installation de toutes les composantes de la conclusion (pas la "solution" hein !) finale. Tout est en place pour le spectacle, le carnage/l'exécution peut commencer. La mise en scène est parfaite, chapeau l'artiste !

 

Oui mais que quand et si on oublie la règle n°5 de Pixar. Le charabia n'est pas de mon fait mais provient bien votre propre traduction personnelle.

 

Pour juste bien préciser que je ne mets pas @nestaphe et @homero dans le même lot de "votre" traduction personnelle.

Pas de difficulté à se rappeler de la règle n°5.

(EDIT : Suite supprimée avec mes excuses pour maladresse. Mais attentes confirmées. Merci à la modération d'être déjà si vite intervenue à ce sujet)

 

"Certaines règles sont faites pour être transgressées" citation de Bienvenue à Zombieland.

 

C'est ce que je disais à ma femme, jeune

 

Mais c'est du cinéma ! Et américain, au passage. Il y a une grosse équipe et de gros moyens là-derrière... S'il faut mettre une journée entière pour tourner ce seul plan, et même bien plus, le temps sera pris pour le faire comme il faut. Un plan de fin de film, avec ça. (Même s'il est bien possible que le choix de terminer par ce plan-là et pas un autre ait été pris au montage.)

Tes remarques concernent deux choses distinctes...

1- Sur l'attitude du Texas Ranger :

Pour le jeu des comédiens, il est établi les intentions, puis fait et refait des prises, des variations, jusqu'à ce que le réalisateur estime qu'il a la prise qu'il lui faut. Et même si les intentions peuvent toujours faire l'objet de diverses interprétations, ce qui d'un certain point de vue peut être intéressant. Et il y aura autant de prises qu'il faut pour que le réalisateur obtienne ce qu'il veut.

2- Sur le placement de l'impact de balle dans le plan :

Pour un travelling tel, tu règles le placement de départ de la caméra et des comédiens (avec des marques) et le placement à l'arrivée, le mouvement de la caméra, tu composes, tu ajustes, et ensuite, tu fais des répétitions pour ajuster le timing de tout ça. Et pendant tout ce temps, ben le réalisateur, il se concentre, il réfléchit, réajuste si besoin, et fait son choix, parce que "c'est le moment ou jamais de le faire".

Bien sûr qu'il arrive parfois des hasards heureux, mais un réalisateur (un vrai) ne se repose pas là-dessus.

En matière de fiction, le terrain est tellement piégé de partout, que si tu n'essayes pas de tout prévoir, alors t'es à peu près sûr de te viander sévère.

 

Les règles que je conseillerais d'étudier en premier sont celles du bon sens. Trop souvent elles sont tout de suite transgressées.

 

Malheureusement le bon sens ne s apprend pas avec des règles, on l a ou on l a pas, si on l a pas, l expérience peut y pallier, en partie

 

Merci @mhr, je pouvais pas revenir plus tôt pour la retirer mais c'est bon, j'arrive. Je laisse que l'essentiel voulu au départ.

Pour le reste, je pense en effet que la modération est déjà efficacement intervenue.

(Des dites "règles" par le doc mais le seul exemple de la n°5 prouve que ce ne sont que des principes. Chacun(e) est libre de les suivre ou pas mais à leurs risques et périls).

 

Juste ajouter que la répute d'Arthur Penn était en jeu alors qu'il a fait des films pouvant servir aux débutants, autodidactes et étudiants en ciné.

Référence perso Miracle en alabama (The miracle worker). Idée : Anne Bancroft, éducatrice d'enfants aveugles (car elle-même guérie d'une cecité enfant) est alors chargée d'une enfant aveugle, sourde et muette dans une famille qui ne peut plus le supporter car incapable de communiquer (c'est l'élément d'un règne naturel qui va le permettre).

(Edit CLIMAX de 3'30) :

Me confirmant ainsi davantage prédisposé à l'action émotionnelle que l'action physique, d'où pas oublié ce matin post #128, d'autres potentiellement idem.

Mais surtout pour souligner qu'on travaille dans les 2 cas sur les mêmes principes dramatiques et techniques.

(Mais de préférence (edit : ou presque) à la Sam Peckinpah et Syd Field, because règle n°5).

 

C'est également pas faux : « Le verre à moitié plein ou à moitié vide… »

Le professionnalisme que l'on demande, parce qu'il engage d'autres gens, une économie, nécessite l'apprentissage d'une rigueur et c'est sur ce ferment de l'exigence que le bon sens viendra faire la différence .

Le bon sens, ce n'est pas ce qu'on appelle le talent, du moins en partie ?

Sans bon sens, on est un perroquet qui répète ce que d'autres ont écrit ou dit… Guère plus qu'une intelligence artificielle en fait... sans les avantages.

 

Pour ça, il n y a pas photo, surtout lorsqu ils sont sans prétentions et sympathiques
Tiens avec ce gars là, il peut rien t arriver, si tu casses la camera, il t en reconstruit une illico