qu'est ce que j'peux faire, j'sais pas quoi faire !

Ah le cerveau droit et le cerveau gauche ....la belle mascarade ! Une de plus

.C'est pas gentil , il y en a qui se donne du mal ...

Les Yeux sans visage un monument, extraordinaire ...Cela a inspiré d'autres scenarios ?

 

Je préviens aussi, outre mes engagements sur le forum auxquels je me sais redevable, que je suis satisfait d'avoir pu suggérer en coup de vent post #94, un processus partant d'une observation jusqu'au choix final possible d'un découpage technique.

Je ne peux que le laisser là à dispo de ceux et celles qui tenteront de le décortiquer et d'en tirer profit.

Ses explications techniques seraient trop pointues sur un forum surtout de techniciens passionnés pros ou amateurs des matos vidéo et/ou photo.

Je n'y suis plus disposé non plus.

Seul indice, il y a bien la clé du bon raisonnement pour lequel les 4 fonctions cognitives resteront précieuses mais certes, à condition de courage et de confiance en soi.

Merci toujours @homero d'avoir initié et permis une expérimentation aussi stimulante.

@nestaphe bravo et merci puis je n'ai toujours que 2 hémisphères pour me lancer aussi dans les neurosciences et le secret bicéphale. Par contre, rien contre les mythes pour enrichir ses idées

 

Arthur Penn, quel chance !... Et sur l'exécution sanguinaire de celle que je considère toujours comme la plus belle femme du cinéma !

Quand j'étais gosse, la VHS à ce moment du film partait complètement en sucette, tellement j'ai repassé cette scène, qui m'avait d'abord terrorisé puis fasciné. L'alternance de rapprochés épaule et gros plan avant que le carnage ne commence, la mitraille assourdissante et l'alternance de ralenti et vitesse normale, à la Peckinpah que je ne connaissais pas encore, avant que tout ne retombe lentement, au ralenti, dans une ambiance sonore quasi inexistante...
Et tout le monde qui sort de sa planque et s'approche en silence pour constater le dégât, le travelling latéral qui s'achève sur le plan destroy à travers vitre et reflets, puis écran noir, tout est dit, point final... Terrible.

 

Bon, c'est vrai que si on me prend aussi par les sentiments (le cinéma en général)

Après on verra mais juste déjà indiquer encore en coup de vent et pour info, que Syd Field raconte dans son manuel comment il a débuté auprès de Sam Peckinpah et appris la base d'une structure notamment (puisque fractale) d'une scène.

(Principe tout bête d'une action (comme une fusillade) vers où tout doit se rejoindre en climax, puis sa résolution).

Avant un découpage, d'abord fut sa structure. Il suffit de regarder avec "attention" l'exemple d'Arthur Penn sur cette fusillade de Bonnie and Clyde pour ensuite pouvoir en effet la décomposer comme un vrai technicien hors pair (EDIT : parce que de préférence, très doué dans sa fonction visuo-spatiale).

Rien n'est pointu, que procéder par ordre mais pas n'importe lequel. Rien de plus simple (dit la règle n°5).

Comme par exemple trouver l'angle d'un plan mais qu'une fois avoir le découpage. Oui qu'on est taquin dans ses clins d'oeil sympas bien reçus

 

Complément utile cependant suite à un stimulus auquel il est difficile de résister.

D'abord poser les préalables pour un découpage technique.

Syd Field avait des cartons vides pour savoir quoi en faire et ne surtout pas s'ennuyer.

Dont où classer en premier que 2 types d'action : physique ou émotionnelle.

On remarquera mieux cette distinction entre les posts #94 et #108 mais dans les 2 cas, elles sont présentes et faut apprendre à les gérer entre elles sans se louper.

Si un type d'action prédomine au climax, dans les 2 cas, la résolution préférera dans son carton, une bonne part d'action émotionnelle (dont dans sa chorégraphie filmique).

Ne pas oublier selon ce que l'on connaît déjà, que comme les mythes, des forces et des dimensions de la nature pourraient venir enrichir ou renforcer les contenus des cartons.

Pour le parcours depuis l'observation visuelle ou sonore, sos manuel de l'AFI plus pointu. Déjà se baser sur Robert McKee dans l'hommage à Monsieur Alain Delon, pour s'aider de sa fonction "mémoire" pour d'abord envisager ce qui pourrait être le meilleur et le pire.

Ah oui, la fonction "attention" dans l'ancien dico, c'était "concentration". On peut désormais opter pour.

(Oui, le réa cité post #102 était évidemment Claude Sautet. Quand on veut faire un clin d'oeil de merci et de respect, autant choisir autre chose qu'un neuneu, on sera plus sûr qu'il soit bien reçu par le destinataire à taquiner).

Rappel aussi : faut d'abord s'entraîner à écrire des scènes pour savoir écrire un scénario et son découpage technique en entier. C'est fractal.

Cà va pour la rédaction mikado, on repère mieux les bâtons avec ses doigts ? Non, parce que effort nécessaire bien compris et accepté.

 

Hein ?!?

 

Ca me rappelle une anecdote vécue (promis, juré) que j'ai toujours en mémoire, alors que la situation date de mon plus jeune âge...
Un touriste s'arrête à côté d'une dame et lui demande la route d'Albi...
La dame part dans des explications alambiquées :
- Vous descendez la côte, en bas il y a un embranchement... A droite, après avoir passé le pont ça va vers... etc..
Et elle termine par :
- Bé c'est pas celle-là c'est l'autre...
Je vous jure que c'est vrai ..
Je crois que pour certains c'est difficile de faire simple... tout simplement.
Faudrait faire comme Twitter, limiter le nombre de mots...

 

C'est vrai que l'effort n'inclut pas de macher le boulot ou les dialogues.

Pas de nécessité de lire à la même vitesse que écrit (et pensé sur entrainement permanent quotidien).

Que des pistes de décollage d'où s'être posé et si possible sereinement.

EDIT : Oui Madame, Monsieur, de par chez nous, on parle en langage causé stimulus, et moui.

Sinon dans tout çà, ne pas oublier l'axe du monde et de l'univers de son récit, çà peut être un petit moulin dans un jardin pour faire tourner au rythme ou sa plus belle actrice du monde pour faire battre les coeurs (Moi, c'est Liv Tyler mais on a tous son choix même si moche).

Puis not forget, en cas de souci, à dispo si besoin de précisions ou de suggestions

 

Question anecdote vécue promis juré, quand Jacques Demy au stand Luma du Satis, m'a glissé à l'oreille "C'est un gadget", pas eu besoin d'interprète et de le regarder avec ma tronche béate d'absence de fonctions cognitives. Que pour çà qu'on use du causé stimulus, Madame, Monsieur).

Règle n°5 de Pixar que je défends sur le forum : Ne pas faire compliqué quand on a plus simple.

Bon, 3 pages recto verso pour expliquer (soit 6 pour les retardataires). Pas très fortiche pour donner l'exemple

 

Hola la moi, je n'en peux de ce charabia

 

Si du charabia !

Que du temps nécessaire pour prendre conscience de ses 4 fonctions cognitives à stimuler (et à entraîner en permanence et tous les jours).

Que le considérer comme du sport musculaire (le ciboulot).

Chacun(e) son rythme perso, personne ne juge mais peut aider.

1ère fonction pour démarrer : l'attention (anciennement, la concentration).

Perso, toujours à dispo sur appel SOS.

(Oui @saint kro, merci, toujours ma confusion mais pas trop mauvais lapsus révélateur quand même, entre la marque et la lumière en italien ).

Pour le charabia, je propose 2 choix : soit poser ses questions ici ou alors devant son miroir.