Je t'offrirai des fleurs qui ne fanent pas

Et perso, je rassure, je la connaissais déjà aussi lorsque Matthieu Taponnier l'a montrée en exemple au jeune Guillaume Desjardins dans la vidéo interview concernée

Toujours partisan qu'une émotion puisse se construire ou ne se lire que sur un regard ...

Et depuis déjà bien avant John Ford (... et pas que depuis un tram)

 

Merci beaucoup beaucoup pour ces commentaires et retour @REDoré !
Vraiment ça me touche beaucoup.

Je prend note des références quand au sujet de l'émotion, je connaissais bien l'image partager qui fait parti de mes références, je vais regarder dans le lien que tu as partager
Merci !
Si jamais il vient d'autres idée lié à ce sujet je suis preneur évidemment

Merci beaucoup !

 

Je crains toutefois ne pas avoir précisément répondu à ta demande @PetitNuage-Thomas sur en fait les émotions exacerbées d'ordre davantage psychique.

Toutes mes excuses !!!

Perso, je ne vois pour l'instant que les exemples de Midnight express ou Birdy de Alan Parker ou même Christine de John Carpenter. Pas spécialiste de ce genre mais pu apprécier ces films.

Il y a forcément d'autres cinéastes qui se sont lancés là-dedans. Pas vu Carrie de Brian de Palma.

 

Oh et évidement merci aussi a @homero et @bcauchy je prend note de tout ça !

 

Merci encore, ce sont des eclairages très intéressants je n'ai pas encore vu ces films ça va faire partie de mes visionage de préparation !

 

Des classiques du genre. Mémorise moins Birdy vu qu'une fois, priorité aux 2 autres.

Midnight express pour le milieu carcéral (en Turquie) et le moment où le personnage principal Brad Davis se venge de colère contre un autre prisonnier, vraie "balance" de service, après le meurtre du chat, seul compagnon de John Hurt qui se drogue pour supporter sa longue peine. Après son acte de violence, Brad Davis est envoyé à l'asile psychiatrique de la prison.

Christine pour un jeune en mal de reconnaissance jusqu'à être possédé par sa voiture (Christine) qui le protège et devient son arme.

 

Nouvelle source ce matin et celle-ci bien française, La cérémonie de Claude Chabrol qui a eu recours à une psychiatre pour définir le rôle d'une analphabète qui elle aussi pète un câble à la fin du film ...

(Renvoi néanmoins p.3 #43 pour ceux et celles qui n'auraient pas encore vu ta dernière version de Je t'offrirai des fleurs qui ne se fanent pas, publiée sur YouTube ).

 

Rappel du sujet du mémoire mais avec questions persos à proposer. Cette émotion exacerbée doit-elle ne se traduire qu'en colère ou violence ? Comment notamment aussi traduire une passion ?

Par ailleurs, pu que proposer des long-métrages mais en courts, pardon de reposter ici mais qu'à l'intention de @PetitNuage-Thomas, ce 2 mn iranien incitant à admettre que tout n'est pas que dans l'action mais également dans la réaction :