Meilleure leçon de scénario (et réalisation)

Oui, du avant ou du pendant l'heure

En outre, même pas vrai gaga (vient de la répute) et comme ton triste souvenir @homero, rien qu'une porte tenant encore à s'entrouvrir sur tout un univers si vaste qu'on en serait presque surpris de le retrouver ailleurs et que par bribes ...

Entendu aussi pensé très fort certains certaines qui le savent même inconsciemment ...

Mais l'objectif est pour aider à : débuter, apprendre, s'initier, réviser, toujours s'en rappeler, s'occuper l'esprit, reprendre du service ... Tout çà milké quoi !

Au fait, oui il peut aussi revoir son devoir de math, de français ou d'Histoire juste avant un exam mais aussi un poème ou son propre poème à dire devant la classe.

Mais un vrai conflit encore plus milké reste préférable ...

Et dans le film Le virtuose #239, déjà Fauré mais l'exploit est un solo de Haendel improvisé en public alors qu'un petit concurrent jaloux lui a chipé la partition qu'on venait de lui donner quelques minutes avant le concert.

(Pour justement remplacer au pied levé le petit jaloux pris d'une engine).

Gaga ou pas, eu envie de fermer les yeux au ciel comme Dustin Hoffman lors du grand frisson de la magie de parvenir malgré tout à s'approprier si jeune, une musique et sa partition.

(... Revu mais surtout pour vérifier un truc sur l'acte III ).

 

Oui saint kro, rappelé page précédente mais ok pour faire attention (dont au porno ).

Remarque, voilà aussi comment un terme devient jargon

 

Traduction belge : le melking

 

Après l'acte II, hier soir avant dodo, encore renoncé à parler de l'acte III pour surtout souligner que c'est l'acte qui pourrait réclamer le plus d'esthétisme et de chorégraphie pour s'en donner à cœur joie.

Mais encore parti sur un raisonnement REDoresque encore trop risqué comme pour des lavabos, avec en prime, une erreur possible d'emplacement sur la structure de l'exemple prévu.

Exemple pourtant que de 1'30 sur un nouveau renfort cette fois-ci de Robert Zemeckis.

Pour faire court et traduisible, je voulais aussi démontrer que l'acte III ne dénoue aucun nœud mais ne fait que résoudre et notamment une ironie dramatique, procédé narratif gérant l'information entre les personnages et public.

Et à résoudre selon l'expression "remettre l'église au milieu du village".

Il n'y a donc pas que l'intrigue à résoudre à l'acte III mais d'abord les procédés narratifs mis en place.

Voici toutefois l'exemple qu'à défaut de bien me souvenir du film, pourrait être soit "La nuit profonde de l'âme" (car nuit pas toujours sombre) mais donc encore située sur l'acte II, soit une résolution attendue qu'à l'acte III.

Mais voilà surtout pourquoi je tiens tant à insister : Parce que pour le plaisir des réas esthètes et chorégraphes, de savourer le potentiel de leurs champs de compétence qu'un scénario (le sien ou d'autrui) devrait leur proposer à l'aide aussi d'un "J'ai vu" pour éclairer une information que seul un personnage détenait jusque là à l'insu du public et d'un autre personnage :

Voilà, c'est fait !

(EDIT : Indice REDoresque sur la possible "nuit" : On voit des étoiles et du crépuscule ...).

 

Une confirmation et d'où la crainte de trop mettre le paquet.

Mais déjà que pour info à n'aborder que quand disposé(e) et prêt(e) :

Lavabos en effet risqués car comme pour le lac de l'extrait ci-dessus, un tordu comme REDoré ne peut y voir qu'un potentiel "effet miroir" !

Pardon du jargon mais pas d'autre solution pour faire court (mais en moins facilement traduisible), il faut bien à un moment inverser des pôles et même "l'axe du monde" de l'intrigue, de son thème et/ou de sa métaphore.

En plus simple, ne dit-on pas "renverser une intrigue" ?

Donc, extrait ci-dessus bien encore situé à l'acte II car en effet, bien la "nuit profonde de l'âme" servant à faire pivoter grâce ici à un lac, "l'axe du monde" de Forrest avec la force de l'amour ... insisterait encore la métaphore.

Et le lac précède bien une aube !

 

Vous avez vu ? Comme on a chahuté (posts 243, 245, 246), le professeur Redoré a accéléré le rythme Je bosse ses posts 247 et 248 : c’est difficile... et vous ?

 

(Surtout jeté aux burins de chacun, chacune pour bien taper et creuser sur le plan du lac en plein jour et déduire que si y a déjà une résolution à l'acte II, la liberté de bousculer une structure reste possible et de droit ).

Si souci d'effet miroir, on laisse tomber les lavabos pour le moment et on se concentre sur la réplique (pivotante) de Tom Hanks lorsque le lac ...

 

Comme rien de spécial de prévu, on va s'attarder à aider

En reprenant d'abord @ipsonelo, ton image très appropriée d'une locomotive à vapeur (Oui ok d'accord, ... dont de fermentation mais si possible, pas de son stock d'alcool ...).

Très américain (Syd Field) mais on va faire comme si on ne le savait pas ...

Voilà effectivement à quoi sert une structure dramatique (en que 24 secondes) :

Il s'agit de faire pivoter des roues pour espérer faire avancer et faire maintenir son histoire sur ses rails.

L'autre intérêt, c'est comme quand on se surprend de regarder tourner tout seul un gadget de mouvement perpétuel, çà capte l'attention ...

Car le long des rails, on a en fait aligné des cartons (On a de ces lubies des fois !).

Des cartons pour tracer un trajet d'une durée raisonnable et supportable avec différentes tailles pour toujours prévenir le risque d'ennui.

La vraie lubie est en réalité de proposer un paysage plus ou moins tourmenté le long des rails.

Mais il faut bien arriver à destination et on n'a qu'un billet pour l'occasion.

On n'est pas de sales ingrat(e)s, on va dissimuler dans chaque carton, un trésor à tendre et offrir au gré du voyage (Oui d'accord Joseph Campbell et Christopher Vögler ... du héros !).

Selon sa propre mission, soit en nourriture, soit en soins ou médicaments ou les 2.

D'où un parcours préalablement et j'ose, unanimement admis.

Reste à comprendre si on le sent nécessaire, les différentes énergies poussant la loco et les dimensions donnant le meilleur relief au paysage (et savoir lesquelles énergies et dimensions proviendraient de la loco ou des contenus des cartons qu'on peut même ouvrir au burin pour les vérifier).

Exemple la "métaphore de la vie" (de Robert McKee), si les émotions sont logées dans la mémoire, il faut bien un soin pour les en déloger et évacuer les plus mauvaises.

Il suffit de les reproduire en images et en sons comme dans un rêve (un lac de montagne en plein jour alors qu'on est sensés dormir et qu'il fait nuit, un coquin de bout de choux venant étirer un visage pour faire renaître celui d'un enfant, burin etc, burin etc ...).

Amour, espoir, enfant intérieur, que des trucs pour accéder à la mémoire ...

Parce qu'autant dans Blade runner que dans Forrest gump, il y a en fin de trajet, un carton avec un élixir réveillant la mémoire pour mieux la soigner juste avant destination. Un "J'ai vu" de marque déposée en pharmaco-dramaturgie

(Edit : correction d'une coquille, pas oublié d'être con ...)

 

Pardon, compléments jugés utiles : Le meilleur relief mais aussi et au choix, l'espace fermé ou le plus ouvert du paysage.

Si certaines dimensions sont dites cosmiques, on a à dispo les étoiles mais d'abord plus à proximité, déjà le Soleil autour duquel la Terre tourne et la Lune qui elle, tourne autour de la Terre.

Une distinction à d'ailleurs prendre en considération quand on veut aussi réaliser son scénar

En plus que par encore un effet miroir, la Lune renvoie la lumière du Soleil sur la Terre dont pour rassurer comme une maman de son prochain retour.

Sur donc l'effet miroir (cher aux réas dignes de ce nom), si on part du principe que l'image d'ouverture serait l'image de fermeture inversée, on a l'effet miroir de base et si on admet que la structure est fractale, c'est l'effet miroir à retrouver en plus rikiki à chaque stade de la structure et selon la fonction du carton alors en question.

Exemple posté du Virtuose poste #239 mais sans couper le son, un réa devrait d'abord voir les miroirs au dessus des lavabos et en profiter pour renverser la situation concernée et ainsi faire pivoter la roue de la loco à ce passage précis.

La musique n'aide qu'à accéder aux mémoires de chacun, chacune même si pas connue et pas forcément pour soigner tout de suite mais un peu quand-même car surtout pour aussi préparer le carton de la "nuit profonde de l'âme" en fin de trajet où sera vraiment versée la puissante goutte d'élixir pour redonner la pêche juste avant d'arriver à destination et sortir de la salle.

Une goutte pour un éclair d'émotion ou de rire ou en de chaudes larmes d'enfant qui nettoient.

(C'est çà que vérifié dernièrement sur l'acte III du Virtuose, pas d'esthétisme et de chorégraphie à outrance, qu'une conversation intime et sérieuse entre l'élève choriste et son plus jeune prof de sisique, à propos du même défi que dans les lavabos.

On a rangé la grue en faisant la tronche ou que la moue mais comme entre temps obéi à Matthieu Taponier pour les tordus de "toujours garder la fraîcheur", trouvé quand-même jolie et curative la petite conversation telle que filmée

Par contre, il restait une goutte d'élixir qui est subrepticement tombée aux adieux entre Dustin Hoffmann et son jeune meilleur élève de "toute sa carrière" (de prof et de chef de chœur).

La fraîcheur permet en effet la blague de garder encore des gouttes pour la fin

(Pourquoi la réplique de Tom Hanks est "pivotante" ? Parce que tout simplement dire qu'on dirait 2 ciels l'un sur l'autre, inconsciemment et encore à cause d'une connerie logée dans la mémoire, on ne résiste pas à l'envie d'imaginer retourner le paysage comme un roue de loco notamment si c'est pour pouvoir voir sous un autre angle, l'image plus tard devant la tombe).

EDIT sur le Virtuose, qui dit que Dustin Hoffmann n'avait pas en fait découvert et rencontré son propre enfant intérieur en la personne de son petit chanteur ? ... tient encore à insister la métaphore de la vie car çà joue assez subtilement sur la mise en scène de classer ses partitions pour aider à avaler une douleur encore infantile de séparation (qui dans le fond et en "réalité", n'est même jamais vraie, veut rassurer la métaphore de la vie) ...

(Edit 2 : Vérifs et corrections matinales avec café et promis, plus à renoncer et supprimer).

 

Vraiment merci du lien @homero (et d'abord, bonjour !).

(écouté pour l'instant que le début du 1er podcast et je souscris déjà et d'office à la démarche, tant concernant le scénar même que les exemples de pistes d'idées).

Oui, la réalité dépasse la fiction mais elle lui donne aussi du grain à moudre.

Toujours hésitant à décrire en exemple mon approche perso mais finalement tant mieux si elle est perçue autrement et même rejetée !

Vaut mieux des "N'importe quoi, je ne vois pas du tout les choses comme çà" s'il peut en découler des "Mais non, il est con ce mec, moi, je les vois plutôt comme çà" et c'est tellement bien de s'en rendre compte et décider de se positionner.

Les consultants cités ne sont qu'à l'origine de mes propres déductions (Robert McKee ne parle pas d'émotions logées dans la mémoire, çà c'est moué).

Droit acquis à tous et toutes d'en faire autant mais différemment, à sa propre sauce (On est dans des recettes).

Pour en rajouter une couche, difficile de contester que les personnages ne sont avant tout que des archétypes.

Pour s'initier en vue à terme de prendre position, faire d'abord comme Alexandre Astier, lire le manuel de Christopher Vögler (Guide du scénariste ou Mémo à l'usage des scénaristes), il en dresse une sacrée première liste ...

Et si difficile à intégrer, en attendant, continuer "dans la déconne"

(+ "On ne sait jamais, sur un malentendu, çà peut marcher" ).

 

Ou sinon, rappel gratuit