Meilleure leçon de scénario (et réalisation)

(Vérifié, pas moi. Voir si fausse manip de quelqu'un, quelqu'une ?).

 

Le coupable se cache : obstacle !

 

Il nous manque une information

 

Le serveur informatique du site sait quelque chose, forcément. Rendons-lui visite.

 

Non mais @nestaphe le sait par ses notifs et doit comprendre que quoi il retourne ...

@ipsonelo, toi qui a parlé de substantifs, je viens de vérifier le Mémo à l'usage des scénaristes et j'ai moi-même été piégé si faut jouer sur les mots.

Selon David McKenna donc, le bonheur, l'amour, la richesse, la justice ... sont des "désirs" et pas des enjeux (sinon l'enjeu de l'obtenir ou de s'en passer).

Au lieu de s'emmêler le reste de neurones, je propose de distinguer l'enjeu de l'action de l'enjeu thématique.

Mais pour la théorie et si on a le temps de se prendre la tête.

La définition même de l'enjeu est "Qu'est-ce que perd ou gagne le personnage à faire telle action ?"

Cà peut être son portefeuille comme son honneur ou sa répute, sa famille.

(Quelle conséquence débile devant nos yeux ébaubis ?).

 

Oui, et probablement l'incident déclencheur est d'ordre ophtalmologique.

 

Et le désir pousse à l'action ; de la hauteur de l'enjeu dépend aussi le degré d'identification.

Pas saisi la nuance...

 

Même nuance que action physique et action émotionnelle. L'enjeu n'est pas le même.

Dans l'extrait de Hook #161, stopper le coup d'épée juste sur le nez et le front est une action physique qui répond à un enjeu sur la suite de l'histoire même (et de son personnage).

Mais l'enfant qui étire le visage de Robin Williams pour bien reconnaître Peter Pan (ledit personnage) est une action émotionnelle dont l'enjeu relève de la thématique (... sur l'enfant intérieur, insiste la métaphore).

Pas de panique, le milking saura départager !

... et parfois même plus subtilement qu'on s'en croyait capable

(Non, pas parce que chirurgical ou ophtalmologique, @nestaphe ).

Après qu'on ne dise plus que la structure ou les mécanismes restreignent la liberté et la créativité !

(Déjà milker et ensuite on verra ).

 

Complètement d'accord. Les modèles ne restreignent rien. Bien au contraire. Ils permettent de donner du sens aux observations, de les comprendre, de prévoir ou d'anticiper quelque chose non encore observé, et même de construire. Connaître la résistance des matériaux ainsi que les principes et les courants en architecture n'empêche pas de construire une maison. En tout cas merci à vous tous qui participez ici à ce fil passionnant et motivant. Ce n'est pas le matériel qui va nous faire faire de bons films, mais les idées et la connaissance.
A propos du mystérieux HS du post 143, c'est amusant en fait : un hors-sujet pour une métaphore

 

Encore lui ! (revu le film hier soir )

 

Si pour le cinéma nous devons beaucoup à l'enseignement des théoriciens américains, sachez que la langue française peut aussi apporter sa contribution pour des images joyeusement mnémotechniques.

Et si ça peut rendre service à quelqu'un...

Quand tout converge vers le climax, le milking est exquis.

(Ce qui tend à confirmer que des techniques fondamentales datent de bien avant Harry Stott... )

 

Principe de base en dramapurgie !

 

Il s'agit de "La soif du mal", et de l'
Opening Sequence
Quand je parle du suspense à mes élèves, je montre d'abord cette scène en enlevant la dépose de la bombe, puis la scène en entier pour qu'ils ressentent la différence.