et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ?

Doigt mouillé ( pour le vent ?) , Eureka matinal ...remonter à sa propre source profonde. .. en pleine forme les papis ... les idées reviennent

Dans le même ton, un doigt osé .... c'est de ki ?
"...mettre ton doigt où elle a son doigt, vas-y, mon Nestor, car il vaut toujours mieux reconnaître le parcours avant la course. "

Du même auteur ...

"«La nouvelle est tombée, sèche comme un coup de bite d'octogénaire: il n'existe, dans notre bon vieux système solaire, aucune planète habitée en dehors de la nôtre! Je le pressentais, mais ça fait tout de même un choc. Nous sommes juste quelques milliards de glandus à nous branler les cloches sur une boule minuscule perdue dans l'immensité sidérale. Ça te remonte pas les testicules à la place des amygdales, toi ?» Pas trop ...

 

... ça c'est de la poésie

 

Remonter jusqu'à ce qui a conduit l'idée en notant chaque strate qui y a le mieux participé pour en partager ou non les leçons.

(La structure est la rampe où se tenir à chaque point de force ainsi raffermi pour remonter le sillon jusqu'à la lumière de la surface ou dit autrement, de la connaissance).

Pas reconnu cet "auteur" que donc pas lu et comme suggéré, un sourire d'amour d'avoir allaité pour nourrir son bébé, vient d'une "urgence primordiale" pour sa survie et incidemment l'avenir.

(Ce matin, un se disant analyste d'images (d'actualité) ose encore glisser l'exemple que la Joconde reste un mystère (une part de mystère, peut-être...).

Dérivé du chinois : quand on lui montre le sourire sacré maternel et nourricier, l'idiot regarde le doigt mais peut-être par le souvenir enfoui de celui qui lui avait humecté les lèvres.

La poésie a le droit d'interpréter à contre sens mais pas son lecteur à moins d'être lui-même un glandu qui ne veut rien apprendre de l'immensité et de ce qu'il est venu foutre dedans.

(Il aurait tort, c'est l'élixir de jeunesse et de vie, sourit la Joconde ).

 

(... et avec elle, Jean-Baptiste !).

 

(test 12 pieds)
Le doigté de Jean-Batiste pénètra notre âme.

 

bon traduit en alexandrins ca donne ca (merci ChatGPT)

En notes, remonter à l'idée initiale,
Les strates marquant l'évolution,
Pour partager les leçons, ou les prendre en recul,
Et ainsi atteindre la lumière finale.

Tel une rampe, chaque point de force renforcé,
Nous mène à la connaissance et à la clarté,
Car nourrir son bébé, c'est une envie vitale,
Qui façonne l'avenir, en une urgence initiale.

Ce matin, un analyste d'images presque perdu,
Ose glisser l'exemple que la Joconde est un mystère,
Mais au-delà du sourire, un souvenir enfoui perdure,
Comme celui qui humectait nos lèvres, il est vrai et sûr.

La poésie peut s'interpréter en sens contraires,
Mais ne soyons pas des glandus, soyons des chercheurs,
Dans l'immensité, trouvons l'élixir de la vie,
Et sourions, car la Joconde nous le garantit !

 

Bravo @giroudf et l'IA a servi la tienne, la réelle et la vraie.

Personne n'est visé, la contre argumentation nourrit le débat et enrichit le propos

Anecdote datant de samedi dernier sur la strate démoniaque à encore affronter, encore merci, grâce à vous et vos remarques titilleuses, plus vu de démon mais une nouvelle force pour l'idée.

(Aperçu puis observé comme un joli plan de cinéma de quoi me poser une énième question sur le sens encore inavoué de l'idée car bien refoulé par honte ou par peur ... de l'inconnu).

Ne pas s'en vouloir et se formaliser si l'idée n'arrive qu'en plusieurs fois. Le sillon n'est pas fléché et on a besoin d'accroches solides pour installer la rampe du retour

 

Te concernant, chez @homero

(en effluves suspectes de la mémoire )

 

C'est justement les 2ème et 3ème degrés qui sont demandés. Comme le littéraire de tes commentaires.

D'ailleurs, j'en profite pour rappeler Jean-Claude Carrière de s'assurer que l'idée est bien pour l'image et le son et pas pour le roman (même si adaptation possible).

Chaque mot est tout autant percutant mais il est dit qu'il en faut 1000 pour une image