et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ?

Je dois des excuses à @batterie et @bcauchy pour ma propre faute de concentration.

Concentré sur autre chose et les outils techniques, je n'ai vu que Nicholas Cage et un timelock de 4'33 avant l'explosion d'un axe du monde.

Or, il se trouve que ne cessant de m'insulter sur mon projet à en désespérer sur mon cas, souvenu que l'évènement anodin concerné est survenu en allant chercher le blu-ray "Ennio" de Giuseppe Tornatore et que ado, je n'arrêtais pas de recourir à lui en pauses musicales, je viens de me le reprojeter ce soir.

Or, il parle bien lui aussi de John Cage mais en précisant qu'il lui a servi pour ses recherches jungiennes et notamment encore bien plus tard, sur l'ouverture d'Il était une fois dans l'Ouest.

L'éclair du surhumain a donc dû frapper quelque part sur vous aussi

Reçu aussi une lichette m'ordonnant de m'excuser.

Mais mon très cher Maestro (Mastrounet pour anima maman) a parfaitement répondu présent pour m'aider à enfin atteindre la sophistication suprême.

Oui, la foudre du surhumain a encore frappé en magistraux éclair et coup de tonnerre

J'en ai même pensé à une musique de lui qui ado, avait fait pleurer d'émotion ma propre maman (edit : supprimé car perso non stimulius, ne pensez qu'à votre propre maman dont hérite votre anima).

Mais comme le temple que nous partageons tous et toutes, abrite une salle où on doit d'abord aussi éteindre les lumières, il m'est forcément encore revenu cette musique de l'histoire du Toto que perso, suis resté mais sans jamais croire en être le seul puisque personne n'est jamais seul :


Conclusion de cette magnifique soirée orageuse pour apaiser la pression, me voici enfin à bosser l'exercice à toujours garder avec soi et jamais au vestiaire, on ne sait jamais

Puis arrêter de vous moquer car c'est surtout de vous, vous avez eu un âge que vous avez aussi gardé et où c'est toujours plus facile de se recevoir un coup d'éclair de surhumain en pleine tronche :


Au trot #572 ou sinon attention, toutes les pages

 

Ben... c'est dit très simplement et c'est ironique ! C'est pour cela que tu ne comprends pas

 

c'est meme plus qu'ironique.
Traduction: Messieurs les beaux parleurs qui connaissez touts les films plans par plans, vous pouvez vous faires les votres en causerie en citant moults exemples, mais bon on aurait bien aime voir un que vous avez tourne autrement qu'en discours.

Ca s'appelle le "Port Sickness", maladie decouverte par les anglais qui consiste a acheter un bateau, l'attacher au quai et aller tous les weekend le bichonner (frotter un truc par-ci, repeindre un truc par-la ) en revant des voyages au grand large... sans jamais sortie le bateau du port (c'est plus sure)
Chez nous europeens qui avons le pied moins marin, on a le "Brico sickness" qui consiste a aller hanter le samedi les rayons de brico-loisir en cherchant l'outil malin qui va nous permettre de construire nos grand projets. Lequel outil va rejoindre les autre sur son etagere sans jamais servir (dimanche est un autre jour).

Sur le repaire, video oblige, on a le camera sickness, travers qui consiste a passer des mois (sinon des annees a trouver la meilleure camera digne de tourner son chef-d'oeuvre).
A se coltiner aussi longtemp tous ces codec, ouverture, latitude, debits etc... le film en question reste souvent une fugace reminiscence. Apres tout choisir LA camera est aussi une aventure (sans fin) a vivre pleinement.

L'etre humain est ainsi fait, il preferre souvent rever l'espoir (c'est romantique) que d'affronter la dure realite (brutale et sauvage mais au combien necessaire a certain).

quelque part merci imaxil

 

On revient enfin au thème de départ:
Il est certain que manquer d'imagination ne peut permettre la réalisation d'un bon film. Toutefois, pour pallier cette grave lacune, certains utilisent des subterfuges.

On peut utiliser l'un des deux systèmes suivants: le générateur d'histoire et les tutoriels qui prétendent donner les moyens de créer une histoire sans en avoir les capacités.
Un générateur d'histoire est un appareil ayant pour mission la production ou la génération d'histoires. Dans cette optique, certains tutoriels peuvent être considérés comme des générateurs d'histoires.

Or, dans le jargon culturel courant, les habitudes font que l’on nomme par tutoriels les appareils de production d'histoires à conduits de fumée et que l’on désigne par générateur d'histoire, ou seulement générateur, les engins à base de tubes dits de Perlimpinpin. Il y a donc deux principales catégories de matériel de génération d'histoire. Le but de cet article, est de clarifier la différence entre ces deux dispositifs et de mettre en avant leurs principaux atouts.

Une définition générale
Un générateur d'histoires (dans son sens le plus général) comprend nécessairement un ou plusieurs ânes dont les crottins et les pets sont en relation avec des tuyaux à travers desquels la création est transmise à la charge pour produire l'histoire. De façon constructive, il existe deux hypothèses : ou bien les crottins et les pets tournent à l’intérieur des conduits, ou bien crottins et pets circulent à l’extérieur de ces derniers. On parle dans le premier cas des "tutoriels d'histoires avec tubes de fumée", dans le deuxième cas de "générateurs d'histoire à tubes de Perlimpinpin. Les tubes travaillent dans les deux cas comme dans un échangeur d'idées crottin/pet (plus histoire). Naturellement, une plus grande enceinte devra être réservée au déploiement de l’ânerie tubulaire. Une première section du générateur est donc destinée à l’ânerie, alors qu’une seconde partie est destinée à prolonger l’échange intime du crottin et du pet.

 

attention de ne pas produire trop de pet, c'est pas bon pour la couche d'ozone.
par contre pour le crottin, pas de probleme, ca peut servir a faire pousser toute sorte de choses.

 

Mais... c'est arrivé à tout le monde d'oublier de couper l'enregistrement !

 

Ouais pas si sure... quand tu prends un coup de pied au cul tu peut être obligé de consulter en urgence un osteo pour remettre le coccyx ...

 

20/20 @homero sur toute la ligne (c'est le cas de le dire). 1er exæquo !

(Détail, Virgile certainement dans ma mémoire collective, j'étais alors en école buissonnière ).

Bon comme je vois que des fautes de concentration ont créé des rébellions (bien sûr que oui que bien compris l'ironie mais je n'en rejette que l'absence d'autodérision par un nombril qui gratouille), je ne suis donc plus la bouche pour vous parler même si toujours dispo.

Ma suite du projet me force au silence pour ne plus que vous entendre à égalité en immense richesse (tenter des préjugés et distinctions ne serait encore que freudien européen complexif).

Ne reste néanmoins qu'un dernier point :

20/20 d'office à ceux et celles qui se sont demandés même sans poser la question, où est anima maman quand animus papa se repose à protéger et lécher la progéniture en souvenir d'un éclair du surhumain ?

Elle est partie à la chasse se cacher dans les fourrées pour se concentrer sur quoi ramener en nourriture et nous, en idée.

Dans la forêt de la mémoire où on construit notre cabane et peuplée que de souvenirs et de prémonitions, c'est mieux de l'envoyer elle qui a déjà su ramener à l'animus papa de Steven Spielberg, le souvenir d'enfance resté prégnant de son besoin d'ami et qu'en seule nourriture, elle lui a suggéré de s'en inventer un imaginaire et qu'elle resterait toujours à ses côtés pour quand adulte resté enfant, en trouver au coin du bois, l'idée d'un QUI "Sauves nous" : L'amitié vient d'au-delà des distances et des différences" (car jungien et certainement pas freudien complexif)

Toujours pas d'inspiration vaine ou de psychanalyse freudienne européenne du pauvre complexive mais que et seulement que l'éclair du surhumain de l'intuition anima en vue d'une métaphore de la vie :


Puisque @Charlie a su bien s'amuser dans sa Montgolfière pour garder l'équilibre sur son axe du monde à l'appel de son animus et anima reconnus par intuition dans 2 autres mêmes montgolfières devant lui et que certain que @homero aura forcément compris que dans la salle où on éteint d'abord les lumières, Toto devenu adulte resté enfant, ne vit que ses "Sauves nous", je leur dédie un chant à tous les 2 non pas de lamentations mais de l'éclair du surhumain d'un sauves-nous :

Promis, je ne suis plus la bouche, place à la vôtre #572 et #573

 

on va garder cette bible pour les nouveaux. Comme ca on pourra leur recommander des passages.

St Redoré #573 et #572 et vous me ferez une LUT H.265 en LOG

 

Non ! ton intervention contribue à la survie de ce site (10 000 vues !) ; et à sa mélioration, donc à la notre, humbles vidéastes.

Je médite... (suis lent)

Là ça me dépasse...

 

Un fil extra-ordinaire, c'est sûr.
Unique ? Sans aucun doute.
Un fil record ? Non Celui d'Homero "filmer pour l'histoire" est imbattable.
mais Batterie, tu sais forcément pourquoi un type ordinaire comme moi à décroché, pour se planquer au fond de la classe :

Nicolas Boileau "Ce qui se conçoit bien s'énonce clairement et les mots pour le dire arrivent aisément."

Une seule phrase, tu as remarqué ? Si ici, à coup sûr les mots arrivent à flots, je ne suis pas certain que le "conçu" soit énoncé" clairement. A moins que, bien que titulaire entre autres d'une licence de lettres, je ne sois qu'un illettré indécrottable...
...ou bien approché par la sénilité : je ne me souvenais plus du terme "mélioration" !

@REDoré : je ne saurais dire si tu as mélioré le site, mais à coup sûr tu as suscité un grand intérêt.
Rien que pour ça au moins on peut te remercier.

Et t'encourager à te consacrer pleinement à la réalisation de ton projet, afin que nous les anciens puissions l'admirer de notre vivant.

.

 

Je rejoins Gilles ...
J'rirais plus loin ...même si j'ai par moment aussi voulu titiller " l'orateur ! " en levant le doigts "m'sieur"

Cette prose, cette suite de mots souvent évaporés, me fait penser à ces rares écrits de Picasso qui, en complément de ses poésies, a couché des suites de mots sans aucun sens entre eux.

Le "petit plus" de Picasso ...la musique produit en prononçant ces mots..."géant" (lui)