et s'il n'y avait pas que le matos ou comment trouver des idées ?

Va falloir ouvrir un fil juste pour trouver le titre d'un autre fil... Mais, mais, quel titre lui donner ?

 

On va finir au débarras du Repaire si ça continue..

 

On explique pourtant comment trouver des idées pour faire autre chose qu'avec son matos.

Le résultat parce qu'aucune concentration et difficulté de sérieux et d'attention.

Concentration nécessaire le moment venu, partout, pour et sur tout. Tout reste à dispo, y a plus qu'à fouiller.

Quand votre phrase clé sera notée et énoncée clairement, elle fonctionnera pour une fiction, un docu, un reportage, une simple vidéo.

C'est sûr que çà demande du courage même que sur la plus petite ambition.

Ne dîtes pas que vous ne connaissez pas déjà, d'une manière consciente ou inconsciente.

Rappel : courage d'affronter ses doutes, ses peurs, ses pudeurs, sa confiance en soi.

D'ailleurs, je ne peux que vous suggérer comment trouver une idée.

Car après l'avoir notée et énoncée clairement pour clarifier le QUOI et travailler avec sur un QUI, cela ne relève plus en effet de la discussion.

D'autant qu'en peur et pudeur à surmonter pour garder sa confiance en soi pour les plus grandes ambitions, il y aura comme David Lynch, à encore confronter ses propres animus et anima pour pouvoir passer aux techniques de développement et de narration en vue du sens et des ressentis à se missionner.

Je ne peux aider qu'hors cadre de la discussion et pour le débarras, pas de souci. Je n'aurais perdu que la partie de la journée qui n'a pas été occupée à mieux.

Je vous libère la place et la parole.

 

Pour ma part ce ne sont pas des idées que je cherche mais des gens, des gens intéressants ayant quelque chose à raconter (ce sera encore le cas du prochain).. Mais bon, je ne suis pas (pas encore en tout cas) dans la fiction, mais dans le documentaire... C'est peut-être plus facile...

 

En effet, @Charlie et c'est tout autant louable.

Mais quand tu auras le sujet d'un docu avec ces rencontres, jettes un oeil quand-même. Le raisonnement "quoi et qui" sera autant valable (et à dispo) et que si doutes ou hésitations.

 

Mais il est déjà en route, le suivant ... Une figure emblématique de Montauban, un peu comme Napoléon, le coutelier de la place Nationale, déjà présenté ici....

 

D'ailleurs, jamais fait de souci pour toi. Un exemple, la lettre de ton jeune résistant à sa fiancée dans ton montage, était déjà dans ce raisonnement.

Là, je répondais pour trouver une idée en encourageant à la développer avec de l'intentionnel sur l'instinctif en précisant par quoi commencer. C'est la suite qui se corse et du moment que toi, tu as bien traité ton sujet qu'en ne faisant confiance qu'à ton instinct (mais aussi certainement avec beaucoup de jugeotte), tu ne mérites aucun reproche.

La hiérarchie n'est pas fiction/docu mais le degré d'ambition et tu es parvenu à te conformer à la tienne.

(Mon domaine n'est qu'en effet la fiction et oui là, je ne plaisante plus sur les degrés d'ambition quand c'est la paresse dont de concentration, qui les descend trop bas. Anima maman n'est pas contente )

 

Bin dis donc ...
J'ai comme un seul souci ....
1) j'ai pas de doutes !
2) j'ai pas de peurs
3) j'ai pas de pudeurs pudiques
4) j'ai une absolue confiance en moi et ce depuis ma plus tendre enfance...
5) j'ai toujours été ambitieux...
6) mes propre animus anima ont du prendre la tangente depuis longtemps
7) Impossible alors de me missionner mes ressentis ..quant au sens de mon développement trop tard c'est foutu.

Par contre je prend toujours mon pieds à filmer, uniquement ce qui me fait plaisir ...

C'est grave Docteur ?

Pour la foret ..déjà répondu ..contemplation simple

 

Bravo @bcauchy, justement, je voulais me servir de ton si bon commentaire concerné pour ajouter un point.

Tu ne contredis pas l'archétype du temple et je voulais aussi rappeler ou proposer de s'en servir comme un studio géant comme le font déjà parfaitement les animaliers dans une forêt jusque dans les montagnes ou en safari.

Je persiste à croire que la démarche est commune à tous et toutes.

Ma vision et mon approche persos sont en effet très influencées par un temple que j'investissais à l'école buissonnière, les studios de boubou et de bibille. Errant dans les couloirs pour humer l'ambiance alors ressentie légendaire, j'ai osé une fois entrouvrir la grande porte d'un plateau inoccupé où entrevu dans le décor vide et obscur, une caméra Panavision posée sur pied qui attendait uniquement éclairée par un spot resté allumé aux plafonds. Je l'ai pris sans doutes, ni peurs, ni pudeurs comme un signe céleste me confirmant je me trouvais bien dans mon temple personnel.

Par conséquent et une bonne fois pour toutes sur la connerie de métaphysique dite jusqu'à délirante et le nombril qui gratouille, je suis quand-même assez surpris qu'un "pôv matheux" comme toi, ne tienne pas à saisir et surtout apercevoir ou observer le dimensionnel dans une mise en images ET en sons (les dits "bruits environnants") et les forces universelles en présence dans les lignes et les formes ; et les directions de lumière (dont d'un spot au plafond).

(Et de d'abord visionner en muet pour aider à introduire les mêmes dimensions jusque dans les sons, dans l'espace sonore).

Afin enfin d'en situer un centre d'où tout projeter ou vers où tout projeter.

Surtout quand l'instinctif projette déjà un titre "Les mémoires de nos peines" sous l'archétype d'un angelot écrivant à la plume, au travers non pas d'une fenêtre mais de la vitre d'un miroir offert à un public.

Attention, peut-être que le nombril gratouille encore quand on veut s'interdire à vie de le regarder.

Sinon qu'heureusement :

Supplément piste stimulus aux jeunes court-métragistes de fiction, au QUOI "Est-ce qu'on peut arriver, tu y crois ?", le seul qui pourra répondre avec un point d'exclamation (oui mais à qui ?) : "Oui, on peut y arriver, j'y crois !", c'est le QUI).

 

Je propose un remède pour le nombril qui gratouille : finie la "contemplation simple"

 

Au fait, relu notre discussion tendue d'hier et faut aussi prévenir notre jeune apprenti méritant @Charlie et ce, très gentiment et respectueusement, qu'avec ses rencontres, il part de droit du QUI.

Nuance à alors envisager en vue d'un QUOI : pas qu'emblématique ce QUI puisqu'il évoque à lui seul et même qu'un peu, un mythe de la mémoire collective sur la place Nationale de Montauban, toute la France et à l'international ...

Pas n'importe (quel) quoi, venant d'un si respectable petit artisan coutelier

(Non, ne pas le prendre pour du harcèlement scolaire, que du anima maman qu'engueule aussi et avec la même virulence, animus papa protecteur quand faut le remettre au turbin ).

 

Heureusement qu on ne sert pas d alcool au café du repaire... quoique...

 

Encore une giclée d'essoreuse pour la route (et non alcoolisée @mhr ) :

Oui c'est grave Monsieur le patient, ton nombril que tu crois avoir écarté à vie, ne t'a pourtant laissé la vue que sur tes au lieu de ne seulement te préoccuper que de ceux de ton public (edit : en prétextant une) métaphysique inventée pour justifier t'en dispenser.

Ce n'est pas çà un nombril sain, vital en animus et anima

Je ne peux donc que te signer et gratuitement l'ordonnance "finie la contemplation simple"