Paul (court-métrage 2019)

Bonjour,
je vous présente mon dernier court-métrage (auto-produit), Paul.



Bon visionnage.

 

C'est osé, l'image est belle et agréable...cela raconte quelque chose mais je ne suis pas très sur de ce que cela raconte .. en même temps c'est aussi ta tournure d'esprit..ton style...cela reste assez flou ... volontairement.

Les comédiens ne sont vraiment pas mauvais et/ou pas mal dirigés... pas facile il me semble de rentrer dans son personnage ici.

Pour la bande son ..j'imagine que dehors c'est le bruit des cigales (1'31")...ça envoie fort...

Il y a un pb de raccord à la fin ...si si ... le bateau a bien gardé son axe..bravo mais vous avez du répéter la scène pas mal de fois parce que la côte a bien grossi entre les 2 plans, sans et avec le personnage Paul... ça c'est juste pour faire l’intéressant

Beau boulot pour moi.

 

Oui il y a un petit pb globalement ici sur cette scène..
A " explosé le budget ....etc " hop le gain revient...le preneur de son suit mal le frisé , manque d' homogénéité dans cette scène cela m'avait titillé... au casque bien sur ..moins significatif avec des enceintes j'imagine.

 

Bonjour Coupich et à tous,

Très bien filmé et découpé (et pas eu de souci de son sur un portable aussi).

C'est vrai que le sujet n'est pas servi sur un plateau mais mérite l'effort d'y réfléchir et même de méditer dessus, sur les apparences (visibles) et ce qu'elles cachent d'invisible (y compris pour soi-même).

Bravo pour ce véritable exercice d'effet miroir (enfin un "effet cinéma" clair et formidablement mis à l'épreuve ).

 

Merci beaucoup pour vos retours . Je vous en suis reconnaissant.

 

Bonjour Coupich, ton court-métrage révèle un sens du récit très développé qu'il faut persister à cultiver. Un effet miroir de conflit et de dialogue intérieurs (entre la part lumineuse et la part sombre que visé dans le mille, chacun et chacune possèdent en soi ... en flots opposés mais égaux que tu as divisé en 2 personnages mais qui reste 1).

Je pense et je te le souhaite, que tu t'ouvres de très belles portes pour émouvoir jusqu'à émerveiller ton public.

Ton plan final sur le bateau détient un esthétisme majeur (tel qu'il te et nous faut continuer à étudier et apprendre).

Félicitations, tu laisses une impression, un parfum ... (d'une véritable leçon de langage).

(Bravo forcément à ton équipe technique et tes comédiens pour t'avoir permis le professionnalisme de ce bel exercice, cette recherche et ces pistes finalement formatrices ... initiatrices).

 

Waou! Merci beaucoup! Je vais encadrer ton com' et le mettre dans mon bureau pour me motiver à continuer à bosser. Merci encore!

 

bonjour Monsieur Coupich
Très bonne réalisation sauf les premières cigales qui m’empêchent de comprendre le dialogue.
Quand Paul essaie de travailler à son bureau, sur le plan en plongée son stylo est posé à droite. Puis, de face, il écrit de la main gauche. Ca n'a pas d'importance sauf pour moi véritable faux gaucher.
Je n'ai pas compris après le cocktail . C'est Paul qui chute mais c'est le "frisé" qui git à l'hosto. Ce doit être parce que je n'ai pas suivi de cours universitaires.

 

Bonjour Gruuz, pas eu le temps non plus pour l'université et donc "seulement" autodidacte (si en fait comme toi, l'université de la vie), c'est le même et unique personnage (ce qui excuserait d'ailleurs qu'il soit aussi gaucher ou droitier mais bravo, même pas vu !).

Il est montré sous 2 visibilités et invisibilités opposées que tu devrais reconnaître réunies en toi-même (mais égales en flux ... d'egos pour venir interroger où, comment ou sur quoi trouver plus de paix et d'harmonie).

Je laisse évidemment Coupich répondre en lui précisant une phrase clé dans le cadre fixé à son bureau (et peut-être à imprimer en rouge ou autre) :

Le seul vrai amour qui compte en tenant à aussi le faire rire ou pleurer ou surtout rêver car comme Tati (encore ?) le disait : "Le film commence quand vous quittez la salle" (ndr : pas avant, pas pendant).

 

Bonne pièce de théâtre

 

C'est un court métrage

 

Ah bon, je n'avais pas remarqué

 

Bonjour à vous, c'est le couperet que moi-même je craignais (d'où mon insistance sur l'émotion et l'émerveillement). Discussion intéressante en vue avec Coupich dont je laisse le droit de réponse.

(ce qui ne retire en rien à la réussite de l'exercice).

 

Merci pour ton commentaire.
La schizophrénie, le trouble de l'identité est le thème caché du film. Il y a toujours 2 éléments pour confirmer cette bascule entre Paul et l'Autre à la fin: le changement de photo en couverture du livre, puis l'apparition de Paul sur le bateau.

En premier plan je voulais parler de l'opposition et de la jalousie d'un prof dépressif pour un autre, et surprendre en révélant qu'ils sont les deux facettes du même Paul qui s'est dépersonnalisé, dissocié suite à un traumatisme.