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[CommentFaire?] Comment garder son équipe, son projet et le reste ?

Discussion dans 'Faire son film' créé par MisterP95, 24 Décembre 2016.

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  1. désactivé0517

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    Non Toujours est totalement et absolument faux. Parfois, serait plus adapté.

    Un immense Chef Op comme "Eric Gautier" (je prends volontairement un Chef Op français) a aussi bien éclairé les films de Laos Carax que ceux d'Arnaud Desplechin, que Patrice Chereau que Into The Wild de Sean Penn, que Tykho Moon de Enki Bilal....

    J'ai suivi un de ses master-Class durant lequel il explique justement le contraire de ce que tu avances. Il explique combien le rôle du Chef Op consiste justement à se plonger dans un univers, en s'effaçant, sans jamais appliquer sa patte personnelle qui pourrait nuire à l’œuvre du réalisateur pour lequel il travaille.

    Je te propose Tseuk de lire le livre du très grand Philippe Rousselot (La sagesse du Chef Opérateur - Editeur JC Behar) qui explique exactement la même chose, l'effacement du technicien au profit de l’œuvre, l'immense capacité d'empathie qu'il doit avoir pour sentir, ne pas trahir, ne pas appliquer des recettes personnelles, ne jamais imaginer la lumière au travers de son propre filtre mais au travers de celui du réalisateur...Il explique justement combien les mots ne permettent pas de partager l'image.

    Je t'invite également à lire le livre de Sidnet Lumet ( Faire un Film - Éditeur Capricci) où il explique justement (bien rangé par chapitre) combien les techniciens (musiciens / Chef Op et Ingé son...) avec des habitudes, des préjugés techniques l'ennui dans son travail de réalisateur et qu'il cherche au contraire des techniciens souples et capables de se remettre en question pour servir un propos, un cadre, une narration, un réalisateur, une œuvre.

    Je viens de terminer le livre de Baptiste Roux ("Au delà de l'image" sur Stanley Kubrick - Éditeur Compagnon de route) ou Kubrick vire un Chef Op car celui-ci ne comprend pas pourquoi il souhaite utiliser un 14mm sur un plan. Kubrick lui dit que si ce n'est pas son style, qu'il aille faire des films et se lance dans la réalisation...

    TseuK je te conseille de partager ici avec avec des Chefs Opérateur son et autre stechniciens, qui te diront tous la même chose. A chaque film, on remet tout à plat, on se met au service, on s'efface pour mieux servir (l’œuvre).

    Christopher Doyle qui a fait tous les films de Won Kar Wai est un Chef Op avec un style, mais c'est une exception.

    ----------------

    Et lorsqu'on apprend son métier de Chef Op image ou de Chef OP son, ou de cadreur, ou de costumier, on apprend justement à se mettre au service d'une oeuvre !
    => le style n'est "nécessaire" que pour ceux qui réalisent des oeuvres !!

    Les techniciens doivent eux, développer un savoir faire, des techniques, des approches multiples, mais surtout pas de style !!! C'est contradictoire avec le rôle du Chef de poste au cinéma !
    Un technicien qui a un "style" s'enferme dans un univers, réduit son champ d'action, et ne pourra travailler qu'avec un réal dont il partage ce "style"...

    Mais développer un savoir-faire, des stratégies, des approches...ça c'est essentiel pour un technicien.
    Laissons le style aux stylistes.
     
    #31 désactivé0517, 28 Décembre 2016
    Dernière édition: 28 Décembre 2016
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  2. Video 92

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    Pour moi en tant que technicien son ou montage, chaque projet est nouveau et la première chose à faire c'est l'écoute du réalisateur exposer son projet, ses idées, ses attentes. Ensuite on décortique le projet et on apporte des solutions en fonction de son vécu en accord avec le réalisateur.
    On se doit aussi de proposer des idées qui seront validées ou non.
    Il est très important de faire des essais pour valider des solutions qui permettront lors du tournage de ne pas perdre de temps zn recherche couteuse en temps.
    Avoir un style c'est peut-être bien, mais cela enferme l'individu qui ne voit pas de proposition permettant d'évoluer.
     
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  3. tseuk

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    Non je ne t'expliquerai pas...Car un compositeur c'est un artiste et pas un technicien, ce n'est pas un chef de poste sur un tournage...
    En revanche, tous les instrumentistes qui travaillent dans l'orchestre qui joue sous les ordres du compositeur ne sont pas choisis pour leur style, mais pour leur technique...C'est pareil sur un plateau de cinéma.
    Les musiques des films sont souvent commandées ou demandées à des groupes, des chanteurs....Donc rien à voir avec le sujet dont on parle...
    Quelle mauvaise foi Tseuk ! ha ! ha ! ha !

    Et je te répète, un technicien même en devenir, un monteur / un chef opérateur / un cadreur / un maquilleur / un coiffeur / un costumier...ne doit pas développer "un style", mais un savoir-faire...même s'il démarre. Né, ou pas complètement né !
    Le style c'est pour les "artistes".

    D'ailleurs le site que tu mets en lien ne fait que confirmer ce que je tente de te faire comprendre (en vain il semble) :
    Il faut avoir de très nombreuses références artistiques, de connaissances techniques, pour pouvoir s'adapter à un projet.

    Mais un Chef Op. qui a un style c'est un réalisateur qui ne s'assume pas... c'est une citation de je ne sais plus qui (mais pas de moi)
     
  5. tseuk

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    C'est ton avis ok.

    mais contrairement à ce que tu dis, le site présente justement le style des chef op', qui sont des "artistes" de la lumière ( pour moi et pour plein d'autres, mais pas pour toi, ok )

    Lynch ne "commande" pas Angelo Badalamenti, mais travaillent en bonne intelligence, autant qu'un travail dans un orchestre avec des solistes. et donc pour moi une costumière n'est pas qu'une servante qui doit servir une "œuvre". Une œuvre n'est que le bon résultat de multiples talents dirigés dans la liberté de leur "arts". Un réalisateur peut aussi se faire sortir par des producteurs, le tout est le fruit ( pour moi ) de savoir-faire et du hasard. Une "œuvre" n'est pas écrite à l'avance par un seul homme.

    C'est ma vision des choses que je transmets à Mister, je ne demande pas à la partager, mais pour moi si il veut former une belle équipe, c'est former une équipe de créateurs qui diront toujours : "il m'a donné la chance de me trouver, de me réaliser", histoire que le cinéma ne soit pas qu'une histoire d'égo ni de troupe militaire, mais d'une addition de talents.
     
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  6. désactivé0517

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    Mais je ne défends pas Ma vision Tseuk, car mon avis, la plupart du temps, ne représente que bien peu d'intérêt...

    Mais tous les grands maitres (je parle bien des Grands Chefs de poste au cinéma) de mon métier partagent cette même approche. Ce n'est en rien mon avis à moi tout seul (ha! ha ha !), c'est juste que je suis fais de cette matière.

    Mais il n'y a aucune honte à servir une œuvre, bien au contraire !!! C'est même très difficile, et il faut du travail !
    C'est notre métier à tous les techniciens d'un plateau et de post production que de servir un projet !
    Le talent d'un Chef Opérateur, d'un costumier, d'un monteur, ne se mesure pas à son style, mais à sa capacité à comprendre un univers, à sublimer un projet à trouver le moyen de toucher au plus près ce qu'attend un réalisateur.

    Je t'assure que cela demande beaucoup de travail, beaucoup de savoir-faire, mais il n'est demandé aucun style, au contraire (!!), il est important d'effacer son égo, de ne jamais privilégier sa vision propre. Ce n'est en rien honteux, au contraire c'est génial !

    Travailler sur un drame, puis sur une comédie, puis sur une pub, puis sur un film fantastique, puis sur un clip...c'est autant de remise en question, de remise à plat, d'expériences enrichissantes.

    Tu confonds le talent et le style, mais ce sont deux choses bien différentes !
    Le style c'est le point de différenciation, c'est la signature, la forme, l'écriture du créateur (du réalisateur)
    Le technicien Chef de poste ne doit jamais mettre en avant son style, mais son savoir-faire...Mais il peut le faire avec talent !

    Encore une fois, je n'exprime pas mon avis mais je partage avec toi, un des principes fondamentaux du métier de chef de poste.
    Je t'invite à questionner d'autres, à lire aussi les livres qui traitent du sujet pour découvrir que ce que je tente de te faire comprendre n'est pas "un avis", mais un principe de base de mon métier.
     
  7. homero

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    Je dois dire que l'on peut rencontrer les deux, la version "Tseuk" est fréquente en télé pour des magazines, des soirées thématiques, des docs où les équipes étaient réduites et où les prods choisissaient un chef-op qui lui sélectionnait son équipe parce qu'elles savaient que cela allait pallier aux carences d'un réalisateur débutant ou d'un auteur ayant proposé un bon sujet mais n'ayant jamais pratiqué, que de toute façon l'histoire serait ramenée, complète, montable et donc à l'antenne, avec temps, budget ET cahier des charges esthétique de l'émission ou de la chaîne. Toute la différence entre gros bataillons et "forces spéciales" ;). Là oui, il faut des gens capables de sortir de leur rôle, d'improviser en permanence y compris face aux difficultés techniques ou à d'éventuels faiblesses de contenu (la question qui débloque un interviewé parce que l'équipe a écouté et repéré un manque d'info), d'avoir un background culturel ou/et linguistique facilitant les mises en place et la communication et le tout dans une bonne humeur rassurante mais ça ne se rencontre guère que dans le cas de figure cité plus haut, c'est une autre approche du métier et d'ailleurs est-ce tout à fait le même ? MisterP95 a le choix ...
     
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  8. cournonsec

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    Bigre ! Tu tournes avec l'enchanteur Merlin comme chef opérateur ? :unsure:
     
  9. désactivé0517

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    C'est incontestable Homero !
    Mais ce que tu décris n'appuie pas "l'avis" de Tseuk, au contraire.

    Il n'est nullement affaire de style dans ce que tu décris bien homero, mais de compétence(s), de polyvalence, de capacité à s'adapter et même de prendre en charge l'incompétence des autres...

    Je pense à Raoul Coutard, immense Chef Opérateur qui est mort il y a quelques semaines.
    Raoul Coutard avait été embauché par Godard pour son premier film "A bout de souffle" car il connaissait les caméras d'épaule grâce à son expérience de reporter de guerre, de documentariste. Le film de Godard n'avait pas de budget, pas de moyens, il fallait tourner avec 4 vieux projos et une caméra 16mm...On pourrait dire que Godard appréciait le "style" de Coutard (afin de contenter Tseuk).

    Coutard a ensuite continué d'exploiter "son style" caméra épaule, cinéma "vérité", avec Truffaut dans Jules et Jim et d'autres réalisateurs de la Nouvelle Vague encore.
    Mais c'est avec Pierre Schoendoerffer sur le magnifique film "Le crabe Tambour" que son style "s'efface" pour devenir un grand Directeur Photo.

    Il tournera ensuite avec des réalisateur aussi différents que Gavras, Ishima, Molinaro...
    Il est passé d'un "style" à un "savoir-faire" lui permettant d'éclairer et cadrer des films très différents, en se mettant au service de réalisateurs très différents. S'il s'était enfermé dans son "style" il serait mort professionnellement une fois le public et les réalisateurs fatigués de cette forme de cinéma / docu...
     
  10. tseuk

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    Je comprends ce que tu veux dire, je ne pense pas que l'on soit opposés dans nos visions, au contraire, et que tout se joue dans les marges de manœuvre/créativité des intervenants.

    Tu illustres ce que je viens/nous venons de dire : "...Raoul Coutard avait été embauché par Godard pour son premier film "A bout de souffle" car il connaissait les caméras d'épaule...", il n'a pas été prendre un gars qui ne travaille qu'en grosse machinerie.
    .
    "...S'il s'était enfermé dans son "style" il serait mort professionnellement ...", j'ai dit "style", pas "manie" :-), pour moi le style est une façon qu'on a, sans se rendre compte, de façon naturelle d'aborder les nouveaux tournages, un réalisateur peut aborder tous les genres ( sf, western.. ) avec un même style. Ce style évolue avec le temps les rencontres. Le talent, pour moi, c'est le niveau de qualité du "service", de la "prestation" ;-).

    Il faut aussi délimiter la spécificité du film
    - Plus le film est gros, + il y a d'intervenants, + les marges de manœuvres sont réduites, + c'est militaire pour que ça fonctionne : :!!!::jap::jap::jap:
    - Inversement + le film est petit, + les intervenants sont polyvalents, moins ils sont compétents dans un domaine précis. :!!!::cool:
    - La renommée des intervenants : un 1er film avec un chef op chevronné.... :!!!::hum:
    - Le niveau d'apprentissage des intervenants, niveau d'implication des producteurs, et là je me place au niveau des jeunes n'ont aucune expérience ou film qui démontre leur qualité. :help: :!!!::rolleyes::hum:o_O:mdr::hello:

    Si j'ai bien appris une chose, on ne peux pas comparer pas une équipe de débutants à des équipes chevronnés et des réalisateurs au meilleur de leur carrière.
    Ce que je veux dire, c'est que le style de Coutard, il s'est fait jeune quand il a eut les coudées franches, en reportage et en docu, s'il avait directement travaillé avec des grosses machineries, Godard ne l'aurait pas appelé. Il aurait été un autre spécialiste. MisterP95 en est au reportage de guerre, il est au stade du "tout humain", du "tu es qui pour me dire ça ?" Donc la seule chose qu'il a offrir à un autre jeune, c'est sa marge de créativité.
     
    #40 tseuk, 29 Décembre 2016
    Dernière édition: 29 Décembre 2016
  11. homero

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    Mince je ne savais pas que Coutard avait cassé sa boule de Spectra c'est toi qui me l'apprend ! :sad:
    A l'inverse certains dirphots historiques ont été remis au premier plan par de "jeunes" réalisateurs (à l'époque), je pense à Alekan par Wenders, Raul Ruiz, Amos Gitaï ou Sacha Vierny par Peter Greenaway, ils n'avaient jamais cessé de travailler mais étaient considérés comme de la vieille école.
    Pour les reporters, ça fait d'excellents opérateurs de seconde équipe ... "Coco, le me faudrait ça, ça et ça ... et aussi ce qui te plait !", le gars prend son Camé ou son Arri IIC, un chauffeur-assistant et part à la chasse ... les fois où ça m'est arrivé j'adorais ça ... plus que de me retrouver coincé sur un Elemack ! Seul regret les grosses bouffes à la cantoche avec des équipes de marrants ... Fin du H.S. !
     
  12. Video 92

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    Tout est dit, mais tseuk complète ton profil sur le Repaire au cas où quelqu'un aurait besoin de tes services.
     
  13. désactivé0517

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    Coutard avait des "Manies" ???
    Excuse-moi Tseuk, mais si je regarde la définition du mot "manie" voilà ce que propose le dictionnaire :
    • Habitude, goût bizarre qui provoque la moquerie ou l'irritation : Il a la manie de se regarder dans la glace.
    • Goût excessif, déraisonnable pour quelque chose ; obsession, idée fixe : Avoir la manie de l'ordre.
    • État de surexcitation des fonctions psychiques caractérisé par l'exaltation ludique de l'humeur, l'accélération désordonnée de la pensée et les débordements instinctuels.
    Dire Que Coutard avait des manies....Je ne comprends pas ce que ça veut dire...
    Il avait acquis des réflexes, des habitudes de travail, des techniques particulières, par la contrainte de l'environnement dans lequel il travaillait, par la nécessité technique...Qu'on lui a demandé de mettre à profit dans ces premières expériences au cinéma.

    C'était déjà un professionnel avant d'être appelé par Godard, un grand professionnel même, mais pas dans le cinéma.
    D'ailleurs Raoul Coutard raconte comment il est arrivé dans ce métier par opportunité dans son livre très drôle :
    " L'Impériale de Van Su - Ou comment je suis entré dans le cinéma en dégustant une soupe chinoise, aux Éditions Ramsay.


    Si je regarde la définition du mot "style" je trouve ceci :
    • Façon particulière dont chacun exprime sa pensée, ses émotions, ses sentiments : Avoir un "style".
    • Forme de langage fonctionnel usitée dans une activité de type administratif, commercial, etc. : Style administratif.
    • Ensemble des caractères formels esthétiques de quelque chose : Bouquet d'un style prétentieux.
    • Qualité de quelque chose ou de quelqu'un qui présente des caractéristiques esthétiques, originales, reconnaissable : Maison qui a du style.
    Moi, en tant que Chef Op, j'ai des manies, des maniaqueries même. Mais je tente de m'en défaire...
     
  14. MisterP95

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    Pour en revenir au sujet de base, il n'y a pas de problèmes pour le tournage. D'ailleurs l'ambiance est particulièrement bonne, il n'y a juste aucune motivation pour l'organisation et pour la planification du tournage... car tous, cherche un "vrai travail rémunéré" le reste de l'année... et donc le tournage traine jusqu'à ce que tout le monde soit disponible...
     
  15. désactivé0517

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    Ben tout va bien alors si c'est juste le tournage qui traine en longueur!
    Mais lorsque je relis ton message initial... le problème ne semblait pas celui là...

    Alors que te dire sinon = Patience et pugnacité.
     
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