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Le tournage DATA et le problème de l'archivage [Cartes mémoire, HDD, P2, SXS, etc...]

Discussion dans 'formats sans bande' créé par barraalice, 17 Septembre 2007.

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  1. benoitm

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    Alice,

    D'ac, mais on pourrait argumenter en disant que
    1) le 25 Mbps est peut-être (actuellement encore) ce qui concerne le plus d'utilisateurs, toutes catégories confondues
    2) au moins on a une base de comparaison qu'il est alors facile d'extrapoler pour les autres débits...

    quand au prix du Go, on pourrait simplement laisser une case vide là où cela ne s'applique pas...
     
  2. barraalice

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    Hum... je sais pas. Pour moi le tournage Data c'est quand même et surtout le tournage sur les P2 en DVCPRO HD 100 (déjà très répandu grâce à la HVX-200) et bientôt le tournage sur les SXS en XDCAM HD 35 Mbps (en passe de devenir un incontournable). Les solutions 25 Mbps sont justement plutôt l'apanage des solutions sur bandes DV et surtout miniDV, en raison de leurs débits compatibles avec les solutions existantes.

    Le prix au Go en revanche pourrait être un bon critère, mais il dépends de la taille du média, et sur les solutions à bandes c'est particulièrement irréguler (chaque nouvelle version entraine un doublement de la capacité, mais le prix des cartouches ne double pas pour autant, et il a même tendance a baisser significativement avce le temps...
     
  3. barraalice

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    Bon, les contributions s'étant un peu calmées je propose d'essayer de tirer un peu une conclusion de ce dossier.

    Au vu des différentes intervention, je dirais que le premier élément à prendre en compte est indubitablement l'utilisateur. Dans notre cas j'ai dénombré différents utilisateurs (triés par rapport au coût des solutions impliquées) et j'ai tenté de déterminer la ou les solutions les plus adaptées à chacun d'entre eux.

    - Le consomateur de mini équipements électroniques (parfois référencés sous le nom de gadgets) : Ce sont les solutions généralement très portatives : téléphones portables ou appareils photo avec fonction vidéo, mini combis photo-vidéo etc.
    Le support d'enregistrement est généralement de type carte mémoire (SD, memory stick, micro SD, micro MemStick etc.) et le flux vidéo généré est fortement compressé, plutôt basse définition, à l'aide de codecs allant du MJPEG au mpeg4.
    Les utilisateurs sont rarement concernés par la qualité des images de leur appareil, le support de diffusion étant typiquement le même, l'image est toujours petite, et peu définie en raison de la faible résolution des écran (le HD mobile, comme annoncé par orange, concerne les vidéo de résolution suppérieure au 320x240 ! c'est moins que le quart de la taille d'une image dvd, et c'est 1/27 de la taille d'une image HD 1080)
    Comme tout tournage data, la taille des cartes mémoires n'est pas infinie, et il faut soit trier, soit archiver. Pour ce faire, la solution la plus conviviale reste je pense le gravage CD/DVD. Tous les ordinateurs sont équipés et les médias vierges coûtent moins d'un euro pièce. Certains logiciels comme Nero Vision Express permettent également de convertir les vidéo au format DVD vidéo dans la plus grande simplicité pour pouvoir en profiter directement en DVD dans le salon, et produire des copies pour les amis. Ce type d'utilisateurs est rarement intéressé par le montage de ses images, et si il l'était un jour, il lui sera toujours possible de convertir ses images dans un format adapté au montage, la qualité des images étant à mon humble avis intrinsèquement lié à la captation, et non aux traitements ultérieurs (encodage dvd, etc...)

    - Le consomateur de solutions vidéo grand public : Souvent dénominé comme l'utilisateur familial. Il accorde une plus grande importance à la qualité des images et à leur pérénité, mais n'a pas forcément beaucoup de connaissances techniques. Les appareils data qui lui sont destinés sont généralement des camescopes vidéo de poing, petits sans être minuscules, avec une qualité correcte tant que les conditions restent raisonables (faibles contrastes, illumination globale confortable) et des résolutions d'enregistrement allant jusqu'au full HD.
    Le support d'enregistrement est généralement de type carte mémoire ou disque dur intégré. Les premiers étant plus portatifs pour les conditions particulières de prise de vue telles que les journées au ski, la randonée etc. les seconds ayant une plus large capacité en vue d'un voyage ou d'un événement de longue durée.
    Beaucoup de ces utilisateurs ne sont pas intéressés par le montage non plus, le seul impératif qu'ils se fixent c'est de pouvoir revoir leurs images plus tard. Ceux qui à la rigueur se seraient investis dans le montage l'ont fait pour rendre plus agréable le visionnage de leurs images, mais une fois fini c'est généralement le rôle de mémoire qui leur est confié.
    Les solutions de stockages de ces images doivent donc vérifier deux points : ils doivent être faciles d'accès, car les utilisateurs ne sont pas des techniciens, et ils doivent présenter une (relativement) bonne durée de vie. Je pense également que le format de stockage doit être lisible facilement, car on ne regarde pas une vidéo de famille comme on compulse de vieilles archives. C'est avant tout une expérience qui doit être simple à mettre en place, et par le plus grand nombre.
    Personnellement je préconiserait là aussi les médias optiques 12 cm, avec la vidéo formatée pour une lecture imédiate. Le DVD si la source est en SD, le HD-DVD/Blu ray si la source est en HD. Dans la perspective de conservation des images, il paraît plus sensé de conserver autant de résolution que possible, ainsi la downconvertion en SD et le gravage en DVD serait parfaitement domage si la source des images est en HD (dans 20 ans on aura vraisembablement tous des téléviseurs HD). J'encourage donc vivement lesdits utilisateurs à s'équiper d'enregistreurs HD. Le cas échéant il est également possible de stocker de la vidéo HD sur un DVD ordinaire, quelques petites recherches sur les solutions existantes s'imposent mais devraient pouvoir s'envisager sans coûts prohibitifs. La fiabilité de ces médias étant parfois remis en cause, il semble également qu'il soit sage de se discipliner à restaurer sur des bases régulières, disons tous les 5 ou 10 ans, les données sur des médias neufs, voire dès la fabrication du premier média de doubler le nombre des copies pour s'assurer plus de sécurité dans la conservation de ces précieuses images.

    - Le prosumer : appellation marketting qui tire son origine du mélange entre les termes "professionnal" et "consumer", littérelement le professionnel et le consomateur (sous entendu le particulier). Le prosumer peut provenir de plusieurs horizons. Certains sont des amateurs éclairés qui ont investis dans leur passion pour travailler avec du matériel de bonne qualité, d'autres sont des professionnels qui vendent leurs prestations et ont donc besoin de matériel de meilleure qualité que les camescopes grand publics. Il existe peu de solutions data à l'heure actuelle pour cette catégorie d'utilisateurs : Panasonic fabriqu le HVX-200 avec deux slots P2 et Sony viens tout juste d'annoncer le PMW-EX1, premier camescope de la marque à enregistrer sur des cartes mémoires SxS. Les solutions à bandes étant plus largement dévellopées. Néamoins les choses changent, et le workflow de la dématéralisation des supports apportent leurs lots d'avantages. Néamoins pour ces utilisateurs le stockage revêt une importance capitale : En effet les captations et les montages sont souvent suceptibles d'être réutilisés à des dates postérieures au premier rendu, et généralement avec une dimension pécuniaire. Il est donc capital que les contenus vidéo soient conservés sans dégradations, ni en raison du support, ni en raison de la durée de conservation. Il me parraôt donc indispensable de mettre au point une véritable politique de conservation de ces images. La durée de fiabilité moyenne d'un disque dur est environ de 5 ans, donc tout stockage sur ce média doit absolument être assorti d'une sécurité suplémentaire de redondance : SAN en raid, restaurations périodiques avec doublages des copies etc...
    Les alternatives aux disques durs sont nombreuses mais parfois hors de budget pour cette catégorie d'utilisateurs. Chacun sera libre de faire comme il l'entends. Les possesseurs d'autres camescopes (XDCAM, DVCPRO, HDV) auront probablement tout intérêt à sauvegarder leurs métrages sur médias correspondant à leurs autres matériels (Pro Disc, Bandes DVCPRO, Bandes HDV). Ceux qui en revanche n'on rien devront mettre au point une stratégie personnelle qui aura imancablement un certain coût. Les sorties sur bandes sont probablement les larges en capacité par média, mais pas forcément comodes à utiliser.
    Personnellement j'opterais pour la sortie sur disques optiques (préférablement des Blu-Rays) : il n'y a pas à faire l'aquisition d'un système de stockage professionnel et la redondance est facile à mettre en place pour augmenter la sécurité, de plus l'accès aux données est très facile et peut même être robotisé et mis en réseau.

    - Les pros du Journalisme (JRI) et les pros du corporatif (parfois regroupés sous le terme "boîte de production") : deux types d'utilisateurs fort différents mais dont l'offre des solutions data sont les mêmes. Seuls deux constructeurs s'y sont frottés : Panasonic avec ses camescopes P2 (en SD et en HD) et Grass Valley avec son Infinity. Il doit cependant être rare que ces utilisateurs se retrouve sans aucune autre solution avec un système d'enregistrement existant (XDCAM, DVCPRO, HDCAM etc...) à mon sens l'utilisation de camescopes DATA sera plus motivé par une accélération du workflow entre la captation et la livraison des images, mais viendra bien souvent en complément de solutions existantes. Il parrait logique alors d'utiliser les solutions d'archivage déjà en place, qui sont de plus généralement bien maitrisés.

    - Les équipes D-Cinéma : probablement les premiers à avoir véritablement mis en place des workflows de tournages DATA. La captation peut même se faire uncompressed (bien souvent d'ailleurs) et les solutions mises en place par les équipes actuelles sont très bien maitrisées. Le stockage, qu'il soit transitoire entre le lieu de tournage et le montage, ou qu'il soit pour l'archivage se fait sur des bandes LTO. On peut parfois également trouver un dub HDCAM-SR pour la diffusion des rushes ou des démos de montages, mais l'archivage numérique est généralement sur des LTO...


    Chacun d'entre nous devrait pouvoir se reconaitre dans l'une de ces catégories. Les plus détaillées sont celles des amateurs et de prosumers, car je pense que c'est les utilisateurs qui auront le plus de questions quand aux stratégies à adopter. Les professionnels plus aguéris auront probablement déjà déterminé la solution la plus adaptée à leurs besoins, et les utilisateurs moins impliqués à mon avis ne s'y interresseront pas suffisament (à la limite un upload sur youtube conviendrait presque aussi bien).

    Evidement, les conseils distillés entre ces lignes n'engagent que moi, mais elles s'inspirent très largement des contributions à cette conversation, ainsi que naturellement des divers documents que j'ai pu lire à gauche et à droite. Si une question vous taraude n'hésitez pas à me demander mais prennez peut être d'abord la peine de lire dans la conversation (un petit CTRL+F dans les pages devrait convenir nickel) les interventions associées.

    Bon je sais que ça fait beaucoup à lire d'un coup, mais je persiste sur mon idée initiale de faire un petit dossier pour le repaire, si vous jugez la chose suffisement interressante évidement.

    Alice
     
  4. Hugues Lemoîne

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    Je ne pense pas m'avancer trop en disant que ça interessera un max de monde comme cette dernière contrib et la discussion sur l'archivage où tu montres l'étendue des possibilités actuelles en la matière. De la belle ouvrage Alice dont je te remercie à titre personnel et au nom de ceux qui lisent ta prose avec le plus grand intérêt.
     
  5. bcauchy

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    "...ça fait beaucoup à lire d'un coup.." OUI ....MAIS ..;!!!

    ;) salut Alice
    C'est particuliérement bien fait ..je me joint à Hugues pour te dire "bravo"
    et insiter comme lui ....c'est du " bel ouvrage"
    Tant sur le fond, que la forme ( soignée ) et ..le temps passé ...à minima pour écrire un tel texte...que nous parcourons en quelques minutes ..là ou tu as du passer "un certain temps " ..!!! :jap: :jap:
    Bertrand :cool: :cool:
     
  6. benoitm

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    Juste une petite remarque...la fiabilité dans le temps des supports optiques "brûlés" (DVD+/-R) étant régulièrement mise en doute, il serait peut-être judicieux de rappeler que certaines marques proposent des DVD+/-R "Gold" (à couche dorée donc), dont la longévité revendiquée est tout de même trois à cinq fois plus longue que "les autres"...personellement, c'est là-dessus que j'archive les films familiaux que je stocke en lieu sûr (+ une copie "normale" pour utilisation courante)...
     
  7. fredjke

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    Sauvegarde sur HDD ... qui vous lache

    Un peu hors sujet mais à titre d'info :

    Dans le cas où le disque dur de sauvegarde vous lache et qu'en plus les données ont été effacées du disque de travail qui servait de 2° copie ... bref les données sont perdues, il existe des sociétés qui se sont spécialisées dans la récupération des données de disques durs foutus.

    Cela coute environ :

    16 EUR (pour renvoyer le disque dur)

    0 EUR si pas de récupération possible.

    1000 EUR HTVA s'il récupèrent les données en 4 à 6 semaines

    4000 EUR HTVA s'ils ont récupéré en 3 à 5 jours.

    La majorité des société fabricant les disques dur le font. J'ai utilisé Maxtor/seagate. Ils se sont chargé de renvoyer le disque pour un retour en garantie et j'ai quand même récupéré un disque neuf mais pas les données. Toutes les pannes ne sont pas réparables.
     
  8. Voyageur

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    Très intéressant ce que dit Alice. Mis j'ai dû rater un épisode, car elle liste 3 types de stockage : bande, disques optiques et disques durs. Mais pourquoi a-t-elle omis les cartes mémoire dans cette liste (P2 et SxS par exemple)? Alors qu'elle les mentionne dans le titre de cette discussion?

    Une autre question : Pardonnez-moi si je suis novice, mais pourquoi la bande devient la meilleure solution de stockage pour le D-cinéma mais pas pour la vidéo? Il y a-t-il un endroit dans le forum qui explique la différence entre ces deux types?
     
  9. hola

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    [​IMG]

    les cartes mémoire dans cette liste (P2 et SxS ) sont pour l'instant réservé a la captation vu leur faible capacité/taille et prix..
    par contre le SSD ( DD uniquement composé de mémoire flash ) qui devrait remplacer le DD actuel sera surement un excellent support de stockage vu sa probabilité de panne beaucoup plus faible, liée à l’absence de pièces mécaniques en mouvements......le prix du SSD ne saisse de baisser
     
  10. weedkiller

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    Ce que tu gagnes avec l'absence de pièces en mouvement, tu le perds avec la technologie. La mémoire flash n'a qu'une durée de rétention des données de 10ans (a peu près).
    Il est vrai qu'on peut tout de même la mettre sous tension de temps en temps pour conserver les bons bits aux bons endroits.
     
  11. hola

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    la durée de vie de la memoire flash se calcule en nbr de cycles d'effacement / écriture..

    "Suite à l'interview de Don Barneston nous apprenons donc quelques informations supplémentaires. Ce dernier aborde le point sensible du cycle de vie d'un disque SSD. Selon lui, la durée de vie serait de l'ordre de un à deux millions d'heures soit beaucoup mieux que des disques durs réservés au domaine professionnel. En prenant comme base une utilisation de 120 Mo de données écrit par heure, il faudrait environ 267 heures pour remplir un disque SSD de 32 Go. Cela rendrait le disque inutilisable au bout de 1 500 ans si l'on prend en compte le temps d'effacement "



    dixit generation-nt




    Les HDD 1 et 1,8'' sur le déclin:
    Face à la démocratisation de la mémoire flash, les disques durs de 1 et 1,8 pouce ont de plus en plus de mal à s'imposer sur le marché ...source ---> matbe


    edit ;

    juste pour info :

    SSD Mtron plus rapide que les cartes SxS : 120 Mo/s

    Presence PC
     
  12. weedkiller

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    :non:
    Je parlais bien de la rétention de données lors de l'archivage. Tu mets ton SSD au placard sans aucune source d'énergie, les infos qu'il y a dessus tiendront 10ans.

    Ce que tu décrit est un autre problème des mémoires flash, qui ont des cycles d'écriture/lecture limités, mais ce n'est pas ca qui pose problème lors de l'archivage. (tu écrit une fois des données qui seront lues dans 10-20-30-50ans et plus).

    Par contre je suis d'accord que si tu remets le courant dans un disque flash tout les 10ans, tu conserves les données. (Bon, il faudra sans doute reprogrammer toute la carte).

    Et puis franchement, j'ai l'impression que generation-NT ne comprends pas vraiment la différence : leur phrase est très bizarre. (si je voudrais être vraiment méchant je dirai meme qu'ils n'ont pas compris grand chose, et le fait de ne pas mettre leur interview en source peut être critiquable)
     
  13. hola

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    ah ok....ce qui est déja pas mal quand meme 10 ans mini .....quoique je viens de lire que la mémoire Flash MirrorBit a un minimum de 20 ans de conservation de données à 125 degrés Centigrades....


    Memoire Flash MirrorBit




    bref a suivre
     
  14. weedkiller

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    Oui mais la c'est de la flash NOR, qui n'est pas (ou peu) utilisée dans les solutions de stockage de par leurs faible densité (jusqu'a 128Mo maintenant). Elle est surtout utilisée pour stocker le code et les paramètres à sauvegarder des programmes embarqués, parcequ'on peut exécuter des instructions directement à partir de cette nor.

    Comme par hasard, la NOR chez ST, Spansion (la joint-venture fujitsu-AMD qui à fait une spin-off depuis la news de PC-inpact), a une durée de rétention des données de 20ans.

    Et puis les degrés centigrades, ca existe pas, seulement celcius (ou fahrenheit à la limite). ;)
     
  15. arkham

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    Faut pas exagérer non plus, question "excès de zèle": l'adjectif "centigrade" existe bel et bien et décrit parfaitement l'échelle des degrés Celsius qui va de 0 à 100 (point d'ébullition de l'eau). Le degré Celsius est donc, par définition, un degré "centigrade", puisque basé sur un centième de la différence de température de congélation (fusion) et celle d'ébullition de l'eau. Cet adjectif est courrament utilisé et n'a strictement rien d'incorrect d'un point de vue scientifique, puisqu'il est pratiquement synonyme avec le terme "celsius". Le seul hic, c'est que le degré Kelvin est lui aussi "centigrade" par définition, mais qui donc utilise le degré Kelvin dans la vie courrante?? Dans le genre "abus de langage" courrement pratiqué, même par les plus grands experts mondiaux dans le domaine, j'ai d'autres exemples nettement pires...

    Mais puisque tu cherches apparement à être plus saint que le pape, il faut encore te signaler le fait que tu sembles précisément oublier de mentionner les degrés Kelvin... hi! hi! :)
     
    #75 arkham, 3 Janvier 2008
    Dernière édition: 3 Janvier 2008
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