Un reportage sur les coulisses de la création de courts métrages

Ce reportage... radio date de 2018.

A l'occasion d'un festival de courts métrages, j'ai tendu le micro vers des créateurs passionnés et des professionnels. Ce montage s'adressant à un large public, cela débute par des généralités avant de s'intéresser à des cas plus précis. L'angle porte sur l'équilibre fragile entre passion et financement.
Pour les pressés, le contenu commence vers 2 minutes.

Audioblog | Cinéma, le prix à payer

 

Merci @cv21 !

Ce serait dommage de sauter les 2' d'intro. Un quiz sur les mélodies de cinéma.

Perso, pas d'accord avec tout le monde mais rien de surprenant, c'est normal entre passionnés.

Non parce que eu l'occasion d'assister un tout frais moulu de la femis qui s'est confié pendant une pause clopinette. "J'ai enfin l'impression d'apprendre le cinéma" a-t'il murmuré pour que moi seul l'entende (entre 2 bouffées).

 

Merci @REDoré pour ce retour.

Ci-dessous, des travaux réalisés par certaines des intervenantes du reportage.

Le court métrage "Les trompes de ma mère" de Sara Heitz de Chabaneix. Je trouve intéressant de l'entendre évoquer la réalisation de ce film.


Pour la chef monteuse Clémence Diard, je suis de loin son parcours : (je ne vais pas chercher... dans les archives) de l'adolescente qui réalisait des vidéos dans son quartier au festival le plus connu en France ! Ayant était témoin de sa passion, cela fait plaisir.
CETTE MUSIQUE NE JOUE POUR PERSONNE - Festival de Cannes
La filmographie : Clémence DIARD

Le reportage s'adressait surtout au grand public qui parfois semble ne pas associer le prestige du cinéma à la "précarité/instabilité" des professions artistiques (peintre, photographe, scénariste, écrivain, etc...). Pas pour tout le monde bien sûr. Sinon, je comprends la remarque...

 

Merci @cv21 de ton partage, en tenant à te préciser que je ne suis pas un "anti"femis. Fréquentée à une époque du palais de Tokyo avec des profs pas piqués des hannetons (Louis Malle venant lui me confier (et soulager) sa colère contre les élèves de ses cours de montage qui n'en faisaient qu'à leurs têtes). Vu aussi le directeur d'alors, Jean-Claude Carrière mais dont je n'ai pas fini le confident

Les studios de Francoeur (siège actuel) m'ont réservé d'autres jolis souvenirs (autre stage de formation).

Tout simplement parce que moi-même n'ayant pu faire l'idhec (ex femis, les jeunes), j'ai dûment été recadré dans mon monde qui s'écroulait, pour m'inciter à préférer le court-métrage en école de cinéma.

D'ailleurs, le festival où tu as recueilli tous ces témoignages doit certainement figurer (en fouillant un peu) parmi les lauriers de la vignette de "Les trompes de ma mère".

 

J'aime bien réaliser des reportages au bout de la rue, à côté de chez moi, en l'occurence là, il s'agit du festival court en scène de Troyes. Accueil | Court en Scène

 

Joli festival du bout de la rue à côté de chez toi. Une belle chance à savourer dont d'inscrire notre jeunesse de la maternelle au lycée dans l'attribution des prix. Un vrai honneur ! Bravo et merci.