[CpteRendu] Sony FX1, baroud d'honneur d'un vétéran

On trouvera 1000 tests et avis à son sujet, mais possesseur de ce caméscope je me dois tout de même de livrer quelques impressions personnelles, ne serait-ce que pour «rendre justice» à ce sympathique faiseur d’images : j’ai déjà laissé plusieurs contributions sur des topics traitant des choix de caméscopes, et je m’aperçois que je n’ai pratiquement pas parlé de la FX1. Trop vieille ? elle est encore assez bien armée, cependant.

Sa remplaçante directe, la FX1000, aligne évidemment plus d’atouts, et la FX1 n’est plus proposée à la vente ; ce post concerne donc essentiellement les vidéastes qui souhaitent tenter l’aventure de l’occasion, sachant que la FX1 se négocie couramment entre 1500 et 2300 euros.
Attention quand même, comme pour tout caméscope à cassettes, on n’insistera jamais assez sur la prudence de rigueur avec un achat d’occasion : comment l’appareil a-t-il été utilisé ? quel(s ) type(s) de cassettes ? Nombre d’heures de fonctionnement ? etc.
Alors, la FX1 d’occasion, bonne ou mauvaise affaire ? (non, je ne vends pas la mienne )

Je ne vais pas m’étendre sur les caractéristiques techniques, cela fait longtemps qu’elles sont largement répandues.
Juste quelques rappels de base :
- Objectif Carl Zeiss 12X, débutant à 32,5mm (F/1.6 en grand angle)
- bague de réglage de la mise au point, et bague de focale
- bouton « push auto »
- stabilisateur optique
- Capteur 1/3 de pouce, tri CCD
- DV 4/3 et 16/9, HDV 1080i
- Gain manuel et auto, Shutter manuel et auto, balance des blancs, zébra, focus assist, 2 filtres gris neutre.

Maintenant, en vrac, mon retour d’impressions après quelques années d’utilisation. Pas de mesures calibrées ou scientifiques, désolé, je me contente d’un petit CR empirique.

Une FX1 pour un usage professionnel ?
Pourquoi pas, même si ce n’est pas mon cas. L’ergonomie de la FX1 est presque sans faille. Sa prise en main également.
Il ne lui manque que 2 éléments (essentiels il est vrai) pour se revendiquer réellement d’une vocation professionnelle : une 3ème bague sur l’objectif (pour l’ouverture) et les prises XLR.
Elle compense, tout de même, par la présence d’une molette (réglage de l’ouverture) et d’une entrée mini jack 3,5, commutable « micro » ou « ligne ».
Le réglage manuel de l’audio est possible, sur la coque du caméscope, mais le branchement d’un micro externe court-circuite forcément le micro interne, et le réglage des canaux gauche et droite ne peut pas se faire séparément. Il faut bien être conscient de ces limitations, notamment si l’usage envisagé vise le reportage ou l’interview.

L’image
Les modèles actuels de cette catégorie n’ont évidemment rien à envier à sa qualité d’image, d’autant que, le HDV vieillissant, la concurrence des autres formats HD Mpeg2 et AVCHD est plus que rude…
Toutefois, je pense qu’elle peut s’intégrer encore assez facilement à des flux de production modernes, qualitativement parlant, et pour peu qu’on ne descende pas trop dans les basses lumières.
Rappelons qu’à l’enregistrement, l’HDV 1080i ne procure « que » 1440 points/ligne, et que les 1920 points sont sensés être restitués à la lecture. Nombreux de ceux qui ont comparé HDV et Full HD s’entendent à dire que la différence est rarement perceptible.
Bien que les formats disponibles soient plutôt limités (on est ici aux premières heures du HDV), cette caméra offre tout de même une palette étonnante de réglages possibles pour personnaliser le rendu de l’image.
Notamment, il est possible de « réchauffer » ou de « refroidir » le rendu (phase), et de jouer à volonté sur le niveau de saturation des couleurs. Des profils d’images sont disponibles, et on peut en enregistrer de nouveaux.
Personnellement, j’apprécie beaucoup le profil « n°1 », concernant la prise de vue « basique » en haute définition : les couleurs sont chaleureuses, ni « ternes », ni « glacées ».
L’objectif étant capable d’ouvrir assez bien sur l’ensemble de la plage focale, en se débrouillant un peu il est possible d’obtenir quelques (modestes) effets de PDC réduite.
En revanche, le profil « ciné » simulant l’aspect progressif est une blague : il augmente certes le contraste de l’image (est-ce vraiment esthétique ?), mais il fait dramatiquement chuter la qualité du piqué.

Pas de miracle sur la focale minimale : à « l’époque » de la FX1, c’était souvent jugé comme excellent, mais le 32,5mm (équiv 24x36) ne correspond quand même pas à du « panoramique ». Pour les amateurs de très grand-angle (28mm ou moins…), il faut prévoir un complément optique. Ou un autre modèle de caméscope.

La sensibilité ? Un peu décevante après avoir connu celle de la mythique DSR-PD170 (ou 150). En basses lumières, il faut éclairer. La FX1 tient bon jusqu’à un certain pallier, puis le bruit apparaît d’un coup. Toutefois le premier niveau de gain (manuel, c’est possible) reste acceptable : 9db.
A noter que les 3 positions de gain manuel (H/M/L) sont ajustables par les menus.

Les formats pris en charge : DV et HDV (HDV 1080i seulement).
Cette considération a peut-être moins de valeur à l’heure d’aujourd’hui, mais concernant ma pratique, au moment où j’ai acquis la FX1, ce modeste potentiel a pleinement contribué à ma « migration » progressive vers la haute définition.
- j’ai commencé par utiliser son mode DV 4/3, car il me fallait poursuivre des projets en cours, basés sur des rushes 4/3 issus de mon matériel précédent ;
- je suis passé ensuite au DV 16/9, (et franchement, je me suis dit plusieurs fois, mais que peut m’apporter le HDV en plus ???) le temps que mon équipement informatique se mette à la page de la haute définition ;
- puis, enfin, tournage en HDV, visualisation finale sur mon (récent) écran plat HD au salon, et là forcément, on ne revient plus en arrière… Mais, le moins que je puisse dire, c’est que je n’ai pas sous-employé cette possibilité de « trio » offerte par la FX1.

Le son
Autant l’image est enthousiasmante, autant le son est plutôt banal. Le micro externe (en jack 3,5, donc) est recommandé dès lors que l’on souhaite dépasser la captation sonore « d’ambiance ». C’est de toute façon indispensable, quel que soit l’appareil, si on pratique l’interview ou la fiction dialoguée.
Le micro interne de la FX1 semble présenter une lacune particulière : lorsque la prise de son est effectuée de manière parfaitement « alignée », (source sonore dans l’axe exact du micro) on dirait qu’il y a un trou dans les fréquences (médiums ou médiums aigües, un peu rabotés).
ça ne m’a jamais interpellé pour les sons d’ambiance, mais davantage lorsqu’on enregistre une voix en configuration d’interview. Bref, pour cela, micro externe… plus que nécessaire.

Toujours en vrac, ce que j’apprécie particulièrement sur ce caméscope :
- sa prise en main, sa visée très pratique (viseur, écran LCD orientable et très bien positionné sur la poignée de portage: on pourrait presque se servir de la FX1 comme d’une épaulière – manque quand même une crosse…)
- son stabilisateur optique : il fait des merveilles. Sur des caméscopes plus petits, j’ai toujours tendance à désactiver le « steadyshot ». En électronique, c’est vrai que ce n’est pas la même chose.
Mais sur la FX1, c’est le compagnon idéal de la prise de vue mobile : les « coups d’archet » du cadreur sont harmonieusement assouplis, même si on zoome un peu.
- sa réactivité (malgré le support cassette, on est prêt assez rapidement)
- sa focale électrique (et silencieuse) de bonne facture : souplesse exemplaire. La vitesse est modulable en fonction de la pression. Digne de caméscopes plus onéreux.
- l’ergonomie générale : tout (ou presque) tombe sous la main. L’enregistrement peut être déclenché de deux façons. La deuxième commande de zoom (sur la poignée) est astucieuse.
- la trappe à cassette, non couplée à la sangle de maintien, et extrêmement fiable (pas d’éjections intempestives ou de cassettes mal insérées, tout le contraire de la série DSR-PD170/150)

Ce qui me gêne ou qui m’a déçu :
- la sensibilité un peu limite ;
- la molette du diaph est dure : c’est d’autant plus dommage qu’elle est sensée prendre le rôle d’une bague d’objectif. Ne pas compter sur un réglage facile du diaph, à la volée, en filmant caméscope au poing ;
- la position de la prise firewire est un peu malcommode à l’usage ; pas bien méchant, mais à signaler.
- l’interrupteur de mise en route caméra/magnétoscope est en décalage complet par rapport à l’ergonomie des autres fonctions (système Sony rotatif, typé caméra grand public) : pourquoi ne pas avoir implémenté l’interrupteur de la DSR-PD250, tout simplement ?
Pas de reproche à faire, sinon, sur les lacunes de la partie sonore, concernant l’essentiel de mon usage de loisir.

Pourquoi peut-on dire aujourd’hui que la FX1 a pris un coup de vieux ?
A mon sens, non pas pour le format HDV en lui-même, mais pour l’absence d’une gamme de formats aujourd’hui très diversifiés. Notamment, pas d’enregistrement progressif avec la FX1 (ne rêvons pas, le « cinematone » et le « cineframe25 » ne changent rien à l’affaire : le premier se contente de jouer sur le gamma, et le second sur le shutter, mais n’est pas capable de produire autre chose que des saccades insupportables…).
Et aussi l’enregistrement sur bande, bien sûr.
Pour tout le reste, je la trouve encore « dans le coup ».

Peut-on faire évoluer la FX1 ?
Oui, on peut la rajeunir quelque peu en lui adjoignant un module non linéaire d’enregistrement sur carte Compact Flash, le Sony HVR-MRC1K. A connecter sur la prise firewire. Mais à plus de 800 euros la bête, il y a de quoi se poser des questions (surtout si on ne filme pas de manière intensive) sur l’utilité de rajeunir un caméscope âgé d’une conception de 6 ans, d’autant qu’à contrario de la Z7 et de la Z5, il n’y a pas de sabot de fixation sur la FX1. Et pour cause, à l’époque, Sony était encore loin d’imaginer une implémentation du HDV ailleurs que sur cassette.
Un accessoire existe tout de même, pour solidariser ce module optionnel sur un appareil dépourvu du sabot : à monter, je crois, sur la griffe porte-accessoires. Mais c’est encore du Sony… et ça coûte fort cher pour ce que c’est…

J’ai été plusieurs fois tenté par ce module, mais en même temps, pour à peine plus cher, quand on voit ce dont sont capables les nouveaux DSLR… ça calme. Ça peut être aussi un mauvais argument, il y a sans doute plein de raisons pour équiper une FX1 avec le MRC1K, plutôt que de changer pour un EOS 550D. Mais là on entre dans un tout autre débat, donc, stop !

Peut-on trouver des accessoires pour la FX1, pas trop chers ?
en dehors du MRC1K, oui ! il existe maintenant des micros de bonne facture et de bon rapport qualité/prix, y compris en mini jack. Pour une centaine d'euros, ça se trouve.
Pour le transport, ne vous jetez pas sur le premier sac venu à 300 euros : j'en ai trouvé un, impeccable, résistant, avec poches de rangement... pour 40 euros

En conclusion, elle reste une bonne affaire si bien négociée tarifairement, pour un usage assez polyvalent, avec une ergonomie presque professionnelle.
A disposition pour des questions ; et post à compléter notamment par les utilisateurs de FX1, il y a beaucoup d’autres choses à dire, très certainement, sur cette pionnière du HDV chez Sony

++

 

... pour moi, sur le tard également, mais neuve aux USA (en prenant bien soin de choisir le modèle FX1E en PAL. Si si, disponible aussi outre atlantique ), et avec une bonne réduction par rapport au tarif 2004, compte tenu du taux de change.
Dommage que le supplément de la douane... ait ramené la facture vers 2700 euros.

... environ ça aussi !

La Z1, avec ses XLR en plus, n'est pas beaucoup plus chère en occase, mais a souvent tourné beaucoup plus... usage oblige.
Je pense en effet que l'on peut plus facilement trouver une bonne affaire sur un produit semi-pro comme la FX1, que sur un modèle résolument pro.

oui. je me contente des sony Premium : pas très chères, et bons résultats.
(1 mosaïque, une seule fois, et en DV, jamais en HDV)

j'ai toujours trouvé difficile de comparer CMOS et CCD. disons qu'en choisissant la FX1, je faisais le choix d'une technique que je connaissais.
On sait que le cmos consomme moins que le ccd, donc bénéfice pour l'autonomie. Pour le reste, pas facile à dire. Il m'a semblé, sur les premiers modèles cmos que j'ai pu tester, que la sensibilité était très perfectible (je pense en particulier à la sony HVR-A1). Mais la FX1 n'est pas non plus exemplaire dans le genre.

... d'autant plus flagrant en ce qui me concerne que je n'ai pas obtenu 1 ligne en français, provenance oblige...
j'ai imprimé comme j'ai pu un extrait de doc téléchargé en pdf

++

 

fx1fab et jakovideo
J'ajouterais pour ma Z1..compagne de trois ans dont je me suis séparée il y a deux ans ..que :

Je retiendrai avec le recul ; Facilité ( d'excellentes images en tout auto ), Robustesse/fiabilité à toute épreuve, Douceur des images.
Bertrand
Les EX1 et maintenant EX1R sont plus délicates à "dompter"

 

Oui en effet, on peut difficilement parler de la FX1 sans évoquer la Z1 de la même époque (qui me sert d'avatar, au passage ! la différence est subtile ! ), la grande soeur avec les prises XLR. Et sans doute quelques optimisations supplémentaires (je n'ai jamais eu la Z1 en main, mais au regard des tests, sa sensibilité paraissait un peu meilleure).
C'est un modèle que les vendeurs ne lâchent pas facilement...

Sans aucun doute, car j'imagine que la vocation n'est pas tout à fait la même.
FX1/Z1, (+ FX7 ayant tenté de démocratiser le concept, au prix de quelques sacrifices) et aujourd'hui FX1000, Z5 et Z7 restent dans la lignée de la polyvalence institutionnelle, avec un penchant vers les news, le reportage de terrain (pouvoir faire rapidement des images de bonne qualité).
Les EX1/EX3 me semblent davantage profilées pour des usages studio ou des tournages organisés. Le 1/2 pouce annonce la couleur, pas de concession sur le potentiel qualitatif de l'image... qui doit être assez énorme sur un bel écran Full HD, j'imagine

++

 

Shot transition sur FX1

Petit "up", juste pour faire partager quelques "innovations" que j'ai récemment redécouvertes sur la FX1, et qui savent se faire apprécier. Je mets les guillemets, étant donné l'âge du caméscope, mais en même temps je ne suis pas sûr que les fonctions de "shot transition" aient souvent été reprises sur d'autres caméscopes du même type (en dehors de Sony) ?

Le "shot transition" est vraiment sympa pour réaliser une transition d'un point A à un point B (on ne dira pas d'un plan à un autre, même s'il est possible d'envisager un mouvement simultané de la caméra), de manière parfaitement fluide, en opérant un effet lié à l'esthétique ou au changement de focale dans l'image - typiquement ; mais toutes les fonctions manuelles sont exploitables.

Exemple de base : j'opère la MAP sur un sujet à l'avant-plan, et un cadrage particulier, puis je mémorise mes réglages sur la position "A". Je change de réglage de MAP, je l'effectue sur l'arrière-plan, et en recadrant (ou non) via une modification de la focale. Je mémorise sur la position "B".
En exécutant la fonction, au moment de l'enregistrement, il suffit d'appuyer sur "A" ou sur "B" selon le point de départ, pour réaliser l'effet de manière automatisée et donc parfaitement fluide. Il est également possible de paramétrer la durée de transition. La même opération réalisée entièrement de façon manuelle est beaucoup plus aléatoire, à l'évidence.

La FX1 se maintient encore un peu !

 

Bonjour à tous,

J'ai lu avec beaucoup d'intêret vos impressions et remarques concernant ce camescope, que j'ai pu acquérir début mi-octobre pour un prix de 1000€, auprès d'une personne que je connaissais (j'ai la certitude qu'elle n'a pas souffert).

Je suis ravi de cet achat, j'avais un camescope Sony HDR-SR11E, bien évidement ce n'est pas comparable.

Ma première et seule expérience, pour l'instant, fut un mariage, et j'ai pu mesurer la différence entre ces deux camescopes.

Bien évidement je ne le maîtrise pas du tout, néanmoins, j'ai déjà 2 questions, :

- Faut-il mettre un filtre style "Skilight" ?
- Quel micro peut-on utiliser pour un prix raisonnable ?

Cordialement

JF

 

bonjour Jeff,

heureux de constater que cette fx1 a encore du succès !

Pour le filtre, à moins que le "skylight " évoqué ne fasse référence à un filtre externe à placer sur porte-filtre (pour un effet esthétique ?), la FX1 dispose de deux niveaux intégrés de filtre gris-neutre, fonction effectivement très utile.

Oui, en lumière du jour (essentiellement par temps ensoleillé), il est en principe recommandé de placer le filtre sur l'une ou l'autre des 2 positions, de manière à réduire la quantité incidente de lumière arrivant sur le capteur, et ainsi à bénéficier d'un plus large choix sur l'ouverture du diaph. Ainsi, par forte luminosité, en plaçant le filtre en ND2, on peut se permettre d'ouvrir davantage le diaph (ou même de laisser la caméra s'en charger, en réglage auto), plutôt que de l'obliger à fermer systématiquement à F11.
Pas la peine de se questionner plus que cela: de toute façon, la FX1 l'indique si elle estime avoir besoin d'un niveau de filtre (ND1 ou ND2 qui clignotent à l'écran).

En intérieur, normalement le filtre gris neutre ne doit pas être employé.

Côté micro, perso j'emploie essentiellement ma FX1 pour un usage qui se contente d'un son d'ambiance, et donc je n'utilise pas de micro externe.
Mais par exemple, une référence très intéressante en rapport qualité/prix: RODE VideoMic. Une centaine d'euros pour un résultat sonore assez pro. Et ce micro est livré d'emblée avec la connectique mini-jack qui est nécessaire avec la FX1.

@+, longue vie encore à cette sony mémorable !

 

Bonjour,

Merci pour ces informations bien utiles, car même avec la notice, il est toujours plus facile de comprendre le fonctionnement, avec les explications d'amateurs éclairés...

Pour le filtre, il avait 2 fonctions (sur mes appareils photos), en un : filtrer les UV, en deux : protéger l'objectif

J'ai cherché un forum pour la FX, je n'ai trouvé qu'un seul, mais pour la FX1000, dommage qu'il n'en n'existe pas.....

Cordialement.

JF