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Situation actuel du ciné , vos avis ?

Discussion dans 'Archives forum' créé par lormkissen, 30 Juin 2005.

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  1. lormkissen

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    Je suis content que le cinéma soit un commerce. Moi j'ai envie de produire de l'argent si je fais un film, dans le but de réinvestire pour d'autre film, puis pour ouvrir une production et devenir mécène de ce que j'aime. Un shéma comme celui-ci est un logique de passioné dans un systeme capitaliste. Mais le cinéma est une institution importante, plus que le théâtre ou la peinture, elle est quasiment au même niveau que la musique, donc il faut que les sous rentres. Et c'est la raison pour laquelle on verra une grosse promotion sur des films faciles d'accès destinée à tous, et peux être pas trés profond . Ainsi l'été nous avons chez nous, des films dit de vacance, légée , pour se marrer tel que : l'amour aux trousses, camping à la ferme etc... C'est films sont destinées à un public moyen qui se rend au ciné pour avoir un divertissement pour passer un bon moment et pas forcément pour réfléchir sur une vision de la vie d'un auteur. On ne peux pas dire je pense que plus ça va et plus le cinéma est un commerce. Le cinéma est une indutrie qui répond à la demande populaire , elle doit faire du profit comme toute industrie, parce que nous sommes dans une société capitaliste libéral, le fait d'associer le cinéma avec commerce, n'est donc pas original, mais bien une logique de notre époque.
    Je n'ai pas envie maintenant dépiloguer la dessus, mais ce qui m'embête avec ce système c'est que l'on formate les gens à un certain divertissement, en ne proposant que des films à fort potentiel commercial dans les multiplexes, et qu'on diabolise les salles d'art et essais , là pourtant où je trouve je vois les meilleurs films . Les programmations sont inégal de région en région, il y as un problème d'éducation à l'image. Ce que je reproche trés pronfondément à ce système, c'est d'éssayer de formater les gens en leur proposant des films qui jouent sur la simplicité, qui ne prenne pas de risque, qui reste stigmatisé dans un cinéma souvent plat. Hors je vous le dit dans "l'art', la notion de "film populaire " est TRES TRES TRES relative, mais on l'admet trés difficilement chez les investisseurs, car on ne veux pas prendre de risque dans une société trés fragile. Pourtant admirer le succès, de film diffusé largement en salle art et essai tel que "Le dernier Empereur" par exemple, tout est relatif dans le ciné: Million Dollar Baby est un big succès, heureusement que Eastwood est à hollywood, parce que ya des films qui sortent qui font vraiment peur. Et le plublic moyen si roue dessus, parce qu'on ne leur dit pas la vérité à savoir : on a demandé à petit nouveau realisateur de faire une commande, une comédie, qu'on apelle, Miss detective, le scénario, est nul à chier, mais ya une bonasse d'actrice et des gags que marche à chaque fois". halala. Mais je suis content cela étant dit , de la diversité tout de même à laquel nous avons le droit en France, bien quelle soit maigre ou furtive pour ce qui est de certain film. l'inde produit plus de 10000 films par an, nous on doit en être à 200 en france, enfin bref, les investisseurs occidentaux dans le domaine culturels cinématographique, on pas beaucoup de couille, et ne pense qu'a leur porte feuille et leur renommé, Ha l'avarice des hommes....!
     
  2. sandor

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    Je comprends pas où tu veux en venir. Que tous les films sont purement commerciaux ? Que les producteurs ne prennent plus des masses de risques ? Que les blockbusters sont à fuir ?

    Difficile de cerner la "situation actuelle du ciné" comme tu dis, si on englobe tout sans voir les particularités.
    Même Balsan avait malgré tout un oeil dans son portefeuille, et encore heureux...
     
  3. ValKan

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    Alors je ne suis pas vraiment d'accord avec tout ce qui est dit... Une grande partie me semble correcte, le reste totalement faux ...
    En gros voilà :

    Déjà, faire distingo entre cinéma commercial, et cinéma populaire. C'est à dire entre un film qui reprend la culture populaire, sans être trop compliqué à comprendre, mais en étant assez travaillé tout de même... (Exemple avec "Le fabuleux destin d'Amélie Poulain") avec un film qui n'a pour conviction que de rapporter des sous ( Asterix et Obelix ???)

    En gros la relativité du mot "Populaire" ne dépend que de la noblesse du mot (Populaire dans le sens : Une partie de tout le monde, ou Populaire dans le sens pour tout le monde)

    Le cinéma est loin, et même trés trés loin d'être une institution plus importante que le théatre ou la peinture... D'ailleurs je n'arrive pas a comprendre comment classer Théatre et Peinture dans la même catégorie

    :perplexe:

    Enfin, le cinéma n'entre pas forcément dans un contexte politique ... les soviétiques n'étaient ils pas les plus gros producteurs de films sous le régime communiste ??? Car oui, il existe un artisanat cinématographique et qui peut encore survivre face aux industries cinématographiques...

    Enfin, ici une critique du cinéma commerciale est avancée, et à la fin, une phrase qui me chagrine vraiment :

    Quand on sait que le cinéma français propose plus de 100 films par ans considérés comme "Non commerciaux" (film d'auteur entre autre) et la plupart des films fait par de jeunes réalisateurs, dire que les producteurs français ne pensent qu'a leur porte feuille me fait doucement grincer des dents...

    D'ailleurs Bollywood ne produit que des films commerciaux (et je crois qu'il n'existe pas au monde de films plus commerciaux) donc dire que les producteurs français n'ont pas de couilles pour investir ... c'est ne pas comprendre justement que le cinéma Français est l'un des rares cinémas de masse (plusieurs centaines de films par ans) à ne pas être majoritairement commercial...
     
  4. Global

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    Valkan a tout à fait raison.

    Ce ne sont absolument pas les producteurs à diaboliser, voire à ringardiser !

    Le cinéma Français est une industrie alimentée grossomodo par 2 sources de financements. L'état (à travers le C.N.C, les régions...) et les chaines de télévisions (publiques-l'état indirectement-et privés).

    Lorsqu'on sait que P. Le Lay président de TF1 dit sciniquement: "Notre métier est de vendre du cerveau disponible à Coca Cola" on comprend vite l'interêt de TF1 pour le cinéma... Ils mettront invariablement de l'argent dans des produits qui auront vocations à rameuter un maximum de téléspectateurs en prime-time.

    France2 - France3 ont heureusement une notion de la fiction un petit peu plus "ouverte" sur l'idée de financer des oeuvres à caractère artistique. Ils peuvent produire "Lemming" de D. Moll, ou "Etre et Avoir" de Phiibert... Ils ont disons une idée du pari audacieux... Marc Tessier à été président du C.N.C avant d'être à France Télévision.

    Arte et les sources de financement Européennes restent quant à elles fortement modestes. Cette modestie permet d'ailleurs une certaine liberté à l'égard du mercantile. Tant mieux... Arte choisi vraiment des oeuvres d'auteurs. Les frères Dardenne, E. Zonka en savent quelque chose.

    Canal +, une invention complêtement française, et les bouquets TPS, restent de formidables soutients du cinéma pour 90% environ de la production annuelle. Sans eux, un jeune réalisateur aurant encore plus de mal à faire son film...

    Bref, la situation du cinéma n'est donc pas complêtement catastrophique pour le spectateur. Il a accès à un cinéma de qualité, financé par de grandes organisations qui ont chacune leur identité et leur notion de la production... Même si les intérêts financiers entrent fatalement en ligne de compte.

    Pour le producteur, et c'est pour cela qu'il ne faut pas les diaboliser, on ne se rend pas compte des "couilles" qu'il faut pour aujourd'hui devenir producteur de cinéma ! :rolleyes: Donner sa confiance et son énergie à 90 feuilles relliée où est écrit une histoire. Les donner à lire aux bonnes personnes, établir un réseau de connexion, cirer les bottes aux têtes d'affiches, cirer les bottes aux chaines, aux régions, au C.N.C, permettre au réalisateur de travailler dans de bonnes conditions...

    Pour au final prduire un film qui ne restera qu'une semaine dans un multiplex de banlieue, dans la petite salle.

    C'est certainement le système de production qui devrait être revu. Le cinéma ne doit pas que permettre la "vente de cerveau humain disponible à coca cola". Le réalisateur est pris en étau entre les considérations financières des chaines et à fortiori du producteur. C'est un parcours du combattant pour monter son film, tant le domaine est contrôler par une trentaine d'individus sur Paris : les directeurs de programmes, les gros distributeurs, les grosses productions, les agences de comédiens...

    Un petit producteur et/ou un jeune réalisateur aura du mal à se faire une place au sein de cette toile. Il ne reste que l'audace, l'intelligence et le travail qui permet de se faire repérer pour prendre un peu la lumière. Une boite comme Fidélité production à commencée comme ça, grace un jeune gars un peu tarré qui s'appel F. Ozon pour n'en citer qu'une.

    Difficile de préserver un cinéma original, vivant, inventif, populaire et rentable tout en réformant les méthodes de financements et en gardant l'objectif premier d'assurer une créativité indépendante et prospère, discociée des objectifs obligés du commerces de biens culturels

    Difficile mais pas impossible.

    :)
     
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