Retour d’expérience après un usage intensif de la Sony a6700 pendant une semaine

j'aime beaucoup Le fonctionnement de Giroudf : comment utiliser un matériel peu onereux quand il suffit
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Le bilan de l’apprentissage de l’a6700 est possible

6 mois d’utilisation journalière , une centaine de vidéos de démonstration ,
Les conseils du forum du Repaire ont été déterminants

Comme avec l’ax700 , le mode PP4 est privilégié

J’ai une sauvegarde des différents réglages sur chaque clé SDXC, que je ne formate pas , en effaçant seulement les clips , les aperçus et les photos

Je ne prends plus que des jpg, meilleurs que les RAW qui nécessitent une minute de travail par photo

Cinetone et Slo3 demandent avec Resolve des réglages de l’espace colorimétrique , du mode de traitement et du color space transform
Après de multiples essais , j’ai actuellement des modèles adaptés de Resolve sauvegardes sur plusieurs disques.

Pour comprendre un problème , il faut cherche plus loin que les besoins
Quand les modèles sont stabilisés , archivés, il est possible d’oublier comment on les a obtenus.

Merci aux intervenants du repaire

L’a6700 est un appareil léger , donc facile à transporter , plus difficile à stabiliser
Je n’ai plus touché à ma GoPro depuis plusieurs mois

L’iphone 13 avec l’application Blackmagic permet d’excellentes vidéos .C’est le matériel le plus rapide à dégainer

Si d’autres repairenautes achètent une a6700 , et s’ils le désirent, je peux envoyer mes réglages qu’ils pourront adapter à leurs besoins

 

Cà me rappelle quand-même John Seale, directeur photo, sur les perfectionnistes qui "font perdre du temps à toute l'équipe" par exemple, "à s'inquiéter du rendu de la couleur d'un papier peint tout au fond d'un décor en arrière plan".

Ok si on parle de formation en autodidacte mais on est dans des vidéos persos pour les amis et la famille.

Félicitations @jakin1950 d'avoir trouvé ta solution notamment grâce à @ipsonelo et même si qu'une fois en post-prod :

(Un autre directeur photo, Roger Deakins est aussi à écouter sur n'imaginer sa lumière donc toute son image que sur place, de visu, en apprenant à d'abord entrainer son propre regard).

 

Forcément mais que pour rappeler le plaisir à en attendre et pour se retirer une bonne part de stress.

Même à devoir aussi élargir à soi, à ses propres capacités et pas uniquement en se limitant aux fonctionnalités de son appareil (ou de son logiciel de montage).

(Habitué jeune aux studios à se fier à son propre regard car alors pas encore de moniteurs)

Bien sûr que c'est aussi valable en amateur étant moi-même concerné.

 

(Je me souviens surtout avoir aimé observer Robert Fraisse se balader dans le décor avec sa cellule en me faisant rigoler avec son humour en criant ses ordres aux techniciens perchés sur les rampes pour repositionner tel ou tel projecteur).

Disons que çà m'a servi de formation que je tiens à garder en vidéos personnelles, comme un bon réflexe non pas durement mais dument acquis.

(EDIT : Robert Fraisse qui m'a autorisé sur demande de son 1er assistant, à cadrer en répète le plan concerné. Mon 1er plan vu et suivi au viseur. Travelling avant assis sur une dolly)

 

Mais pas vu sur place beaucoup de stress (humour et bonne humeur) et justement en effet pour encourager @jakin1950 à persévérer en finissant par y trouver son plaisir sans les futilités, comme moi encore maintenant, seul et toute proportion gardée avec ces souvenirs.

 

Et comme donc Richard Leacock avec son diaph et sa Kodak, en faisant confiance en vidéo, à la colorimétrie de sa caméra si déjà balance des blancs (et accessoirement des noirs).

 

Et c'est bien là, une bonne question..

Le dilemme entre "peu onéreux et suffisant" ...sur quels critères... ... surtout tellement relatifs pour un amateur

Fonction, de la cible à atteindre, de ses propres exigences personnels, confrontés à ses propres limites, à l'aune aussi de ses gouts, de son plaisir voir pour certains de leurs passions ....

Sans oublier "la nature de l’homme " ...certains peuvent être, nonobstant tout, radins congénitaux, d'autre dépensiers compulsifs....à tout le moins économes.

Sans oublier la valeur psychologique pour un individu donné d'un montant selon la nature de la dépense

Colorcheck 150 € ..mon Dieu ! ..pas cher ce restaurant ..400 € à deux ..cette chaise magnifique 600€
là ou "moi je " un MacDo à 8 € me suffit !..la nourriture n'est pas mon truc ! d'autres hurleraient à la mort.

De la relativité, de la pondération, poids que l'on donne

Quant aux professionnels ( ceux qui gagnent leurs leurs vies ) ..investissements déductibles comptablement.... autre optique ..sans oublier que le bon ouvrier dispose de bons outils ....

Et puis et puis les tempéraments passionnés, exigeants..les profils techniques ...pèsent lourds en euros

Donc le "il suffit " est tellement individuel et relatif ..

Il va aussi sans dire (mieux en le disant ) que les ressources disponibles sont une sacrée limite à ses propres envolés !

 

Le choix d'un matériel est très différent entre un amateur et un professionnel

Le professionnel a des besoins pour exercer , connait assez bien le matériel , et doit réfléchir si l'investissement va se rembourser rapidement par l'augmentation du bénéfice .
Le matériel est déductible ou amortissable . Il peut aussi louer pour un projet spécifique.

L'amateur n' a pas les mêmes besoins ,les mêmes buts
Un hobby peut devenir une passion dévorante
Je garde mes clubs de golf depuis 10 ans je ne pense pas que le matériel soit responsable de la façon dont je joue

En video , j'ai acheté une a5700 par passer au 2160p 50 im/s et au 4.2.2

j'ai un 18/135 et un 55/200, qu'un pro n'aurait probablement pas regardé