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Pressage de DVD

Discussion dans 'Archives moteurs' créé par Gilles, 5 Février 2002.

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  1. Gilles

    Gilles Guest

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    +0 / 0 / -0
    .
     
    #1 Gilles, 5 Février 2002
    Dernière édition par un modérateur: 14 Novembre 2005
  2. Phil29

    Phil29 Guest

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    +0 / 0 / -0
    Les prestataires assurant nue garantie de bonne fin, prennent des précautions au niveau de ce qui leur est est fourni comme base de travail. Ils préfèrent donc travailler à partir d'une bande DLT. Certains acceptent le DVD mais dans ce cas les DVD authoring qui sont gravés avec un graveur SL201, graveur haut de gamme.
    Je ne connais pas de prestataires travaillant avec des supports DVD data des graveurs d'entrée de gamme.
     
  3. Marcel

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    Exact....
    faisant moi même de la production et Authoring DVD, il est vrai que les usines de pressage rechignent à produire a partir de DVD
    car les risques d'erreur sont trop importants.

    Si tu as réalisé un DVD 5 (4,7Go) faut faire une image de ton DVD
    et la mettre sur DLT.
     
  4. milo

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    authoringware le propose

    Junior DVD (de Authoringware) (500$ US) propose la sortie de DVD sur bande DLT. Ils ont aussi des softs plus chers!
     
  5. Phil29

    Phil29 Guest

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    +0 / 0 / -0
    pour sortir sur dlt, il faut un dlt et celà coute cher. La majorité des softs savent le gérer.
     
  6. Bob Art

    Bob Art Supermodérateur
    Modérateur

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    Quand je fais graver un DVD, on me demande de fournir une bande bêta num ou bêta SP. Le travail d'authoring est fait par le prestataire lui-même à partir d'un cahier des charges précis livré en même temps.
     
  7. giroudf

    So

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    un dvd est plus compliqué qu'il n'y parait.
    une methode effectivement sure est de founir uniquement la
    video et laisser la boite de pressage faire le DVD.
    Si il y a un pepin, ce sera a eux d'assumer.
    C'est la methode ideal pour obtenir un master aux normes
    de l'industrie mais c'est un peu plus cher.
    faut savoir qu'un DLT ca coute cher et les bandes aussi.
     
  8. Phil29

    Phil29 Guest

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    ben oui c'est un métier le DVD :lol:

    plus sérieusement : ce n'est pas très compliqué....à partir du moment ou tu as les bons outils et la connaissance technique. Par bons outils, j'entends :
    a : un système permettant d'encoder proprement et en temps réel. En effet, en DVD comme dans le reste de la chaine numérique, tous les outils qui s'amusent à faire de la compression décompression sont mortels pour la qualité finale. Celà implique donc d'avoir une carte encodant en MPEG2ibp direct avec pilotage en RS422. De plus, comme la plus part des clients sont à la bourre, il vaut mieux ne pas avoir un système nécessitant des heures de calculs. A chaque fois qu'il y a un salon par exemple, je sais qu'il y as un mec qui va pointer la veille pour avoir son DVD de dif parcequ'il est en pleine bourre pour son stand.
    b : un logiciel d'authoring permettant de répondre aux attentes et demandes des clients et de ce côté là il y a logiciel et logiciel et le logiciel de ce type, c'est pas donné. Combien de sift savent faire des scripts, inscrire du frame code pour de la dif synchronisée ???
    c : un graveur qui assure la compatibilité intégrale c'est à dire le SL201.

    Si tu ajoutes les machines permettant d'avoir un signal d'entrée nickel donc entrant en Y.U.V voir en SDI, ca fait pas mal d'investissements.
    Ensuite il y a effectivement les connaissances de la personne qui fait le boulot, l'interface réalisée par un bon graphiste...

    Donc, en DVD comme dans d'autres domaines et notamment la vidéo il y a des outils adaptés pour les différents types de travaux. Celui qui fait un film d'entreprise à mettre sur DVD de temps en temps ne va pas investir dans une station dédiée car c'est pas rentable. Les bricolos vont investir dans des trucs qui vont leur faire perdre du temps (et donc de l'argent) et qui vont bien souvent finir sur une étagère, les autres vont faire appel à des prestataires qui vont leur assurer une garantie de bonne fin.
    Je ne parle pas du domaine grand public car nous ne sommes pas dans le forum concerné et là, c'est très différent comme approche.
    Le problème est comme en vidéo actuellement : certains nous serinent à longueur d'articles que c'est facile, que le prix des outils baissent (c'est sûr si on compare le SL201 à 37 000 balles à un A03 à 4 000 francs) et que c'est simple à faire. Du coup, les clients ont une jugement brouillé et il faut leur rappeler qu'il convient de comparer de choses qui soient comparables.
    Bon, c'est pas le tout mais j'ai un DVD sur le feu moi
     
  9. jfortias

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    Produire un DVD c'est aisé maintnant

    J'ai participé pour un label de musique au tournage d'un concert et à la partie production DVD.

    Les couts de pressages sont devenus trés abordables. La production est plus aisée.

    J'ai une DVSTORM + Graveur de DVD + DLT + Authoring, etc...
    enfait jusqu'à peu la seule merde que j'avais c'était l'impossibilité de convertir proprement en NTSC... On devait passer par un Pro.
    Mais j'ai enfin la solution.

    Beaucoup de travails sur lequel je bosse étant en DVCAM ou DV je suis enfin autonome même si certain me vanne parceque je ne suis pas sur AVID et Bétanum. Mais en terme de signal qui peut voir la diiférence quand le tournage est en DV ou DVCAM....

    A+

    Jérôme
     
  10. jfortias

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    j'oubliais

    Finalement le meilleur critère c'est le résultat final... J'ai eu des enguelade avec certains pros qui avaient le culte du matos. J'ai été développeur et responsable produit d'un fabricant. depuis le matos je m'en fouts.

    Mais la remarque sur le fait que cela embrouille le client est vrai. La différence qualitative ne se fait pas trop en fonction du matos mais d'abord par la qualité des intervenant (infographiste, sound designer, concepteur multimédia) qui complète l'équipe habituel de production...

    A+
    Jerome
     
  11. Phil29

    Phil29 Guest

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    Le matos en s'en fout : oui et non.
    Personnellement, je n'ai pas le culte du matos ou du moins le culte qui consiste à estimer la qualité d'un matériel au nombre de zéro qu'il y a sur le chèqe à faire. Il n'empêche que j'ai plus de plaisir à monter des beaux sujets en bétanumérique quand j'e ai la possibilité que des beaux sujets en DVCam

    Ceci étant, je pense qu'il convient de bien faire le distinguo

    a : une équipe de gens compétents : ca coute de l'argent car un professionnel digne de ce nom apporte compétence, savoir faire bref, un plus pour le produit final.
    b : être clair sur les possibilités et les limitent du matériel. Il existe des différences importantes entre ce que l'on peut faire avec un matériel et des logiciels pro et ce que l'on peut faire dans son coin avec une petite station en dv natif. Connaitre les limites de son matériel, savoir passer la main pour certaines choses, c'est ca aussi le professionnalisme.

    L'amalgame n'a jamais été une solution :
    - ni pour les pros qui voient leur travail dévaloriser
    - ni pour ceux qui écoutent le chant des sirènes et qui se retrouvent avec des galères parcequ'ils n'ont pas les compétences ou le matos qui va bien (pour faire une interface digne d ce nom, il faut être graphiste et ce n'est pas l'achat d'un photoshop qui va transformer l'utilisateur en graphiste talentueux).
    - ni opur le client fnal qui se retrouve parfois avec un produit qui est certe parfois moins cher mais qui ne répond pas à ces attentes.
    Et s'il vous plait, pas de post du genre : j'ai vu de belles choses en dvcam .... ca c'est une affaire entendue.
     
  12. jfortias

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    Tes remarques sont pertinentes

    Je suis complétement d'accord quand tu dis que la compétence ca a son prix.

    Quand à la différence entre du matériel pro et non pro, je le suis moins. Si au niveau de la productivité il y'a de sacré différence ou niveau de l'intégration entre les différents métiers. Je me rappelle avoir galéré sur une station audionumérique pour une boite de prod de la catégorie sérieux, par rapport à la qualité du produit fini je suis moins convaincu. Je crois qu'il y'a surtout un problême de maturité en sens technique du terme.

    Les amateurs comme les faux-pros (faux pro = mec qui bosse au noir et qui confond compétence technique avec possession du matos) pour la pluspart ne comprennent les énormes possibilités créatives qu'ils ont dans les pattes. 99% savent à peine que le son existe et ce travaille.

    Quand à l'amalgame, si il n'est pas une solution je le pense pour un temps inévitable. Il est à la fois révélateur de talent - dans la lignée de la nouvelle "nouvelle vague" , et à la fois générateur de pollution et de dévalorisation des vrais pros qui sont obliger de se vendre en dessous de leurs valeurs parceque le client final estimera un prix marché en tenant compte d'offre de "rigolos" (dont je ferais parti si je ne me limitait pas à des dépannage pour des amis. Mon vrai job étant plus de pisser du code ou du hardware).

    Je ne peux m'empecher de penserqu'une équipe avec du coeur et du talent puisses réaliser de véritables films avec un budget tout petit....


    A+
     
  13. Phil29

    Phil29 Guest

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    nous sommes assez d'accord sur le fond. Il suffit simplement d'accepter le fait qu'il y a des différences entre le matériel haut de gamme et les systèmes semi-pro ou pro. Si je prend le DVD par exemple, moi j'utilise une station qui encode en temps réel simplement parceque je me vois mal dire à un client à la bourre que j'ai 5 heures de calcul pour compiler sans film en MPEG2. Je sais que cette différence devient de plus en plus ténue mais elle existe. Tout dépend de ce que tu fais. Un seul exemple : dès que tu veux piloter une machine en RS 422, il y a déjà moins de station. Si tu veux du SDI, de l'YUV et autre, c'est encore pire. Or, il y a toute une gamme de productions qui ne se tournent pas en DV pour différentes raisons qui vont de la qualité de l'image à la solidité du matériel en passant par la gestion des stocks présents. Ce n'est pas être pédant que de dire qu'il y a des différences entre les formats, c'est être lucide et si un certain nombre de pros utilisent du béta numérique par exemple, ce n'est pas pour se la jouer ou pour empêcher les petits génies de venir marcher sur leur plate bande comme je l'ai souvent lu. Faut pas prendre les pros pour des andouilles non plus. Ceux qui investissent dans des bécanes de type 700 dont l'objectif coûte à lui seul au bas mot 5 camescopes grands publics, ce n'est pas parcequ'ils sont abrutis et qu'ils vont pleurer en remboursant leur traites. C'est simplement parceque certains "marchés" l'exigent.
    Pour le montage, c'est pareil : ceux qui ont touché un système doté d'un logiciel productif avec les fonctions qui vont bien savent ce qu'on y gagne en qualité de travail, en souplesse, en productivité et de ce fait en créativité.
    Enfin, sur les budgets : je ne suis pas un adepte de la course à la descente. Petit budget, ca entraine souvent des techniciens payés au lance pierre, des moyens restreints. Je veux bien qu'on le fasse dans le cadre d'un court pour un pote parceque l'économie de ce secteur n'est pas évidente mais pour d'autres créneau je ne vois pas pourquoi on irait à la baisse. Quand on connait les bugets de certaines émissions ( il faut savoir qu'il y a certains magazines qui ont des budgets qui frôlent voir dépassent les 10 millions de francs) ou quand on voit ce que dépense certaines sociétés pour l'organisation d'une AG, je ne vois pas très bien pourquoi il faudrait baisser les prix et travailler au rabais.
     
  14. jfortias

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    Phil je suis de plus en plus daccord avec toi

    :bravo:

    Je suis complètement d'accord avec toi en fait ! Le bas prix doit être réservé à des démarches originals mais pas à des prods costauds. Dans mon domaine malheureusement le bas prix régne - mon domaine est la vidéo sous marine et sportive. Mais cela commence a avoir ses effets. Le jury s'est enfin plaint de la mauvaise qualité des produits sauf pour quelques productions anglosaxonnes. Le pire était la qualité nulle des pistes sons.

    Mais je te rejoins sur tout. Il y'a 8 ans je me torturais pour faire des intégrations informatiques hauts de gamme pour des studios, j'expliquais ce qu'aller être MPEG 2 (à l'époque le commitu draft n'était pas encore rédigé). J'ai essayé de maintenir dernièerment une activité PC de montage plutôt haut de gamme avec Samplitude, des sauvegardes, des connexions à des ADAT ou des synchro SMPTE (et encore on est loin des matos pro ) puisqu'on est à moins de 60000 FF la station. Et je me retrouve en concurrence avec des pousseurs de cartons qui n'y bittent que dalles. Donc j'ai arrétè. Pour rester dans le métier il me reste la conception/intégration dans la prise de vue sportive et le suivie de développement d'un encodeur MPEG 4.

    Quand aux techniciens malpayé si il n'y avait que cela. Cette course aux bas prix pousse le métier au pire. Dans mon domaine c'est simple on est des merdes en France. en vidéo sous marine on est la caricature de ce que donne une démarche à fond vers le moins cher.

    Bon là je vais me coucher. J'ai vraimment apprécié notre échange. J'ai appris quelquechose et mon point de vue à un peu changé. ce qui veut dire deux choses : 1 - je suis ouvert. 2 - tu argumentes intelligemment.

    A+

    Jérôme
    :bravo: :D :bravo:
     
  15. jfortias

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    Jury du festival d'images sous marine

    d'Antibes j'ai oublié de préciser...
    Oups

    Jerome
     
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