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Le préciser ou pas ?

Discussion dans 'Vidéo (et photo) animalière' créé par Gabet, 15 Janvier 2005.

  1. Gabet

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    Dans la continuité du débat "déontologie du cinema animalier"
    je m'interroge sur l'avenir du documentaire et sur l'éventuelle
    nécessité d'établir un distinguo entre les sujets réellement traités
    dans le milieu naturel, avec des sujets sauvages, et ceux mise en scène,
    dans un soucis narratif proche de la fiction...
    Aucun esprit polémique dans mon propos.
    Simplement la légitime envie de rendre comparable ce qui peut l'être !
    Quelle est votre opinion sur le sujet ?
    Les festivals n'y gagneraient-ils pas en crédibilité ?
    Le sens critique des spectateurs n'en ressortirait-il pas grandi ?

    A vos claviers... dans le calme si possible !:D
     
  2. rapsony

    rapsony Guest

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    les sujets réellement traités dans le milieu naturel, avec des sujets sauvages, et ceux mise en scène...
    ... voir même des animaux virtuels et pas seulement des dinosaures.
     
  3. Gabet

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    En effet, comment justifier la présence au sein d'un
    même festival du film animalier, de sujets tel le
    "Peuple migrateur" (au demeurant superbement
    réalisé !) et d'autres, fruit de longues années de travail
    sur le terrain, et présentant de manière sensible et
    authentique la Nature qui nous entoure ?
    Une clarification des genres ne s'impose-t'elle pas ?
    Le débat semble aujourd'hui tranché aux USA !
    De plus en plus d'agences photo précisent l'origine
    des documents (nature, captivité,...).
    Chacun peut ainsi relativiser les choses !
    Ne devrait-on pas réfléchir un système comparable
    chez nous ?
    Car à défaut, le risque n'est-il pas de tuer définitivement
    le documentaire animalier, au profit de super-productions
    de fictions, certes plus gratifiantes pour nos egos, mais
    bien éloignées de la réalité scientifique ?...
     
  4. rapsony

    rapsony Guest

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    On ne peut pas nier, l'efficacité de ces super productions pour la sensibilisation du public à la défense de l'environnement et de la vie sauvage.
    Tout jeune, j’avais été ému par une production de W. Disney « le désert vivant » et déjà à l’époque de nombreuses critiques sur les conditions de tournage avaient été émises. Ça avait été un vrai massacre. Depuis les productions s’engagent à ne plus maltraiter les animaux.
    Tout vieux, je ne photographie et film les animaux dans leur milieu naturel, que pour rapporter un témoignage de mes observations et tenter de faire partager mon plaisir solitaire d’immersion dans la nature.
    Jusqu’où peut on aller dans l’annotation des conditions de prises de vue ?
    Nature, captif, sauvage, apprivoisé, appâté, traqué rabattue, à l’affût, en billebaude ? et toutes les combinaisons possibles de ces annotations. Il y a même un participant du forum qui enferme ses « victimes imagières » dans une cage autour de leur terrier ! Et ç’est une technique courante pour les insectes.
    L’urgence ne serait-elle pas plutôt de s’occuper ceux qui agressent volontairement la vie sauvage plutôt que de culpabiliser ceux qui crée des dérangements involontaires.
    N’oublions pas que les chasseurs sont infiniment mieux représentés chez les législateurs et que leur intérêt et d’interdire au maximum l’accès à l’environnement des non chasseurs. Il devient pratiquement interdit de pratiquer toute activité qui pourrait déranger le gibier. (Agrainage, appel sonore, éclairage, approche nocturne etc) le tir, la battue et autre chasse à cour n’étant pas considérés comme dérangeants par le législateur…. Comme ç’est bizarre.
     
  5. Gabet

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    Bonjour à tous,

    Entièrement d'accord avec tes remarques, Rapsony...
    Il faut bien reconnaître que le monde cynégétique ne
    fait rien pour nous faciliter les choses...mais n'est-ce pas là
    un autre débat ?
    Mon propos portait plutôt sur l'amalgame fait, aujourd'hui,
    entre des réalisations animalières pourtant bien distinctes...
    Tu as certainement raison de préciser qu'il ne serait guère
    facile d'établir un "barême"...
    Mais doit-on pour autant y renoncer ?
    Les documentaires fiction qui font aujourd'hui un tabac
    servent effectivement la cause...mais peut-on pour autant
    nier leur côté opportuniste. Où étaient les Perrin, Malaterre
    et autre JJ Annaud lorsqu'il s'agissait de défricher le terrain ?
    Je concidère pour ma part que trop de gens surfe sur une
    vague créée par d'autres...
    Qu'on ne me dise pas que le film animalier dit "classique"
    n'intérresse plus... Ménigoute affiche complet depuis une bonne
    décennie !
    Je crois surtout que les maisons de prod ont flairé le bon coup.
    Il y a un marché à prendre !... et qu'importe le contenu, l'audience
    justifiant pratiquement tout.
    Yves Coppens, dans une récente émission télé, a assez bien
    résumé la question : Au journaliste qui l'interrogait sur les nombreuses
    libertés prises par les réalisateurs d'Homo Sapiens, il répondit
    qu'un seul choix s'imposait: réaliser des films rigoureux mais de ce fait
    destinés à quelques milliers de spectateurs exignants...ou bien
    romancer, mettre en scéne...et toucher alors une audience maximum !
    Tout est dit: le pognon justifie tout !
     
  6. yann22

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    salut,
    c'est un problème auquel j ai souvent pensé... délicat...
    le problèm est souvent de connaitre LA limite qui fait qu un film est "sauvage" ou pas. En effet une sorte de Label pourrait peut etre permettre d différencier les productions 100% captivité, imprégnation des autres. après tout dépend des sujets... ne peut on pas décemment détenir quelques insectes quelques heures en captivité pour pour avoir des plans intéressant tout en les relachant après... là on rentre dans le débat compliqué de la condition animale, un insecte a t il la conscience d'etre captif? comparé à un oiseau ou un mammifère?

    juste quelques idées lancées comm ça... ha, la déontologie revient souvent comme sujet dans notre spécialité...
     
  7. Locksley

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    Bonjour tout le monde :)

    Je suis de retour sur le forum, donc je vous souhaite avant tout une très bonne année 2005 et tout mes voeux de bonheur (est ce que le père Noël a été généreux avec vous, surtout lorsque je vois les nouvelles caméras qui sont sorties entre temps:) )

    Le débat est de retour, alors lançons nous dans la joie et la bonne humeur :)

    Je pense que tout simplement, il suffit d'indiquer, dans le générique de fin, que certaines scènes du film ont été réalisées avec des aménagements spécifiques afin de montrer aux spectateurs ce que l'on ne pourrait voir dans un film classique.

    Tout le débat, depuis la première fois qu'il a été lancé, ne tourne en fait qu'autour de la commande du film: est ce que cela sera un film "amateur" qui ne sera diffusé qu'en toute petite quantité et confidentiellement, ou sera t'il destiné au grand public et là il faut un film plus percutant (Charbonnier, Perrin, etc), là est le débat !!!!

    Entre un film "pro" qui doit être vendable auprès d'une maison de production qui demande du spectaculaire et un film "amateur" qui ne sera visionné que par quelques personnes, il y a des différences énormes. Le premier doit faire vivre son réalisateur et le deuxième n'en a pas forcément besoin, car il ne vit pas de sa passion, tout est là malheureusement. Comme le dit si bien Gabet, c'est une histoire d'argent !!!!

    Doit on jeter la pierre à la personne qui arrive à vivre de sa passion ???????

    Rapsony dit :"Il y a même un participant du forum qui enferme ses « victimes imagières » dans une cage autour de leur terrier ! "....houps c'est pas moi ça :) :)......mais je m'en suis déjà expliqué, donc je ne vais pas revenir sur le sujet, mais encore une fois, il ne faut pas oublier que des personnes vivent de leur images et il faut utiliser certaines techniques pour filmer, il n'y a pas de secrets.

    Quand à l'autre débat sur les chasseurs, étant moi même chasseur à l'arc, je ne vais pas me lancer dans celui-ci, car il serait beaucoup trop long d'en parler et ce n'est pas le lieu pour en débattre.

    Je veux juste préciser, pour ceux qui éprouvent des difficultés à filmer lorsqu'il y a des chasses, qu'il y a beaucoup de territoires qui appartiennent aux communes, ces territoires sont donc libres d'accès à tout le monde, vous pouvez donc vous y rendre pour filmer et personne ne peux vous en empécher. Pensez simplement à aller signaler à la mairie que vous allez faire un film et qu'elle vous donne une autorisation de tournage, cela est nettement préférable, de cette façon, si un chasseur vous dit quoi que se soit, vous pouvez gentillement l'envoyer se faire voir ailleurs. Les autres forêts sont des territoires privés et donc là il est impossible d'y entrer sans outrepasser la loi, il suffit de tenter une demande auprès du propriétaire ou du gestionnaire de ce territoire et obtenir une autorisation, mais cela n'est jamais évident, je peux vous l'affirmer. Si vous n'avez pas cette autorisation, il vaut mieux laisser tomber et aller voir un autre territoire.

    Le documentaire animalier n'est pas prèt de s'éteindre, peu importe la façon dont il est présenté, ou qu'il soit réalisé par des "pros" ou des "amateurs", le public est de plus en plus demandeur de ce genre de films, car il y a depuis des années une vague d'intéret des gens pour la nature et ils désirent se renseigner sur les animaux qu'ils voient en se promenant.

    Ce qui me dérange, c'est qu'il faut faire toujours plus percutant et spectaculaire, ce qui va creuser le fossé entre les "amateurs" et les "pros", ce qui est aussi un autre débat: avec les films animaliers de plus en plus spectaculaires, pensez vous que les amateurs vont encore trouver un public dans quelques années ?

    Pour terminer mon intervention (car je dois repartir vers de nouvelles aventures qui vont m'éloigner du forum encore quelques temps), à la fin du film, il suffit juste de signaler que des scènes ont été aménagées afin de voir ce qui n'est pas visible (avec pourquoi pas un bonus dans les DVD afin de montrer justement ces aménagements), je pense que cela est suffisant pour que le spectateur puisse se faire une opinion. Reste à classifier aussi les films qui ont été réalisés entièrement avec des scènes aménagées et des animaux captifs, les films qui ont été réalisés avec des animaux libres mais filmés dans des conditions de "semi-captivité" et les films qui ont été réalisés avec des animaux entièrement libres, ainsi que leur intéret scientifique. Le débat, je pense, n'est pas prèt de s'arréter :):):)

    Cordialement


    Locksley
     
  8. Gabet

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    Bonjour à tous,

    Toujours aussi convainquant ce Locksley...!
    Tes arguments sont irréfutables, mais il me semble
    que tu oublis une troisième cathégorie de réalisateurs:
    les semi-pros (une cathégorie trés représentée pourtant)!
    je m'explique :
    Jusqu'à maintenant je réalisais un sujet animalier tous les
    2 ou 3 ans et n'avais pas trop de mal à trouver des budgets
    de l'ordre de 15000 à 17000 euros... rien de trés follichon mais
    suffisant pour travailler dans de bonnes conditions.
    Evidemment, avec de telles sommes, inutile de chercher à en vivre!
    En fait, ces budgets couvraient juste l'amortissement du matériel.
    Longtemps mon bonheur a été de progresser, tant au niveau du
    matériel que de la réalisation proprement dite...Je travaillais sur le
    terrain (notre passion à tous!), me concentrais sur mon sujet, et ne me prennais pas trop la tête avec des problème de calendrier à respecter !
    Les choses ont bien changé !
    Désormais, avant de se lancer dans une réalisation quelconque, il
    convient de franchir tout un tas d'écueils:
    Bâtir un dossier, peaufiner son budget, convaincre des partenaires,
    extrapoler la future diffusion du produit (tout cela, nous le faisions déjà),...
    mais surtout s'échiner à expliquer que notre film ne sera pas un
    "Microcosmos", "Peuple migrateur" ou autre "Le clan des lions"...
    Et c'est sur ce point que les choses deviennent ardues !
    Les décideurs (les financiers) ne font plus du tout la différence entre
    un documentaire basé sur le temps passé sur le terrain et un docu
    fiction où tout aura été planifié !
    Yann22, ... toi qui suis une formation à l'IFFCAM, toi qui envisages bien
    évidemment d'en faire ton métier... comment vois-tu ton avenir ?
    Crois-tu que tu feras partie de ces quelques privilégiés capables de
    rassembler des budgets de 150.000 à 700.000 euros ?
    Ton carnet d'adresse te permettra-t'il de rejoindre le club trés "select"
    des réalisateurs qui comptent ?
    Et pour quel résultat ? Où est la passion dans la réalisation d'un docu-fiction
    torché en deux-mois, à grand renfort d'oiseaux affaîtés, et autres ours gavés
    de "Nutella" ?
    Que ces films là existent, ça ne me gène pas !
    A condition bien sûr qu'ils ne prétendent pas être des documentaires
    animaliers.
    Le problème est que ce sont eux qui mobilisent désormais les budgets !
    Et pire encore puisque que ce sont pour ces réalisateurs là que se déploient
    les tapis rouges lors des festivals.
    Non, pour moi, Perrin et Charbonnier ne sont pas à mettre dans le
    même panier ! Laurent Charbonnier est un cinéaste-naturaliste !
    Dommage ! N'y aurait'il donc plus aucune place pour des réalisations
    pros mais faites dans l'esprit du cinema animalier ???
     
  9. yann22

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    il était évident que cette discussion porterait a débat... tant mieux!!!! c'est que des question se posent!!!;)

    he bien de mon côté, il est vrai que je vois un docu animalier avant tout comme un témoignage du monde vivant. J'idéalise encore suffisament ce métier pour me dire qu'il est possible de faire un film en respectant complètement son sujet, sans porter préjudice à l'animal.

    Oui en effet, il est économiquement plus rentable pour une boite de prod de choisir un réal qui fera des images avec des animaux captifs, plutôt que de choisir un réal qui souhaite faire toutes ses images en nature.
    Le problème: Les décideurs ne sont pas seulement les boites de prod, si tous les réal allaient dans le même sens, c'est eux qui auraient le pouvoir de décision, c'est eux qui devraient dire combien de temps doit durer un tournage en fonction du sujet, mais malheureusement, le producteur trouvera toujours un réal qui proposera moins cher, plus rapide...

    donc voila, pour l instant mes sujets sont 100% nature ou liés à des activités humaines.
    mais je ne jopuerais pas les extrémistes a refuser tout en bloc, entre autre pour ce qui est de la macro ou le recours a des vivarium ou aquarium est bien souvent innévitable.
     
  10. Locksley

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    Un bon débat

    Désolé Gabet d'avoir oublié une catégorie, celle des semi-pros......un oublie que tu a rectifié et je t'en remercie :D

    Yann22, si tu arrives à mobiliser des budgets de 700.000 €, tu me passes un message si tu cherche du monde pour bosser avec toi hein :D :D

    Je plaisante, mais il est vrai que pour trouver des budgets et réussir à vivre de sa passion, cela deviens de plus en plus difficile.

    Pas évident de trouver des budgets face à des pointures comme Perrin et autres réals de renom, car ils ont répondus à une demande et maintenant lorsque l'on arrive derrière et qu'on explique qu'il faut six mois voir un an pour faire un documentaire animalier dans des conditions "réelles" et sans bidouillage, bin l'on se fait mettre à la porte ou bien la personne en face est morte de rire !!!

    Pour ma part, plus ça va et plus je me demande si je ne vais pas revenir au stade de "semi-pro"et faire un docu une fois tous les cinq ans, car a force de faire des tonnes de papiers juste pour trouver de quoi boucler le budget et gagner un peu d'argent, je crois que je vais arréter et faire des petits films pour les clients de mon Ami. Guère enrichissant, mais cela m'assurera un salaire tous les mois, de cette façon plus de problèmes, je resterais en forèt pour le plaisir d'approcher un cerf ou un chevreuil et de le capturer de l'objectif

    Cordialement


    Locksley
     
  11. Gabet

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    Bonjour à tous,
    bonjour Locksley,

    Je constate que nous en sommes un peu tous au même stade:
    Nous nous interrogeons sur la tournure,...le parcours du combattant
    qu'il est aujourd'hui nécessaire de suivre, avant même de pouvoir
    réaliser les premières images d'un doc.
    Contrairement à ce que beaucoup de gens pense, il n'existe que
    fort peu de vrais pros du cinema animalier en France.
    Ils se comptent sur les doigts d'une main... Les autres se débrouillent !
    Charbonnier, Garguil, Bouchardy, Anne et Eric Lapied...la plupart ont dû
    se diversifier: l'un fait du cadrage pour des maisons de prod, un autre
    écrit et édite des bouquins, d'autres encore ont mis en place un reseau
    de projection de leurs propres films....
    Les exemples sont inombrables !
    Les réalisateurs comme Perrin, Malaterre, Vannier,...sont des arbres qui
    cachent la forêt. La majorité des films français présentés lors des festivals
    sont l'oeuvre de mordus, qui sacrifient tout à leur passion.
    Ils bossent en pros mais n'en ont pas la fiche de paie !
    C'est un choix de vie.
     
  12. serge

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    Bonjour à tous
    Quelque soit les conditions de tournage, les spectateurs ont le droit d'être informé, je dirais même que c'est un devoir. Avec tous les abuts qu'il y a eu ''dans le passé''!
    A un copain qui voulait faire de sa passion son métier, la plongée, sachant cette voie complètement bouché, je lui ai dit d'aprendre d'abord un métier pouvant se pratiquer aussi bien en surface qu'en plongée car des plongeurs il y en a des milliers mais les techniciens plongeurs sont beaucoup plus rare.
    Pour vivre de sa passion dans un millieu aussi fermé il n'y a qu'une solution, l'apprendre et le pratiquer le plus tot possible en se glissant parmis les équipe de pro existante, faire son trou et s'envoler.
    Autrement il vaut mieux avoir deux emploies, un pour vivre et l'autre pour se faire plaisir.
    Tout dépend de ce que l'on appelle aussi ''pouvoir en vivre''
    Mais ce n'est que mon avis.
     
  13. Locksley

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    Pour ma part, après ce débat, je vais indiquer dans les génériques que certaines scènes ont été réalisées avec des aménagements spéciaux.

    Après un dernier projet qui me tient à coeur, je vais laisser tomber le film animalier pour me tourner vers la réalisations de films perso pour les clients de mon ami, cela va m'assurer un salaire fixe et me laisser le temps de monter un doc animalier en dix ans si je le souhaite.

    Il est bien de discuter sur ce genre de forum, cela ouvre certaines perspectives et une autre vision de notre passion.

    Cordialement


    Locksley
     

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