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Kané - court métrage

Discussion dans 'Festival permanent du Repaire' créé par Reznik, 10 Juillet 2013.

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  1. Reznik

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    [​IMG]

    voici le film :

    Teaser d'un court d'école tourné au GH3 sur Montpellier :

    Quelques années après "le soulèvement" qui meurtrit l'Europe, Mark revient sur cette période sombre de son existence et sa difficile réintégration sociale dans le monde des vivants.

    Real : Maxime Gabier

    Objectifs:
    - SLR magic 12mm 1.6
    - Leica 25mm 1.4
    - Leica R 90mm 2.8
    - Lumix 14-140mm 4-5.8

    Commentaires, questions et avis bienvenus.

    [​IMG]
     
    #1 Reznik, 10 Juillet 2013
    Dernière édition par un modérateur: 14 Octobre 2015
  2. cournonsec

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    Bonjour.
    La fiction, comme tout le cinéma, est fondée sur de vraies IMAGES composées avec soin et liées entre elles avec art et science, pas sur une longue interview statique et sans recherche tournée sans aucun changement d'angle ou de point de vue avec un éclairage basique. En outre, les images de l'introduction sont décousues et hermétiques: par exemple, le plan récurent du ventilateur qui, tourné et monté de cette façon, n'amène strictement rien à la compréhension ou à l'atmosphère du film.
    Je ne critiquerai pas ni "l'interview" ni la fin car j'ai zappé tout au long de ce que tu appelles un film. :suspicious:
     
  3. Reznik

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    Merci, je transmettrais au réal.

    Bah écoute oui j'appelle ça un "film", un mauvais si tu veux.

    Par contre, toi qui m'a l'air te toucher ta bille, qu'appelles-tu une "vraie IMAGE" ? J'aimerais beaucoup le savoir pour progresser dans cet art-science peu accessible au commun des mortels.

    (je rigole bien sûr, roh....)
     
  4. cournonsec

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    Bonjour Reznik,
    Ma critique était dure mais je trouve que ce "film" n'est pas travaillé sérieusement, tant au point de vue du scénario que du tournage et du montage. Je suis beaucoup moins dur envers des films qui peuvent être mauvais mais où l'on sent qu'ils sont le fruit d'un travail soigneux et d'une réflexion appliquée
    "toucher sa bille" comme tu dis ne signifie pas grand chose: je n'ai pas parlé de technique mais d'esthétique et de construction d'une histoire: N'importe qui peut émettre son opinion sur ces critères sans être le moins du monde expert en vidéo.
    Quant à ce que j'appelle une bonne image, c'est une image construite, structurée, esthétique, comme un tableau. La technique n'est là que pour arriver à ces objectifs.
    Ne pas oublier non plus que dans "cinéma" il y a la racine "ciné" qui signifie mouvement et ce mouvement peut être décomposé en "actions" soit mentales (l'acteur évolue dans ses pensées - le monologue en est une variante) soit physiques (une poursuite en voiture, une bagarre ...). Mais l'une et l'autre de ces facettes du mouvement ne peuvent exister seules dans la durée, elles doivent être soit très courtes, soit liées dans une sorte de symbiose: le monologue, typique du théâtre passe mal au cinéma s'il s'éternise, et l'action brute n'a d'intérêt que lorsqu'elle est courte et sert à faire "avancer" l'histoire, il faut donc faire une sorte de "multiplexage, pour employer un terme technique, harmonieux entre action, réflexion ou émotion. Ce qui n'a pas été fait ici: Le film passe d'une introduction en action brute (brutale !) à un dialogue long filmé de façon ultra statique, pour repartir dans l'action brute.
    Les règles sont faites pour être transgressées, nous sommes entièrement d'accord, mais il faut le faire en pleine connaissance de celles-ci. Or les règles exigent d'un film qu'il ait un début, un développement et une fin. Présentation des lieux et des protagonistes, élément(s) déclencheur(s), conflits, climax, résolution et conclusion. Tu nous présentes 3 éléments hétéroclites dans ce film: Un début violent, une interview et une fin tout aussi violente que le début. Il n'y a là dedans aucune structure, tout doit être expliqué dans l'interview mais elle est tellement longue et ennuyeuse que je ne l'ai pas suivie.
     
  5. Toskian

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    Bah t'es un peu dur, cournonsec! Le film a des qualités et des défauts mais c'est assez évident qu'il y a un vrai travail de l'image,du montage et du titrage.

    "une image construite, structurée, esthétique, comme un tableau." => c'est complètement le cas ici, et pas seulement en parlant du cadre pur et dur. La lumière, les couleurs, les jeux de premier plan/arrière plan... c'est d'ailleurs globalement très réussi de ce côté là. Je pense que tu as surtout été énervé par l'interview qui est très statique, mais même là, s'il y a une chose à critiquer, ce n'est pas le parti pris, qui est intéressant, mais l'angle qui a mal été choisi (fallait être plus de face pour faire ça je pense, que ça soit plus intime).
     
  6. progressif

    progressif Guest
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    Il y a en effet deux gros problèmes, à mon humble avis :

    1er pb
    13 minutes d'interview dans un court-métrage de 17 minutes : cela génère de l'ennui et de l'agacement.

    2eme pb
    l'univers décrit est trop énigmatique pour que le spectateur se l'approprie en quelques minutes : on ne s'intéresse pas au sort du personnage.

    J'aime beaucoup la musique à la fin ; elle est porteuse d'émotion, de sens pour une histoire qu'il faudrait raconter en actions...
     
    #6 progressif, 16 Juillet 2013
    Dernière édition par un modérateur: 16 Juillet 2013
  7. s0crate

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    Le thème de départ me plaît mais le traitement ne colle pas très bien. Pour moi qui dit zombi dit humour et le film en est dépourvu. Si le pari était de traiter le thème avec sérieux, le but est atteint mais le résultat n'est peut-être pas à la hauteur. L'interview est un choix que je trouve discutable pour les raisons qui ont été évoquées précédemment. J'ai été peut-être influencé par le lecture des commentaires mais j'avoue avoir sauté un passage. Pour jouer sur le minimalisme il faut avoir des arguments très solides par ailleurs (jeu d'acteur, dramaturgie, éléments visuels). Ici je ne dirais pas que ce n'est pas travaillé mais on est encore loin de clouer le spectateur sur son siège. Du coup on a l'impression que vous avez pris un raccourci avec l'option itv pour ne pas avoir à montrer le monde que vous décrivez. Pour être sincère, j'ai eu l'impression de regarder bas les masques avec un zombi. Si vous ne vous étiez pas pris au sérieux, l'idée aurait pu être bonne mais elle n'est pas suffisamment réaliste pour que je m'émeuve du sort d'un mort vivant ;)
     
  8. Reznik

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    Je suis d'accord. L'angle n'est pas bon.

    Mais merci... Toskian... de nous accorder un minimum de soin quant au travail de l'image même si on a dû faire assez vite (1 jour et demi), car les messages de cournonsec me donnaient l'impression d'avoir filmé en automatique avec le mode vidéo de mon téléphone portable. :sad:

    Ayant une certaine aversion pour la "comédie zombiesque", ce parti-pris là ne me dérange pas.

    Le ventilo a une fonction atmosphérique dans l'intro et symbolique à la fin, ou il véhicule l'idée de cycle sans fin quant aux principales thématiques du film : que toute société, a fortiori en période de crise, trouvera toujours ses boucs-émissaires - étrangers, homos, marginaux, morts-vivants... - mais que ce statut n'efface pas la culpabilité/responsabilité.
    On peut même voir à travers la "maladie" du personnage, une forme de châtiment expiatoire, l'idée de purgatoire.
     
  9. lexcalvin

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    Bel hommage aux livres de max brooks.
     
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