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Factuer un film d'entreprise

Discussion dans 'Professionnels - entreprises' créé par Aakh, 17 Octobre 2003.

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  1. Aakh

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    Salut,

    Je suis en train de lancer l'activité "film d'entreprises" avec ma société de production (une SARL) , je suis juste associé et tout est quasiment prêt. Nous avons nos prestataires, notre matériel de montage, nos procédures de fabrication, nous avons trouvé quelques free-lance à qui nous ferons appel en temps voulu.

    Maintenant, je me pose la question : Concrètement, comment facture-t-on au client ? Et comment demande-t-on le paiement ?

    Un tiers après acceptation du devis ? Les deux-tiers lorsque le montage final est accepté ? Délai de 30 jours ?

    Quel type de contrat doit-on signer avec lui ?

    Est-ce que le simple fait d'accepter le devis suffit ?

    Merci de vos éclaircissements ! :)

    Dan
    Lexander Corp.
     
  2. dmoss

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    un bon conseil: commence par faire un stage de gestion à la chambre de commerce où tu es certainement inscrit.

    Il y a vingt ans que chacun fait les mêmes erreurs! J'y suis passé et c'est comme cela que je découvre certaines de mes productions faites à bas prix ... ben voyons! et qui tournent toujours et rapportent de l'argent au commanditaire ....


    Car qui dit film d'entreprise dis commanditaire et les contrats c'est d'autant lmoins coton que le client que tout lui appartient puisqu'il a payé. Les droits d'auteurs il s'en fout.

    Bonne chance
    A+
     
  3. langly

    langly Guest

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    Tout depend de la boite avec qui tu traite, si c'est artisan ayant du mal a joindre les 2 bouts, laisse toi une petite marge (10% 15%) en revanche si la societe est stable et a du blé n'hesites pas a les faire cracher car comme le dit dmoss une oeuvre de commande peut durer treeeeeeees longtemps donc n'hesites pas (en plus generalement ils sont vraiment chiants sur des petits details insignifiant)
     
  4. Phil29

    Phil29 Guest

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    belle mentalité que de facturer à la tête du client.. Rien de tel pour perdre en crédibilité. Le petit artisan qui a du mal à joindre les deux bouts, quand il va acheter sa camionnette, tu crois que la garage lui fait un prix en fonction de son chiffre d'affaire ? Je ne vois pas pourquoi en vidéo on le ferait. Lui même, tu crios qu'il fait des différences de prix suivant qu'il va bosser dans une société ou un particulier ? La base de la facturation en vidéo comme dans le reste est une base simple: prix de revient + marge sinon, tu vas vite te retrouver dans le mur. Si tu passes su temps sur le film d'un "petit artisan" et que tu rognes sur ta marge parceque tu veux lui faire une fleur, tu vas vite te rendre compte que c'est pas jouable.
     
  5. STEF

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    .... euhhh mais ce n'est pas le genre de question qu'on se pose avant de monter une S.A.R.L tout ça ??

    " après avoir lu le Vidal, j'ai ouvert une pharmacie au coins de ma rue mais les médicaments, j'y connais rien, ça s'apprend qq part ?"

    :lol: :bravo: :rire: :approb: :col:

    ++

    SteF
     
  6. Phil29

    Phil29 Guest

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    pour préciser ma pensée : le matériel vidéo permet aujourd'hui un large éventail de formats permettant un large éventail de prix. C'est çà qui doit permettre de réaliser des films adaptés aux budgets de chaque client. Ce n'est pas la facturation que l'on doit adaptée mais la proposition. De plus, le contenu d'un film, y compris d'un film d'entreprise est extrêmement variable : ca va du reportage classique avec image et com (formule un peu désuette mais qui fonctionne toujours dans certain cas) jusqu'à la fiction avec acteurs et gros budget. Si tu proposes la même prestation à des clients différents mais en adaptant le prix, tu vas rapidement passer pour un voleur. Si tu as un discours clair avec le commanditaire en lui expliquant qu'il a un film correspondant au budget qu'il y consacre, tu passeras pour quelqu'un de crédible et au moins, le jour ou le petit artisant aura des moyens plus important et si tu as bien fait ton boulot, il reviendra te voir.
     
  7. air1

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    Tout à fait d'accord avec Phil...

    Ce sont les moyens qu'il faut adapter aux clients et non une notion de "petits clients/gros clients".

    Les moyens ne se limitent pas au choix technique, au choix de format, au choix de post-prod... mais également au choix d'écriture du sujet. Un micro trottoir ca coute moins chere, que l'écriture d'une fiction. C'est également de la responsabilité du couple producteur/réalisateur (qui peut être la meme personne) de faire des choix plus ou moins économique suivant le bugdet du commandidaire.
    C'est vrai que cela fait plus sérieux et plus pro que la notion de prix adapté à la "tête du client"
    A plus
     
  8. dmoss

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    Le budget est une chose. Les moyens pouvant être mis en oeuvre en dépendent. Mais l'essentiel n'est-il pas de commencer par connaître son client et ses vrais besoins avant de chercher à lui tirer du fric.

    Le jour où les sociétés (leur gérant réalisateur bien souvent) dépasseront le stade de prestataire pour devenir celui de producteur, c'est à dire "financeur" de son propre projet, la relation avec l'exploitant (l'ex commanditaire) reprendra des notions de vraies réponses aux besoins exprimés
     
  9. Phil29

    Phil29 Guest

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    je suis d'accord avec toi sur l'analyse des besoins du clients. Ca me semblait tellement évident qu'il me semblait inutile de la préciser.
    Là où je te suis moins c'est surla notion de producteur. La différence majeure entre un film d'entreprise n'est-il pas justement que le film doit répondre à un besoin du client. C'est donc clairement une commande avec une relation commanditaire prestataire. Etre producteur, c'est aussi me sembe-t-il faire des choix tant dans sur le fond que sur la forme. Et la, je pense que bien souvent, l'entreprise ne sera pas toujours prête à valider. Quand tu fais du filmd'entreprise, tu dois aussi prendre en considération des choses qui n'ont pas grands choses à voir avec la production. Enfin, la production, au sens où je l'entend, c'est avec un numéro au cnc et avoir la structure qui va avec
     
  10. dmoss

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    A Phil 29

    tu dis "Enfin, la production, au sens où je l'entend, c'est avec un numéro au cnc et avoir la structure qui va avec"

    Je rajouterai : "le fric" surtout.

    Car en fait le producteur est bien celui qui finance.

    A ce titre, et tout en respectant les envies du client il y a possibilité de dépasser ce stade de film d'entreprise classique où il faudrait dire amen à tout.

    Le problème c'est que de toute façon l'intention est de diffuser son produit, donc le faire acheter par le client ou percevoir des droits de diffusion.
    Donc le film doit être attractif, vendeur et "acheté" (ou faire beaucoup d'entrées)

    Et on en revient effectivement au point de départ.

    Est ce que avec tout ca notre ami de départ AAKH trouve une réponse à sa question de départ ?
     
  11. Phil29

    Phil29 Guest

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    ah bon, tu connais bcp de producteur qui ont du "fric". Désolé mais on parle pas des même je pense. Pourtant il me semble que c'est ta profession. Le nombre de producteurs qui jonglent avec les avances, les aides de tels ou tels ministère ou organismes, l'aide du cnc sont plus nombreux que ceux qui ont réellement les moyens de monter des projets (j'entends par là financer l'écriture par exemple). Cette remarque mise à part, je continue à faire le distingo entre les producteurs de documentaires et de fiction qui vont monter un projet et la fourniture d'un film pour une entreprise qui va avoir besoin d'un support de communication qui peut être plus ou moins ambitieux y compris au niveau des moyens (j'ai bossé sur des films d'entreprises avec des budgets qui feraient bien des envieux chez les producteurs bossant pour une chaine du câble) mais qui n'en reste pas moins un support de communication. Dans ce cas, s'il tient vraiment au titre de producteur, ca sera simplement celui de producteur exécutif dans la mesure ou son boulot est de gérer un budget pas à trouver le financement d'un projet.
     
  12. Olivier_BdR

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    Bon, voilà ce que je peux dire au bout de près de 2 ans d'activité. Les 2 éléments clés sont :

    1/ Le CLIENT : Il a des formes très variées (pme, grand compte, agence de com, collectivité, autre boite de prod ...). Ils ont chacun des contraintes particulières qu'il faut savoir gérer et qui vont influer sur le prix de revient.
    En revanche, il faut les traiter de la même manière, avec la même attention et le même professionnalisme.

    2/ Le FILM : Il est constitué du fond (sujet, objectifs) et de la forme (moyens mis en oeuvre, format)

    Du fond découlera un scénario et du scénario associé à la forme et aux contraintes du client découlera une tarification. C'est là que se situ le problème : il est quasiment impossible de chiffrer une prod sans le scénario ... et celui-ci est rarement dispo lors du chiffrage. C'est le serpent qui se mord la queue. De plus, on ne chiffre pas un scénério comme une prestation. Il y a un apport créatif important qui ne se calcule pas avec des unités de mesure, de temps, de poids. C'est pour ça que le travail d'une boite de prod n'est pas celui d'une agence de com... et réciproquement, et que le cumul des 2 est un vrai casse gueule.

    Dans la mesure du possible, il faut essayer de faire comprendre ça au client et de diviser le projet en 2 partie distinctes faisant chacune l'objet d'une tarification : l'écriture et la prod. A partir de son objectif, du sujet et de ses envies, on lance l'écriture, et on la facture. Ensuite, on peu chiffrer la prod.
    Mais pour faire comme ça, il faut tout de même avoir une idée du budget disponible, afin de ne pas partir dans une impasse.

    Voilà pour mon expérience, mais elle n'est probablement pas utilisable telle quelle, sans le vécu qui en découle. De toute manière, ce métier est carrément complexe, et il faut être fou pour se lancer. Mais quand on arrive à s'en sortir, alors là, c'est le pied total !
     
  13. STEF

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