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Droits d'auteur pour musiques (encore !)

Discussion dans 'Faire son film' créé par cosmo2002, 6 Novembre 2011.

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  1. cosmo2002

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    Bonjour

    je me tourne vers vous pour avoir quelques éclaircissements au sujet de droits d'auteur à verser pour l'utilisation de musiques dans plusieurs montages.
    En parcourant les posts du repaire, je n'ai pas trouvé quelque chose qui corresponde à ma situation.

    Voici donc ma situation:
    - je suis amené à faire de courts reportages de soirées se déroulant en discothèque ou dans des bars. (durée typique 2minutes)
    - les reportages seront diffusés sur la toile à des fins promotionnelles.
    - j'ai jusqu'à présent exclusivement travaillé avec des musiques libres de droit, mais mon client veut dès maintenant me fournir des pistes audio à insérer sur le montage ...

    Le problème est qu'il choisit des titres d'artistes très connus, donc musiques non libres et qu'il me dit qu'il s'acquitte lui même de toutes les charges concernant ces titres. Certes... mais...

    Comment puis je procéder pour m'en sortir avec cette situation ?
    Il me semble que c'est à moi qu'incombe l'acquittement des charges liées aux droits sur les musiques...

    Merci pour votre aide.
     
  2. Gild

    Gildx
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    Qu'importe la personne qui paye, la SACEM ne regardera pas le nom en bas du chèque:cool:.
    Il faut simplement bien t'assurer qu'il paye spécifiquement pour le produit que tu lui propose, et pas qu'il te dit simplement ça pour que tu lui fiches la paix. Parce que si problème il y a par la suite, c'est alors vers toi que se retournera la SACEM.;)

    GiLd
     
  3. cosmo2002

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    Bonjour Gild et merci pour ta réponse.

    Entre temps, j'ai décidé de changer de technique: j'ai simplement modifié le contrat qui nous lie. J'ai ajouté une mention à propos des acquittements de droits d'auteurs, de diffusion etc.. en stipulant qu'ils étaient explicitement à la charge du client et que je n'agis qu'en tant que prestataire pour la captation, le montage etc..

    Je ne sais pas si ça peut faire "globalement" l'affaire mais c'est déjà un début.

    Est ce suffisant à ton avis ?

    Si non, comment m'assurer qu'il s'acquitte correctement des droits auprès de la SACEM sachant qu'il va certainement payer une sorte de "forfait" global vu qu'il exploite des musiques dans les bars, disco, restaurants etc.. ?

    Merci
     
  4. Gild

    Gildx
    Modérateur So

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    Je n'ai pas plus d'avis sur la question :o
    Mais ça me semble suffisant a priori, mais je ne suis pas juriste en la matière;)

    GiLd
     
  5. baboun

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    Si je comprends bien, tu comptes ajouter toi-même une musique connue dans un montage vidéo, mais pour laquelle le client s'engage à payer les droits à la SACEM.
    A mon sens, cela ne te couvrira pas du tout, c'est toi qui fait le montage et qui inclut la musique, c'est donc à toi de t'assurer que tu as les droits suffisants pour le faire.
    Tu ne pourras pas te protéger derrière la modification du contrat, sinon, tu te doutes des abus...Demain je propose tous mes montages avec des musiques ultra connues, j'inclue dans le contrat cette clause, clause que le client n'aura pas lu ou alors dont il ne connaîtra pas la légalité pllus que douteuse.
    Je sais très bien que 95% des clients n'iront pas payer les droits, mais je serai protégé...trop facile.
     
  6. cosmo2002

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    Baboun,

    je comprends bien ce que tu veux dire, mais dans ce cas j'agis simplement en tant que prestataire mandaté par le client pour procéder à une captation et un montage (avec un/des titre(s) sélectionnés par le client lui-même). C'est donc bien lui qui m'impose cette contrainte musicale. C'est également lui meme qui m'a dit vouloir prendre en charge la partie concernant les "droits" liés aux musiques.

    Ma question s'axe donc plutôt autour de la question "est ce que le deal tel qu'il est exprimé ici est valable ?"

    En réalité nous sommes plus proche d'une relation producteur-réalisateur que d'une simple presta du type prestataire-client.

    En amont nous avons un contrat saisonnier précisant en toutes lettres, avec accord lu, signé et commenté du "client" que la charge lui incombe de se dédouaner des droits qu'il faut en fonction de son utilisation du montage que je lui fournis.

    Charge à lui donc, de trouver le bon compromis avec la SACEM (ou autre) pour procéder aux diffusions. A priori on ne sait pas à l'avance sur quels types de supports il compte diffuser, ni à quelle fréquence.

    La dessus, mon annexe au contrat me semble valable. Enfin, a priori tu n'est pas du même avis.

    Le problème se pose également si le client me fournit un ensemble de photos à intégrer dans le montage... A qui attribue t'on la paternité des photos ? etc...
    Peut être à un très grand photographe... bref...
    Pour moi, c'est charge au client/producteur de contrôler ses sources et de régler les droits en conséquence.

    Vous n'auriez pas quelques liens intéressants sur des docs sur le web à ce sujet ?

    Merci
    kosmo
     
  7. baboun

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    Je ne sais plus où sur le forum, il y a eu une discussion bien détaillée sur ce point.
    Tout le débat était d'ailleurs sur le point que tu soulèves, relation prestataire-client ou producteur-réalisateur?
    Il me semblait qu'il était difficile de faire croire que le client pouvait avoir le rôle de producteur même si tu lui laisses un droit de regard et de décision sur le montage.
    Il y a deux relations juridiques qui sont clairement distinctes, le deal que tu as avec ton client et la responsabilité que tu as avec les auteurs et ayants droits de la musique.
    Les auteurs et ayants droits n'ont pas a connaître de ton deal avec ton client, tu es prestataire vidéo, c'est à toi de savoir si tu as les droits pour utiliser une musique.
    Ton deal avec ton client peut tenir entre vous deux, mais au moment ou tu fais ton travail, tu dois t'assurer qu'il a fait sa part du boulot, sinon c'est toi qui sera en difficulté, et tu ne pourras pas opposer ton deal avec le client.
    Je peux me tromper, mais de ce que je connais du droit, et de ce que je me souviens de cette discussion, cela m'avait l'air clair.
     
  8. JLH 37

    JLH 37 Super Modérateur
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    En terme de droits d'auteur (et même de droit tout court) un client ne peut rien t'imposer. Et heureusement, d'ailleurs.

    Tu es un professionnel prestataire de services. A ce titre, il est de ta responsabilité de vérifier que le matériel (ici de la musique) qui va t'être fourni pour le montage d'un film et dont tu vas faire une "reproduction mécanique" (ce sont les termes) sont, soit libre de droits, soit on fait l'objet d'un acquittement des droits dans le cadre de l'utilisation du montage que tu es en train d'effectuer.

    Si problème, les tribunaux vont considérer qu'en tant que professionnel il te revenait d'être vigilant sur ce point et de t'en assurer.

    A ce stade, deux cas de figure.

    Ton client est un particulier qui n'a rien à voir avec le métier de la production audio-visuelle et tu seras seul responsable car les tribunaux vont considérer que tu aurais du prévenir le client et, éventuellement, t'occuper de la régularisation des droits ou, à tout le moins, vérifier et te munir des preuves nécessaires que ces droits ont bien été libérés.

    Ton client est un vrai producteur audiovisuel (référencé en tant que tel) dont le métier est bien de faire fabriquer des films. Alors, lui aussi sera responsable en tant que professionnel et vous serez condamnés conjointement si problèmes. Si tu étais salarié du producteur, ce ne serait pas le cas, mais en tant qu'indépendant réalisant la post-prod, si.

    C'est comme ça que ça marche et tout autre extrapolation est très hasardeuse.

    Il n'y a pas de "forfait global". Ce qu'il paie pour ses bars n'est pas la même chose que ce qu'il doit payer pour un film promotionnel concernant l'activité de ses bars. De plus, et dans le cadre des films, la SACEM-SDRM va entreprendre aussi une démarche auprès des ayants-droits pour vérifier qu'ils ne s'opposent pas à l'utilisation de la musique sur ce type de film. Cela s'appelle le droit moral et il est inaliénable dans le code de la propriété intellectuelle vis à vis des auteurs.

    Si toutes ces conditions ne sont pas réunies, il y a risque. A titre personnel, si un client ne comprend pas cela (ce qui est très rare) avant de démarrer une réalisation, je passe mon chemin et le prie gentiment de s'adresser ailleurs. A titre de curiosité, je t'engage à consulter les peines encourues en cas d'infraction aux droits d'auteur. Tu vas vite comprendre.

    Autant le brave petit "geek" qui pirate hardi petit tout ce qu'il peut trouver sur le net et utilise n'importe quoi, n'importe où, n'importe comment, n'à que de faibles risques (on peut le déplorer mais ce n'est pas le débat ici) autant un professionnel qui tombe sous le coup d'une procédure pour négligence sur ce point dans l'exercice de son métier ne sera que très rarement épargné par les tribunaux.

    C'est exactement la même chose avec les droits d'auteur en photographie. Tu dois t'assurer que ces photos ont été libérés des droits. Et tu dois aussi t'assurer que les personnes qui sont dessus (s'il y a des personnes) ont bien libérés leur droit à l'image. J'ai encore du traiter un cas de ce genre la semaine dernière. Ainsi que pour un spectacle musical, d'ailleurs.

    A propos de droits à l'image des personnes : j'espère que toutes les précautions sont prises concenant tes films montrant des gens dans des boîtes de nuits, bars ou restaurants. Parce que là, on est dans les zones à risques maximum...

    A savoir aussi que toute utilisation de photographie doit faire mention du nom de son auteur et aussi de l'agence si agence photo il y a. C'est la loi, même si elle est loin d'être toujours respectée.

    Autrement dit, et pour résumer : la réponse de baboun... est la bonne ! :laugh:
     
  9. cosmo2002

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    JLH,

    Un grand merci pour ton intervention ! Cela me permet d'être fixé sur pas mal de points.

    Après réflexion (rapide :p) je me suis décidé à chercher à m'affilier à un organisme pour qu'il puisse répondre précisément à mes besoins en la matière.. Auriez vous peut être quelques pistes ?

    Il y a un point qui m'embête particulièrement dans ce qui tu as dis et ça me fait très peur: quels sont les délais pour l'obtention d'un accord de la SACEM ? Il est prévu que je filme en moyenne 2 reportages par mois et que je délivre les montages sous 8 jours (en moyenne)... Si le délais d'attente devait être trop long mon client ne sera plus intéressé par le montage. Quel intérêt aurait il à proposer un film qui retrace une soirée datant du mois dernier ? C'est trop long, trop tard !

    Pour les photos etc.. c'était simplement un exemple supplémentaire auquel je faisais référence.

    Pour les personnes filmées... le problème du droit à l'image n'est pas aussi compliqué qu'il n'y parait je pense: il s'agit souvent de montrer "la foule" (en disco par exemple). Pour les personnes désirant s'exhiber devant la cam, ça va être plus difficile ^^ Je ne sais pas trop comment faire sur ce point. Le cadre de travail (discothèque) complique les choses.. Un conseil peut-être ?

    Bref, j'aime bien les solutions simples, et avancer.. sans pour autant me brûler les ailes... Je propose donc dans un premier temps un montage avec un piste audio capté au micro et SANS la bande son musicale.. charge au client de la mettre en place..

    Quid de ma proposition ? ;)

    Merci pour tous vos commentaires en tous cas :)

    Bonne soirée
    kosmo
     
  10. Gild

    Gildx
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    J'ai rédigé une analyse du droit à l'image dans la FAQ du forum Faire son film, tu y trouvera des éléments qui répondront à certaines de tes questions.
    Tu peux toujours t'en sortir en boite de nuit, sans en passer forcément par les plans larges de foule.
    Mais c'est vrai qu'il va être difficile d'éviter de montrer des visages si tu filmes des soirées à thèmes costumées par exemple . Le problème va être surtout lié à la diffusion, parce qu'ils faut que les filmés sachent précisément les conditions des-dites diffusions. Je ne voit pas d'autres solutions que de diffuser uniquement les images de ceux qui auront accepté de signer une autorisation.
    On pourrait penser à priori qu'un public jeune de boite de nuit n'est pas un public difficile qui pourrait venir t'embêter sur ces questions, mais on sait aussi que les employeurs utilisent de plus en plus l'outil internet, et que certainsfuturs jeunes actifs pourraient - disons - être mis en difficulté dans leur recherche d'emploi après diffusion d'images.:D

    GiLd
     
    #10 Gild, 19 Novembre 2011
    Dernière édition: 19 Novembre 2011
  11. JLH 37

    JLH 37 Super Modérateur
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    Un organisme, je ne vois pas trop. Maintenant tu peux aussi voir cela directement avec la SACEM. Ils sont là pour ça.

    Dans ton cas, je ne puis te répondre, d'autant que j'utilise systématiquement des musiques dites "libres de droits" dont l'auteur n'est justement pas inscrit à la SACEM pour pouvoir les proposer ainsi.

    Néanmoins, il arrive que je fasse une demande en cas de pressage de disque, même si les musiques sont sans droit SACEM. En effet, comme toi et moi, le presseur n'accepte pas de faire une reproduction s'il n'a pas la preuve que les droits sont libérés. Là aussi sa responsabilité est engagée.

    Il faut compter, dans ce cas, environ deux à trois semaines pour obtenir l'autorisation.

    Maintenant, tu peux aussi expliquer ton cas à la SACEM et voir avec eux s'il y a une formule pour accélérer les choses.

    Pas facile. Gild t'a répondu sur ce point.

    En fait le principe est assez simple. Tant que l'on ne reconnait pas une personne et que rien ne permet de l'identifier formellement, ça va.

    Ensuite il y a les gens qui peuvent être reconnus. La jurisprudence à un peu avancée dans le sens des photographes (en vidéo c'est la même chose) dans la mesure où la personne qui veut attaquer doit quand même maintenant prouver que la diffusion lui porte (ou lui a portée) préjudice. Dans le cas contraire, on assiste de plus en plus à des relaxes des photographes attaqués.

    L'ennui, c'est que bar, boîte de nuit ou restaurant sont des lieux à risques. Gild t'en a mentionné un. Un autre, assez classique, étant celui ou celle qui sort avec quelqu'un d'autres que son conjoint et à son insu. C'est un grand classique...:laugh:;-)

    Inutile de te dire ce qui va se passer s'il (ou elle) se retrouve diffusé(e) sur Internet. Là t'es mal et le propriétaire de l'établissement aussi.

    Comme le dit Gild, pour les gens qui apparaissent formellement, il faudrait une autorisation en bonne et due forme. Il y a une autre formule qui pourrait être utilisée : afficher très en vue à l'entrée qu'un film va être réalisé et demander aux personnes ne voulant pas être representées de se faire connaître ou... de ne pas entrer. Je sais que cette façon de faire est parfois utilisée pour des captations de spectacle on l'on filme les spectateurs. Mais je ne te garantis pas du tout la légalité de la chose en cas de pépin.

    Cela à peut-être quand même un avantage : si des gens ne souhaitent pas être filmés ils seront prévenus et agiront en conséquence, ce qui permet de filtrer dans une certaine mesure les gens à risques.

    Si tu livres un film sans musique et qu'elle est rajoutée par quelqu'un d'autres, là tu n'es plus responsable. Ceci étant, précise bien sur les devis et factures dans le descriptif du produit qu'il ne comportera que les bruits ambiants sans illustration musicale. Ce sera plus sûr.

    Mais, par déontologie, prévient bien ton client et avec franchise sur les risques encourus s'il ne respecte pas la loi sur les droits d'auteur afin qu'il n'aille pas se retrouver avec de gros soucis qu'il aurait pu ignorer.

    Le problème dans cette histoire, c'est que l'on parle vraisemblablement de musiques connues, éditées par de grosses maisons de production de disques et d'artistes célèbres. Que la SACEM attaque est une chose, mais si ce type d'ayant-droit attaque avec, tu peux être sûr que vous allez vous retrouver face à des avocats rompus à ce genre de sport.

    Et, le piratage incessant des oeuvres tel qu'ils le connaissent aujourd'hui les rend on va dire... un peu nerveux ! :laugh:;-)
     
  12. Babs21

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    Peut être mais aux yeux de la loi, ça sera toi le fautif... Il faut vraiment faire attention...
    Moi je te conseil plutôt de t'en chargé en incluant/ajoutant le prix de la déclaration SACEM à ton devis/ta facture... Tu devrais tout simplement appeler la SACEM, je pense qu'ils te répondrons sans problème.
    Explique leur ta situation en stipulant que celle-ci t'embête!!!
     
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